J’ habite avec mes parents dans un lotissement et nous avons comme voisin, un jeune couple dans la trentaine avec un enfant. J’ai dix huit ans depuis peu et je fantasme sur Chantal depuis plusieurs années. Je ne compte pas les branlettes que je me suis fait sur elle, pourtant il ne s’agit pas d’un canon de beauté, petite brune d’un mètre cinquante-cinq, des seins qui paraissent lourds mais sans excès, mais un quelque chose que je ne définie pas. Il m’est arrivé plusieurs fois dans le passé de garder Jérôme leur fils, le soir lorsqu’ils sortaient, et chaque fois j’attendais que celui-ci s’endorme, puis je fouillais la commode où elle range ses sous-vêtements (il y en a des chouettes) et le panier à linge dans lequel je subtilisais une de ses culottes pour me masturber dedans, avant de la remettre à l’intérieur. Fin août, nous avons organisé un barbecue et nous avons comme cela se passe souvent, dansé. Cela avait lieu chez mes parents, dans le jardin vu l’été que nous avons eu. J’ai réussi à danser avec Chantal, pour une fois que mon père ne le faisait pas, car chaque fois qu’il y a des slows il s’arrange pour les faire avec elle. Elle portait une fine et courte robe blanche qui la moulait à la perfection. Francis son mari, avec qui nous partageons une passion commune pour le modélisme ferroviaire dansait avec une de mes soeurs. Ils étaient rentrés depuis peu de vacances, son bronzage tranchait sur la couleur de sa robe. Par transparence, je devinais ainsi que les autres personnes son string et l’absence de soutien gorge, ainsi que les pointes de ses seins qui étaient fièrement dressés. Je serrais Chantal de près, trop même, le peu d’alcool que mon père m’autorise à boire y étant sans doute pour quelque chose, je bandais dur de la situation, ce qui ne lui a pas échappé. Elle me dit : c’est moi qui te fais cet effet ? Je bafouillais un semblant de réponse et d’excuse et elle me glissa à l’oreille : ne t’inquiète pas je vais pas le clamer et cela me flatte de te savoir dans cet état. Du coup, elle s’est collée à mon ventre sans le montrer aux personnes qui nous entouraient et avec délicatesse s’est activée à masser mon érection avec son corps. Inutile de dire que j’ai giclé dans mon bermuda et qu’à la fin des slows, je suis monté dans ma chambre me changer et me remasturber en pensant à elle. Je m’ imaginais plein de choses dans ma tête. Je suis redescendu, la soirée se poursuivait, les autres slows c’est mon père qui les a dansé avec Chantal, je les surveillais et mon père la serrait de très près, lorsqu’ils revenaient à la table, je voyais une bosse déformer son pantalon, du coup j’ai pensé qu’ils étaient peut-être amants. Le lendemain, j’ai croisé Chantal et elle m’a demandé si j’allais mieux avec un petit sourire qui en disait long. A partir de ce jour, j’ai cherché à savoir comment je pourrai l’aborder pour coucher avec elle. J’ai pensé à plein de choses, je guettais ses moindres faits et gestes, espérant la surprendre avec un homme et pouvoir faire un chantage. Chaque fois que j’apportais le journal (ils sont abonnés avec mon père) j’y allais en sachant qu’elle était seule et j’espérais qu’elle me fasse des avances, en vain ! Je continuais à me masturber, mais plus dans ses sous-vêtements, puisqu’à présent c’est ma soeur qui garde Jérôme les soirs où ils sortent. J’enviais les gens qui la serraient lors de ses soirées, je jalousais Francis de le savoir avec elle au lit. Puis un jour, que je portais le journal et que nous parlions tous les deux, le téléphone sonna. Elle décrocha et j’ai de suite compris que ma présence dérangeait, elle dit à son interlocuteur : il sera avec Jérôme au foot cet après-midi, mais rappelle j’ai quelqu’un chez moi. A priori l’autre attendait une réponse plus précise, rappelle moi dans dix minutes qu’elle lui dit ! Son regard avait changé, la gène était perceptible dans ses yeux marrons. Elle raccrocha le combiné, perturbé que je sois là à ce moment. Elle s’est reprise et me congédia. J’avais peut-être le début d’un élément qui pourrait m’apporter son corps sur un plateau. A 14 heures, j’ai vu Francis partir, j’ai surveillé et 1/2 heures plus tard une voiture se gara devant chez eux, un homme en sortit et il entra dans la maison. Je le connais de vue, c’est un collègue de Chantal et ami du couple. Il en est ressortit une heure plus tard, sa cravate à la main. Je jubilais, j’étais sûr de tenir un bon filon. Le même scénario s’est reproduit le samedi suivant. La différence c’est qu’une demi-heure après qu’il soit entré, je suis venu apporter le journal, elle ne m’a pas laissé rentrer, elle portait une robe longue jaune, boutonnée sur le devant, assez transparente, d’ailleurs plusieurs boutons étaient ouverts laissant à ma vue, ses jambes dénudées et dévoilant ses cuisses d’une façon impudique. J’ai fait demi-tour et je suis monté dans ma chambre pour me masturber. Vers dix sept heures, lorsque Francis est revenu du foot j’étais dehors et je l’ interpellais pour un renseignement. L’ erreur de Chantal fut de nous rejoindre et quand Francis lui demanda ce qu’elle avait fait, elle parla de ménage mais ne dit mot de la visite de son collègue. Je l’ai regardé dans les yeux et j’ai perçu a nouveau de la gène dans son regard. De plus, elle s’était changée. A présent, j’étais convaincu des écarts de conduite qu’elle devait avoir. Il ne me restait plus qu’à préparer mon plan. Mais, c’est plus facile à imaginer qu’à réaliser. Comment faire, comment va t-elle le prendre, et si Francis était au courant et consentant ? Il m’a fallu trois semaines et beaucoup de recherches pour comprendre qu’il n’ était pas informé des visites de Jean Paul puisque c’est ainsi qu’il se prénomme. Le mercredi matin je me suis décidé, je savais que Francis était partit pour la journée et que son fils était chez les grands parents. Vers 10 heures 30 j’ai toqué à la porte pour lui donner le journal. A sa tenue, j’ai vu qu’elle s’apprêtait à partir, elle portait la même robe jaune que le fameux samedi, elle était maquillée légèrement, elle était magnifique, son parfum embaumait le vestibule. Deux choses cependant m’interpellèrent. D’une part, seul deux boutons de sa robe était ouvert sur le bas de celle-ci, et deuxièmement, je distinguais correctement les sous-vêtements qu’elle portait, ils étaient assortis à la couleur de sa robe. Or, le samedi lorsqu’elle m’ avait ouvert la porte je ne les avaient pas vus ! Ce qui me fit penser qu’elle ne les portaient déjà plus, qu’il avait dû les lui retirer où même qu’elle n’en portait pas à son arrivée. Cela me donna encore plus l’envie de passer à l’acte et mon sexe se durcit dans mon pantalon. Je m’excuse me dit-elle : j’ai un rendez-vous, il faut que je parte de suite. J’ai pris mon souffle et à mon tour je lui ai dit : tu es bien belle, aurais tu rendez-vous avec ton amant ? est-ce celui du samedi où un autre ? Je ne pense pas que Francis soit au courant ? Je l’ai vu se décomposer et j’ai refermé la porte derrière moi. Elle ne disait mot, j’ai attaqué de plus belle. C’est simple j’ai envie de toi, maintenant, et tu pourras rejoindre ton amant après. Je l’ai poussé contre le mur et j’ai ouvert les boutons de sa robe un à un, me délectant à chaque étape de la vue de son corps qui s’offrait à moi. Elle ne bougeait pas, elle semblait perdue dans son esprit se demandant si elle rêvait où pas. Lorsque je suis arrivé à la hauteur de son sexe, c’est moi qui me posait la question de savoir si je rêvais. J’ai continué de la dénuder, puis j’ai écarté les pans de sa robe. Tout son corps s’offrait à moi. Elle était magnifique en sous-vêtements devant mes yeux, le jaune tranchait sur son bronzage encore parfait. Je n’en pouvait plus, mon sexe me faisait mal dans mon caleçon, alors je l’ai sorti devant elle, l’exhibant sous ses yeux, je me masturbais à cinquante centimètres de sa chatte, cette chatte que j’avais maintes fois imaginé dans mes masturbations solitaires, cette chatte que je découvrais sous le fin tissu de son string. Elle me dit : Gilles, il ne faut pas, tu es trop jeune, cherche une jeune fille de ton âge, et en même temps elle posa sa main sur ma queue. J’en profitai pour saisir son string à la hauteur de ses hanches et le baisser à mi-cuisse, tellement fortement qu’il faillit me rester dans les mains. Sa toison brune m’apparut, c’est le premier sexe de femme que je voyais, je portais ma main dessus et j’ai senti une chaleur phénoménale s’en dégager, puis glissant mon index sur le renflement de sa toison je le vis s’ouvrir à mon doigt et j’ai compris pourquoi mon père disait en parlant des femmes : elles mouillent. Elle me masturbait machinalement, j’étais au bord de l’éjaculation, mon doigt continuait sa progression dans son antre, c’était superbe, je réalisais mon fantasme, sous la contrainte de plus. Je n’ai pu me retenir et j’ai giclé sur sa chatte. Pendant que mon jus se projetait sur son ventre, elle continuait à me masturber. C’est la première fois que je jutais sans me toucher, mes jambes se dérobèrent et mon corps vint se coller contre le sien. Elle tenait toujours mon sexe en main et à présent elle le frottait sur le sien. J’étais toujours en érection et je lui ai dit : allons sur le lit, je ne veux plus être puceau. Nous sommes montés à l’étage, elle me précédait, je lui avait retiré sa robe qui jonchait sur le sol et son corps se déhanchait sous mes yeux, son string lui entravait encore les cuisses. Elle est entrée la première, c’est allongée en travers sur le lit, elle retira son sous-tifs et son string et nue me dit : viens je vais te donner ce que tu attends. Je me suis à mon tour dénudé et je me suis couché sur elle. J’étais toujours autant bandé, alors elle se saisit de ma queue et la dirigea vers son nid douillet, ses lèvres s’ouvrirent et mon gland pénétra son intimité. La sensation que cela me fit est indescriptible, je plongeais dans son ventre, elle était trempée, chaude et en quelques allers-retour je me suis déversé en elle. Je suis resté dans sa chatte un long moment avant qu’elle reprenne ses esprits et me demande de me retirer, parce que croyais moi je bandais encore. J’étais en elle et je ne voulais pas en sortir. Je lui ai dit : pas tout de suite je voudrais encore profiter de ton sexe c’ était trop rapide. Elle accepta à contre coeur mais je m’en foutais, je l’avais à moi et son amant n’avait qu’a attendre. D’ailleurs je lui ai demandé si c’est ce qu’elle allait faire. Elle ne répondit pas. Alors je lui ai parlé de l’autre samedi et je lui ai demandé si c’était lui qui lui avait retiré sa culotte avant qu’elle ne m’ouvre. Elle finit par se laisser à quelques confidences et me dit : quand il t’a vu venir et avant que je n’ouvre il m’a effectivement demandé que je retire mon string et a déboutonné plusieurs de mes boutons. Il m’a également demandé que j’écarte les pans de ma robe et les jambes pour que tu puisses te rincer l’oeil, car je lui avais parlé de la soirée. Après lorsque je suis revenue il a tiré les rideaux du salon et du séjour et je me suis mise nue devant la fenêtre et nous avons fait l’amour en te regardant dans le jardin, il était excité à l’idée que tu pourrais nous voir. C’est tout juste s’il ne voulait pas que je te fasse rentrer pour que nous baisions tous les trois. Pendant qu’elle me contait cette histoire, j’avais repris mes allers-retour dans son ventre et elle répondait à mon assaut en poussant des petits cris, novice comme je l’ étais je lui ai demandé si je lui faisait mal, elle m’encouragea en continuant son récit, je pense que cela l’excitait tout autant que moi. Je lui ai demandé de continuer de parler et j’ai cherché à savoir si avec mon père elle avait quelque chose à me dire. Elle me dit : non, il n’y a rien où presque mais il s’en ai fallut de peu car il est très pressant, c’est ainsi que j’apprit que lors du dernier nouvel an ils s’étaient retrouvés seuls dans le garage et que mon père l’avait embrassé, profitant qu’elle était un peu éméchée, il lui avait glissé la main sous la robe, lui avait écarté la culotte et tripoté le sexe arrivant même a pénètre son intimité avec son doigt. La soudaineté de l’acte fut tel qu’ il parvint à la faire jouir debout contre le congélateur, puis il sortit son sexe le glissa entre ses cuisses sans pour autant réussir à ses fins et c’est l’arrivée de ma soeur dans le garage qui mit un terme à la tentative de mon père. Elle me racontait tout cela et je voyais qu’elle y prenait autant de plaisir que moi, a priori elle revivait la scène et cela augmentait sa jouissance. Je continuais de pénétrer son ventre et je sentais que j’allais a nouveau jouir en elle. Alors je me suis laissé aller et je liberai de ma queue un flot de sperme au plus profond de sa chatte. Elle poussa un long râle et j’ai compris qu’elle jouissait également. Quelques minutes plus tard, nous nous sommes levés, je l’ai suivi dans la salle de bain, elle a prie un gant et s’est lavée avant de me demander d’approcher et de me nettoyer le sexe. Puis elle enfila ses sous vêtements. Je la regardais, elle m’excitait encore, je me suis mis sur le rebord de la baignoire, j’ai ouvert mes jambes et lui ai dit : viens me sucer. Je vais être en retard, mais elle s’est agenouillée sur le tapis, ses mains se sont posées sur ma queue et elle m’emboucha. Ma première pipe, se fut extra, elle me regardait tout en me suçant, j’ai empoigné sa tête et rythmant le mouvement de sa bouche sur ma queue j’ai éjaculé le peu de sperme qui me restait au fond de sa gorge. S’en était terminé pour aujourd’hui ! Pour moi, car elle partit rejoindre son amant une bonne partie de la journée.