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J'ai baisé la compagne de mon ami – Chapitre 2

J'ai baisé la compagne de mon ami - Chapitre 2



Le reste de notre périple se passe comme dans un rêve (surtout pour moi). Nous nous entendons à merveille et chaque soir, dès que Mark s’est endormi comme une masse après avoir joui dans la bouche de celle qui était devenue ma maîtresse, je m’empresse de la baiser en lui arrachant des gémissements de plaisir qui me comblent de joie.

Ensuite Jennifer me suce et me boit jusqu’à la dernière goutte dans sa bouche. Je suis devenu accroc à ses fellations du soir, il me faut bien le reconnaître mais malheureusement, tout a une fin, et à notre retour de vacances, notre relation cesse aussi spontanément qu’elle avait commencé.

Jennifer redevient la femme fidèle et exclusive de Mark qui n’a visiblement rien remarqué de tout le périple. Je respecte son choix aussi, lorsque nous nous voyons, il n’y a aucune ambiguïté tant de ma part que de la sienne. J’essaie d’oublier ces moments merveilleux d’intimité qu’elle m’a accordé comme un cadeau, toute la durée de nos vacances. Chacun a repris la place qu’il n’aurait jamais dû quitter.

Les mois s’écoulent paisiblement, je vois des filles sporadiquement, mais vraiment rien de sérieux puis vient le moment de ma mutation dans un département limitrophe. Nous commençons malheureusement à nous voir moins souvent malgré nos efforts pour essayer de nous rencontrer au moins les week-end mais ça devient de plus en plus difficile à cause de la distance et nos boulots respectifs qui ne nous laissent pas beaucoup de liberté.

Je n’ai toujours personne de sérieux dans ma vie par contre je réussis à garder un semblant de contact avec eux par l’intermédiaire de Jennifer qui me donne de leurs nouvelles en m’expédiant de temps en temps des petites cartes postales, plus rarement des lettres. Internet, les mails, le téléphone portable avec ses SMS n’existent pas encore. Je me rends compte petit à petit au contenu de ses missives qu’elle n’est pas au meilleure de sa forme et je m’en inquiète si bien que la fois suivante c’est une longue lettre que je reçois. Lettre où elle m’avoue que ça lui ferait du bien si l’on pouvait se voir et discuter rajoutant que si je voulais, je pouvais l’appeler en me donnant des heures durant la journée où elle se trouve seule chez eux.

Je sens qu’elle a besoin de parler aussi, dès le lendemain je l’appelle. Elle est bien seule et nous pouvons discuter de longues minutes, je sens des sanglots dans sa voix à plusieurs reprises. Elle s’excuse de m’avoir demandé de l’appeler, rajoutant qu’elle a conscience de m’inviter dans l’intimité de leur couple mais après ce qui s’était passé entre nous et l’attitude que j’avais su garder après pour ne pas mettre son couple en péril, elle avait confiance en moi. Elle rajoute que Charly allait devoir partir plusieurs jours pour son travail. C’est visiblement un appel afin que l’on profite de ce déplacement pour se voir tranquillement.

Je n’hésite pas une seule seconde en lui disant qu’il suffisait qu’elle me communique les dates et je m’arrangerais pour me libérer quitte à prendre quelques jours de vacances. Ma proposition lui fait vraiment chaud au cur. Elle me dit avant de raccrocher que le simple fait de m’avoir parlé lui a déjà fait le plus grand bien.

C’est ainsi qu’à peine mon ami dans l’avion, je me retrouve devant leur domicile, toquant fébrilement à leur porte.

— J’étais sûre que c’était toi.

Elle est là, devant moi, telle que dans mes souvenirs, peut-être même encore plus belle. Nous nous étreignons longuement sur le pas de la porte. Le temps semble s’arrêter puis réalisant que nous sommes au vu et au su de tout le monde, elle se décide à me faire entrer.

Nous nous regardons longuement avant de nous étreindre à nouveau. Son odeur m’enivre, son corps souple et ferme à la fois se colle à moi. Je sens ses seins, son ventre, même son pubis tout contre le mien. Je savoure ce moment d’intense émotion. Je commence à bander grave. J’essaie de me dégager légèrement pour éviter qu’elle ne sente le désir qui m’étreint mais son bas-ventre revient aussitôt se coller au mien encore plus fermement. Je ne sais plus si c’est la réalité ou le fruit de mon imagination mais j’ai la nette impression qu’elle frotte son pubis doucement contre ma verge maintenant en pleine érection.

Je ne sais plus quoi faire, quoi penser mais c’est si bon que je me laisse aller au plaisir de l’avoir tout contre moi. De longues secondes se passent encore avant qu’elle ne me souffle :

— ça fait du bien d’être dans tes bras tu sais.

Je lui réponds bêtement que j’aime ça moi aussi.

Il ne lui en faut pas plus pour me rétorquer tout de go :

— ça, c’est sûr. Je le sens que tu aimes çà.

J’essaie de me dégager une nouvelle fois en balbutiant des excuses aussi bêtes qu’inappropriées quand elle me retient en s’agrippant à moi, rajoutant :

— Non, non. Reste. Ça me fait du bien ça aussi.

Je lève les yeux vers les siens. Ses dernières paroles résonnent dans ma tête comme un appel à aller plus loin. L’instant est grave. Encore de longues secondes à se regarder, les yeux dans les yeux, sans un mot avant que tout bascule. Nos lèvres se frôlent, se caressent, s’épousent et s’ouvrent enfin pour laisser nos langues se lancer dans un long ballet sans fin.

Je la soulève dans mes bras tandis que d’un signe, elle me montre vers où aller. Un couloir, une porte qui s’ouvre, un lit. Je l’y dépose mais elle m’en empêche, m’entraînant avec elle sur ce lit que je ne connais pas. Nos vêtements tombent comme par enchantement aux quatre coins de la pièce, nous sommes nus. Je m’allonge contre elle, nos bouches se soudent à nouveau. Mes mains courent sur ce corps dont la douceur de sa peau me revient en mémoire. J’en explore chaque centimètre carré avec un plaisir que je ne cherche même pas à cacher. Son odeur m’enivre. Une folle envie de lui dévorer la chatte, de sentir le goût de sa mouille sur ma langue me prend mais elle m’en empêche encore. Elle en veut plus, tout de suite. Elle m’attire sur elle en écartant tout grand ses jambes. Je ne résiste pas à cet impérieux appel à la possession. Mon sexe tendu glisse vers son entrejambe, entre en contact avec ses lèvres intimes, se frotte à son pubis, revient vers sa fente. Elle gémit, me demande de la prendre, me souffle qu’elle n’en peut plus, qu’elle me veut dans son ventre. Moi aussi j’en meurs d’envie. D’une main je l’ajuste, posant mon gland dans l’entrée humide.

— Viens. Prends-moi.

J’appuie doucement. Les chairs s’ouvrent. Je m’enfonce millimètres par millimètres, le plus lentement possible à l’intérieur de son ventre. Un océan de douceur m’accueille. Ma tête est sur le point d’exploser. Toutes mes sensations ne sont plus centralisées que dans mon bas-ventre, autour de mon sexe. C’est incroyablement bon, encore meilleur que les souvenirs que j’en avais gardés. Elle me serre plus fort dans ses bras tandis que mon sexe progresse dans son fourreau, se frayant un passage entre ses chairs baignées de ses abondantes secrétions. Nous ne faisons plus qu’un lorsqu’entièrement enfoncé dans son ventre, elle me souffle :

C’est bon de te sentir dans moi. J’ai honte de te dire çà mais j’y ai souvent pensé en particulier ces derniers mois.

Je commence à bouger lentement. Plus rien ne compte que ces sensations qui me bouleversent au-delà de l’entendement. Jennifer m’encourage de la voix. Elle me dit qu’elle aime çà, que je lui fais un bien fou. Petit à petit elle se met à répondre à mes coups de reins en soulevant son bassin pour venir à la rencontre de mon sexe tendu comme jamais.

Plus fort. Oui comme çà. Encore, encore.

Je m’enfonce et me retire de plus en plus vigoureusement. Mes mains s’agrippent fermement à ses hanches pour mieux la pilonner. Ce sont bientôt de véritables coups de boutoirs que je lui assène, lui arrachant à chaque pénétration un cri rauque de bête blessée. Je la sens tout à coup se tendre sous moi. Ses cuisses se raidissent en même temps qu’elles s’ouvrent pour me permettre d’aller encore plus profondément en elle, ses bras s’agrippent à moi avec une force que je ne lui connaissais pas. Sa jouissance monte à la vitesse de l’éclair. J’alterne les coups puissants et rapides à d’autres plus lents, plus profonds. C’est elle qui accélère pour se lancer dans un incroyable sprint. Elle se met à crier enfin, hurlant presque sa jouissance.

— Haaaaaaaaaaaaa !!!! Je jouis. Tu me fais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir! Oh mon Dieu que c’est bon.

J’essaie de l’accompagner du mieux que je peux au bout de son plaisir, en continuant de la prendre au rythme des mouvements de son bassin. Je prends le temps de la regarder dans le plaisir, ses traits habituellement si délicats, déformés par l’effet de la jouissance, ses yeux à moitié retournés dans ses orbites, sa bouche grande ouverte d’où aucun sort ne sort. Mon Dieu que j’adore ce visage sous le coup de l’orgasme. Elle se calme peu à peu, reprenant doucement sa respiration et ses esprits. Je continue de la prendre doucement. Elle ouvre les yeux, me sourit.

— Merci. C’était très très bon Monsieur mon ancien amant.

Nous nous enlaçons tendrement en riant de bon cur. Je lui murmure :

— Merci à toi, de m’avoir permis de revivre un tel bonheur.

Il est déjà tard mais nous nous mettons à discuter longtemps, très longtemps. J’apprends plein de choses sur elle, sur eux. Il semblerait que mon ami la délaisse. Peut-être même qu’il a une maîtresse ce qui expliquerait ses fréquents déplacements et surtout ses retards inexpliqués lorsqu’il rentre du travail. J’essaie de la rassurer, la consoler comme je peux. Elle pleure à chaudes larmes sur mon épaule. Elle m’avoue enfin que dernièrement, il lui a même demander pour pimenter leur quotidien sexuel, qu’elle accepte de se laisser prendre par un autre homme devant lui ce qui ne plaît pas du tout. Je me retiens d’en profiter pour lui dire d’accepter à condition que ce soit elle qui choisisse l’homme qui lui fera l’amour car elle n’est vraiment pas dans son assiette.

Il se fait de plus en plus tard si bien qu’elle finit par me proposer de rester dormir et profiter de leur chambre d’amis. J’accepte car je suis épuisé et il n’est pas question de reprendre la route dans ces conditions.

Ce n’était pas prévu aussi, elle me propose de me prêter des vêtements de mon ami. Nous prenons notre douche puis après un dernier bisou, prenons chacun la direction de notre chambre respective. Je m’endors rapidement. Durant la nuit, je suis réveillé par une envie de boire comme chaque nuit. Je me lève pour aller vers la cuisine mais en passant dans le couloir devant la chambre de Jennifer, j’ai l’impression d’entendre des sanglots. La porte n’est pas fermée. Je la pousse doucement et effectivement, elle est en train de pleurer. Sans réfléchir, j’entre pour la réconforter. Lorsque je pose ma main sur son épaule, elle se retourne, me voit et m’agrippe aussitôt, s’accrochant à moi comme à une bouée de sauvetage. Je comprends ne pas pouvoir l’abandonner à ses angoisses aussi, sans plus réfléchir, je me décide à masseoir à ses côtés. Petit à petit, elle se calme mais continue de me serrer le bras à m’en faire mal pourtant, je n’ose ou plutôt je ne songe même pas à essayer de me dégager. Au bout d’un long moment, elle semble s’être endormie. J’essaie de retirer mon bras mais rien à faire, elle me serre toujours aussi fermement. Je tombe de sommeil si bien que finalement, je me décide à m’allonger à ses côtés. Nous sommes tous près l’un de l’autre. De longues secondes s’écoulent. J’entends à sa respiration qu’elle s’est profondément endormie. Je la regarde dans la pénombre si belle et pourtant si fragile. Tout à coup elle se retourne en me libérant de son étreinte. Je peux m’en aller mais au lieu de le faire, inexplicablement, je l’entoure de mes bras dans un élan de tendresse incontrôlé. Elle ronronne en me remerciant d’avoir su répondre présent à un moment où elle en a vraiment besoin puis se rendort. Je ne mets pas longtemps à m’endormir aussi.

Mon sommeil est agité, peuplé des images de nos folies d’antan. Son corps, sa peau, son odeur, ses fesses et sa petite chatte, me hantent. Une main caressant mon visage me réveille peu à peu, j’ouvre les yeux pour découvrir le visage de Jenny pratiquement au-dessus du mien.

— Tu as crié mon prénom en dormant. Ça m’a réveillé et ton sommeil m’a l’air d’être très agité.

Je suis vraiment confus. J’essaie de balbutier de vagues explications, des excuses qui, j’en suis sûr, ne sont guère convaincantes. Elle me sourit puis s’approche de moi pour déposer un baiser sur mes lèvres.

— Merci d’être là. Je comprends que tout cela te perturbe. Moi non plus, je ne sais plus où j’en suis mais je suis heureuse de t’avoir là, à mes côtés, en ce moment.

Nous nous regardons tendrement. Elle dépose un nouveau baiser sur mes lèvres, instinctivement mes bras l’entourent. Nos corps se rapprochent. Un autre baiser plus doux, moins rapide, plus sensuel nous unit. Le temps semble s’être arrêté tout à coup. Encore un autre baiser, nos bouches s’ouvrent, sa langue vient à la rencontre de la mienne. La tendresse que nous éprouvons l’un pour l’autre se transforme en plaisir de la chair. Des gémissements sortent en continue de sa gorge tandis que notre baiser semble ne pas pouvoir s’arrêter. C’est délicieux. Dans un souffle elle me demande :

— J’ai envie d’un gros câlin. Fais-moi l’amour. Je sais que toi aussi t’en as envie. Prends-moi.

Impossible de rester indifférent à cet appel de la chair. Nos corps enlacés roulent sur le lit tout en faisant voler le peu de vêtements qui nous empêchent de sentir nos peaux l’une contre l’autre. T-shirt, slip et culotte, tout vole rapidement au pied du lit, jusqu’à ce qu’enfin, son corps se retrouve sous le mien. D’elle-même, elle écarte ses jambes en me murmurant :

— J’ai envie de toi dans moi. Prends-moi. Fais-moi sentir ta présence. Prouves-moi que je ne rêve pas.

Je bande comme un fou. Nos sexes se frottent l’un à l’autre dans un ballet infernal, sur le point de trouver son apothéose. Mon gland glisse contre ses lèvres, cherchant désespérément l’entrée de ce sexe qu’on lui offre sur un plateau. Des doigts l’entourent tout à coup avant que les miens ne viennent à la rescousse. Je sens qu’on le place dans l’entrée humide et chaude. J’appuie doucement. Les chairs s’ouvrent, m’accueillent et m’enveloppent dans un océan de douceur. Jenny me serrent plus fort dans ses bras en criant :

— Oh oui. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. C’est tellement bon de te sentir glisser en moi.

Je me concentre sur mon sexe et les sensations qu’il me transmet tandis que je m’enfonce millimètre par millimètre dans son écrin de chair. Des mots complètements fous me traversent l’esprit pour manifester tout ce plaisir que je ressens, toute cette tendresse que j’ai envie de lui donner et pourquoi ne pas l’avouer, toute cet amour que j’ai pour elle mais je me retiens, je me retiens de peur de gâcher ce moment incomparable de plénitude et d’union.

C’est tellement bon qu’au bord de la jouissance, je lutte de toutes mes forces pour ne pas exploser et gicler tout de suite comme un jeune puceau à sa première étreinte. Mes tempes bouillonnent. Ma tête aussi. Heureusement Jenny qui sent peut-être mon émoi, se tient totalement immobile. Nous restons un long moment sans bouger, profondément emboités l’un dans l’autre, nous contentant de nous caresser en échangeant des mots qui ressemblent à s’y méprendre à ceux de l’amour.

— Je te sens bien dans mon ventre. J’y ai pensé souvent dans les moments difficiles.

— J’y ai pensé souvent moi aussi. Parfois même en faisant l’amour à une autre, c’est à toi, à ton ventre, tes fesses, ta chatte, ton visage que je pensais.

— J’ai envie d’être à toi maintenant. J’ai envie de t’entendre jouir en recevant ta semence dans mon ventre.

Lentement, je commence à bouger en elle. Elle m’encourage de la voix.

— Oui. Prends-moi. Je suis toute à toi. Fais de moi ta femelle. Fais-moi jouir.

Mon bassin s’anime. Mes mouvements prennent peu à peu de l’amplitude. Je la besogne bientôt franchement, alternant des coups rapides et puissants à d’autres plus amples, plus lents mais beaucoup plus profonds. Elle se contente d’ouvrir toutes grandes ses cuisses sans bouger manifestant son désir d’être à moi, d’être prise, de se donner. Elle écarte ses bras en croix, s’abandonnnant totalement à ma possession. Mon vit s’engouffre en elle puis ressort, déclenchant à chaque fois, des cris de bonheur de ma maîtresse. Mark tout à coup me vient à l’esprit comme un reproche à ce que nous sommes en train de faire mais fort heureusement j’arrive vite à le chasser de ma tête pour me concentrer sur le plaisir que j’ai envie d’offrir à cette femme à laquelle je n’ai jamais cessé de penser. Je la secoue, la caresse, explore son corps, ses seins, ses hanches, son ventre et ce visage presque parfait. Ma bouche va de ses lèvres pour des longs baisers mouillés à ses seins dont les mamelons aux pointes érectiles m’affolent. D’un seul coup elle se raidit, tends ses jambes en vibrant de tout son corps et me crie qu’elle jouit. Je la besogne encore et encore pour l’accompagner jusqu’au bout de son plaisir. Elle me remercie, me dit combien elle est heureuse d’être dans mes bras et se donner à moi comme elle le fait en ce moment. Je n’ai pas joui et quand sa jouissance se fait moins présente je la sens se relâcher lentement tandis qu’elle me caresse le dos et les fesses puis se rendant compte que je suis toujours aussi dur dans son ventre.

— Mais tu n’as pas joui on dirait. J’ai envie de ton sperme dans mon ventre. Donnes-le moi maintenant.

Ses désirs sont des ordres. Je lui souffle ce que j’attends d’elle. Nous nous séparons, elle se retourne pour se mettre à genoux en m’offrant son magnifique postérieur en offrande.

— Comme çà. C’est comme ça que tu me veux maintenant ?

— Oui, exactement comme çà.

Mes mains caressent ses fesses, descendent dans sa raie. Mes doigts palpent sa fente, caressent son anus, reviennent vers l’antre de tous les plaisirs, s’y engouffrent puis ressortent, remontent pour caresser à nouveau des fesses, ses hanches et ses reins. Elle me souffle :

— Prends-moi.

Je l’ajuste doucement puis, d’un coup de reins je m’enfonce en elle jusqu’à la garde, déclenchant un gémissement de satifaction qui me comble, m’incitant à commencer sur le champ mes allers-et-retours. J’admire son cul qui m’a tant fait rêver. Il est maintenant à moi tout entier. Je le tiens dans mes mains, je l’embroche de mon sceptre arrivant à faire crier de plaisir sa propriétaire. J’ai du mal à croire que ce que je vis n’est pas un rêve pourtant ces chairs sous mes doigts, cette peau si douce et si fragile sont bien réels. Ma tête bourdonne de tant de plaisir. Ma vue se trouble tandis que ma partenaire me demande de la prendre plus fort puis me crie de la remplir enfin de ma semence.

C’en est trop. La dernière ligne droite est là. C’est la fin de la course. Un dernier coup de reins et j’explose. Je me vide à grands jets dans le ventre de cet adorable femme, mon ex-maîtresse. Un, deux, trois, quatre puis cinq puissantes giclées montent le long de ma hampe pour se mélanger aux abondantes secrétions intimes tapissant les chairs intimes. Je jouis, jouis a en perdre haleine accueillant à bras ouverts les endorphines du plaisir. Je m’affale, rassasié sur les reins de ma maîtresse qui se laisse glisser à plat ventre sur le lit. Nous savourons un lent mais nécessaire retour au calme, sans bouger, se contentant de nous câliner en nous susurrant des gentillesses.

— Tu me fais trop de bien ?

— Hummm ! C’est grâce à toi plutôt.

— Tu n’as toujours personne  ?

— Il n’y a que toi qui occupe toutes mes pensées. Et si j’avais quelqu’un tu peux me croire je serais quand même venu mais il se serait rien passé.

— Ça c’est vraiment gentil et, je sais qu’il ne serait rien passé si tu avais eu quelqu’un.

— C’est comme çà. On ne se refait pas !

— Je suis vraiment contente que tu sois venu tu sais !

— Je viendrais toujours, à chaque fois que tu en auras besoin.

— T’es mon 2ème homme alors ?

— Il le faut bien puisqu’il y en a déjà un et qu’il est mon ami.

— Je t’aime. Oui, je crois bien que je t’aime toi aussi. Tu ne m’en veux pas d’aimer aussi ton ami ?

— Non c’est comme çà mais moi aussi je t’aime. Je t’aime bien plus que je ne devrais.

Le sommeil nous gagne petit à petit. Nous nous endormons finalement dans les bras l’un de l’autre, heureux, satisfaits du plaisir d’être ensemble.

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