Je ne me souviens plus comment nous avions atterri dans cette boîte de strip-tease HOT. Elle avait la réputation davoir des soirées se terminant souvent en gigantesque baisodrome aussi nous nétions pas particulièrement chaud pour y aller.
Bref, lambiance sans doute, lalcool aussi, on avait finalement accepté de suivre deux autres couples damis, habitués des lieux.
Toute la salle en bas de la scène, c’est-à-dire où nous nous trouvions, était plongé dans un noir presque total, ce qui permettait aux spectateurs de mieux voir les acteurs sur la scène, grâce à un savant éclairage.
Les mecs et les filles, triés sur le volet, exhibaient des corps parfaits dans un spectacle vraiment « Hot » ne laissant personne indifférent. Plusieurs couples d’ailleurs se caressaient tout en regardant.
Un mouvement de foule me séparait de ma femme, me faisant reculer de quelques mètres derrière elle. Cette dernière attentionnée par les beaux mâles qui défilaient sur scène dans le plus simple appareil, devait commencer à être sérieusement excitée car elle ne sétait même pas rendu compte que je n’étais plus derrière elle.
Il faut dire que javais été vite remplacé par un « olibrius » qui s’était empressé de se coller à ses fesses sans qu’elle ne le repousse, pensant certainement avoir affaire à moi.
Je voyais de temps en temps sa main lui caresser sa chute de reins en descendant carrément sur sa croupe, pour palper ses fesses que je savais fermes et musclées à souhait.
Curieusement, au lieu de forcer le passage pour revenir près delle et faire cesser ce pelotage en règle, je mapprochais mais mabstenais dintervenir, excité par la situation, me rappelant, en voyant la scène, lui avoir fait quitter son string dans la voiture pour mieux la caresser.
Javais réussi à me mettre juste derrière eux et je pouvais maintenant voir ce qui se passait en masquant même la scène aux autres spectateurs tous accaparés par ce qui se passait plus en avant.
Les strip-teaseurs étaient descendus dans la salle pour inviter des filles à monter sur lestrade pour participer.
Au début peu entreprenantes, elles avaient finalement accepté de se laisser dévêtir puis, commencer à lécher les chibres tendus vers elles jusquà finalement accepter de les prendre en bouche.
Pendant ce temps, mon remplaçant avait glissé une de ses mains sous la robe de ma femme pour mieux lui caresser les fesses. Il avait dû apprécier de sentir ses fesses nues car sa main bien engagée dans le sillon fessier ne le quittait plus.
Ma femme, lair de rien, sans se retourner creusa ses reins pour faire ressortir ses fesses et lui permettre sans doute daccéder à sa chatte.
Jimaginais sans peine ses doigts en train décarter ses lèvres pour se frayer un passage dans lentrée de la vulve certainement dégoulinante de mouille.
Lhomme devait bien sy prendre car au bout dun moment je la vis sagripper aux épaules dune nana devant elle, terrassée par un de ces orgasmes dont elle a le secret.
Elle resta un moment appuyée, la tête sur lépaule de la fille qui se retourna pour lui prendre la bouche dans un baiser d’une rare intensité. Ma femme se laissa embrasser en s’offrant encore plus à l’homme derrière elle qui en profita pour l’attraper par les hanches et la tirer vers sa queue.
De ma place je ne pouvais pas voir exactement ce quil faisait, aussi je décidais de mapprocher de lui, me portant presque à sa hauteur. L’homme sentit mon regard sur lui. Il me sourit.
Dautres couples se caressaient autour de nous sans prêter attention aux autres. Lambiance électrique semblait propice à tous les dérapages.
Je pouvais voir maintenant distinctement quil avait sorti sa bite, d’une belle taille, hors de son pantalon pour le frotter contre les fesses de ma femme.
Cette dernière se laissait faire, regardant à nouveau le spectacle où trois des actrices amatrices, se faisaient prendre en levrette face aux spectateurs en grimaçant de plaisir tandis quune quatrième, les cuisses largement écartées se faisait lécher en râlant de bonheur.
Il lui avait relevé sa robe juste le temps de plaquer sa queue entre ses fesses. Quand je le vis passer sa main sous la robe, je savais qu’il allait s’en servir pour trouver plus facilement sa cible. Une décharge d’adrénaline me submergea. Dans quelques secondes il enfoncerait sa queue dans la chatte de ma femme sans qu’elle se rende compte qu’il ne s’agissait pas de moi. J’allais intervenir quand je vis ma femme tendre ses fesses vers l’intrus en creusant ses reins d’une manière sans équivoque quand à l’envie qu’elle avait de se faire mettre. Elle attrapa elle même la queue de l’homme derrière elle pour la présenter dans l’entrée de sa vulve. J’hésitais un bref instant, ce qui suffit à l’homme pour s’enfoncer d’un coup de reins, entre les fesses offertes.
Une indescriptible sensation de malaise et d’excitation extrême m’envahit, serrant ma poitrine comme dans un étau devant le spectacle de cet homme qui les deux mains accrochés aux hanches de ma femme la pilonnait en la forçant à se pencher en avant pour mieux la pénétrer.
En une seconde ma femme venait de se donner sans le savoir à un autre que moi. Une autre queue que la mienne se frayait un passage dans sa vulve, ouvrant ses chairs jusquà ce que le gland ne termine sa course au plus profond de sa matrice.
Elle avait lair dapprécier lintromission en faisant le gros dos à la manière dune chatte qui apprécie la caresse quon lui fait. Pour lheure cétait la caresse de ses chairs contre celle dun inconnu qui la bouleversait, lamenant à secouer la tête de droite et de gauche tandis quil la besognait sans s’occuper des gens autour d’eux.
Je nen revenais pas de voir ma propre femme, se faire ramoner par un inconnu en plein milieu dune salle bondée de monde, tous plus excités les uns que les autres.
Jétais tellement près deux que jentendais sa respiration saffoler tandis que lhomme lui expédiait de véritables coups de boutoirs, ses mains crochetées à ses hanches si excitantes.
Lissue nétait déjà plus loin. Ma femme se mit à lencourager de la voix :
Oh ouiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Plus fort, plus vite. Je vais jouir.
Lhomme trop heureux de lui obéir, sans un mot, accéléra encore, la pilonnant sans ménagement pour lui arracher de nouveaux encouragements.
Oui, mon amour, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Çà vient. Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.
Plusieurs personnes s’étaient retournés pour regarder ma femme en train de jouir, son amant soudé à ses fesses, lui aussi au point de non-retour.
Je regardais cette scène incroyable, ma femme en train de jouir à côté de moi, prise par un homme que nous ne connaissions ni lun, ni lautre.
Une insupportable envie de jouir me submergea. En deux secondes, jouvrais ma braguette pour y glisser trois de mes doigts et, en trois aller-retour sur le gland, jexplosais en silence, maculant le pantalon de lhomme qui sépanchait à son tour dans le vagin de mon épouse en cherchant lair, la bouche grande ouverte.
Je fermais les yeux quelques secondes, pour un flash-back époustouflant de lubricité. Lorsque je les rouvrais, mon regard croisait celui de ma femme, complètement paniquée de réaliser quelle venait de se donner à un inconnu.
Lhomme lui sourit en se rajustant puis la remercia pour le plaisir quelle venait de lui donner, puis disparu derrière nous dans lagitation de la foule en plein délire sexuel.
Je lui souris à mon tour en lui tendant les bras dans un geste rassurant.
Je taime mon amour. Ça avait lair dêtre bon, non?
Ma femme, les larmes aux yeux, se blottit dans mes bras, des sanglots dans la voix.
Pardon mon amour. Pardon. Je croyais que cétait toi. Oh pardon, sil te plaît.
Je sais mon cur. Jai tout vu. Tu ne pouvais pas savoir. Je taime.
Jai honte mon amour. Partons sil te plaît. Partons.
Quelques secondes plus tard, nous étions dans notre voiture, elle blottie dans mes bras, abasourdie par ce qui venait de lui arriver, inquiète de ma réaction, sanglotant comme une petite fille prise en flagrant délit.
Jessayais de la rassurer du mieux que je pouvais en lui racontant ce qui sétait passé, lui avouant finalement que j’avais adoré la voir se faire peloter par un inconnu puis se faire mettre au milieu de cette foule en délire. Ajoutant que je métais branlé en la voyant et en lentendant jouir bruyamment à côté de moi, sous les assauts de cet homme.
Après un long moment de silence, elle se pencha sur moi pour sortir ma queue de mon pantalon puis me prodiguer une pipe dont elle a le secret, avalant mon foutre jusqu’à la dernière goutte lorsque je me répandais dans sa bouche.
Bien plus tard, blottie contre moi, bien à l’abri dans la chaleur de notre lit, elle m’avouait avoir joui comme une folle, me remerciant finalement de ne pas être intervenu quand l’homme s’était collé à ses fesses.