Je m’appelle Constance, j’ai 20 ans, et je vais vous raconter mon histoire, qui a commencé il y a deux ans.
C’était avant Noël, je buvais un coup avec mes copines de fac après les cours quand j’ai aperçu mon professeur d’histoire de première, seul à la table derrière la mienne. Ayant été un peu amoureuse de lui au lycée je ne me fait pas prier et décide d’aller le saluer. Il était comme dans mes souvenirs, la quarantaine grisonnant, un brin gringalet et de magnifiques yeux bleus. Après dix minutes à discuter sur un ton très amical, je lui propose amusée de venir boire un verre à la table, ce qu’il refuse gentiment.
" Je te laisse mon numéro, on ira se le boire ce verre " me dit il, avant que je ne rejoigne mes amies.
Le soir même je lui envoie un texto. Tous les soirs à tour de rôle, on prend de nos nouvelles et on se raconte nos journées. Puis nos messages se font de plus en plus personnels. Depuis le lycée il a divorcé, ne voit plus ces deux filles que les week-ends et a besoin d’aventure. Récemment séparée, je lui raconte également mes déboires. Puis au bout de quelques semaines, il me propose de passer chez lui, boire le fameux verre. J’accepte sans hésiter une seconde.
Le jour prévu je me fais particulièrement attirante. Robe rouge moulante, blazer en cuir noir, talons hauts et maquillage exagéré. Lorsque j’arrive devant sa porte il me dévisage très lentement de bas en haut, et m’invita à m’asseoir. La conversation dérive vite sur nos histoires sexuelles. Je le vois bien les yeux rivés dans mon décolleté. La situation m’excite particulièrement et il est clair que lui aussi. Lorsque je le fixe longuement dans les yeux, il saisit ma tête et membrasse langoureusement. Je suis plus qu’excitée et je lui fais aussitôt savoir. Je m’agenouille pour caresser sa bite à travers son jean moulant. Je la sens se redresser sous la pression des doigts. Je le regarde dans les yeux et vois son visage se déformer. Lentement je déboutonne son jean, et prend son sexe dans ma main pour commencer de léger va-et-vient. Elle est comme je l’aime, grosse et épaisse. Comme une soumise, je continue de le regarder dans les yeux jusqu’à ce qu’il m’implore " suce-moi ". Sans me faire prier je m’exécute et fourre son sexe dans ma bouche et l’entend gémir de plus en plus fort. Je continue de plus belle et englouti sa bite au fond de ma gorge. " Je vais décharger " m’annonce t il entre deux gémissements, j’accélère le rythme. D’un coup il me stoppe, et m’emmène sur le canapé. Je mouille comme une chienne et il commence à me doigter et me mordiller le clitoris, je pousse des cris de satisfactions. Il me cache la bouche avec une main pour que je crie moins fort, ce qui m’excite encore plus.
" Tu aimes ça hein ma salope " me dit-il
" Viens me la mettre, professeur " enquillai-je.
Il s’allonge sur moi et écarte mes cuisses, déjà pleines de mouille. Il place son gland à l’entrée de mon vagin, me regarde avec envie et rentre d’un coup bref sa bite en moi. Je gémis de plaisir en sentant son engin en moi. Je le sens venir quand il me saisit par les hanches et me fait mettre à quatre pattes sur son tapis. Il reprend ses coups de rein et je jubile de sentir ses couilles taper contre mes fesses. Je me sens me crisper et pousse un long cri de jouissance. Il continue son mouvement, de plus en plus violemment, puis décharge de nouveau tout son foutre en moi. Après mon orgasme, je décide de prendre les devants,
— « allonge-toi " lui dis je sur un ton dominateur. Je le suce de nouveau avant de venir m’empaler sur sa bite bien dressée, qui n’attend que moi. Je gère la cadence, ce qui m’excite encore plus. Lui me titille le clitoris en poussant de longs gémissements. Je jouis presque en même temps que lui et m’affale sur lui. Je reprends mon souffle en quelques secondes.
" Tu as déjà été enculée par un professeur " me demande-il.
Sans attendre de réponse, il m’attrape violemment et m’appuie le long de son plan de travail dans sa cuisine. Il s’agenouille et commence à m’embrasser les fesses. Il s’approche de mon trou et y introduit un doigt tout en me léchant à l’intérieur. Il se sert de ses doigts pour m’écarter le trou de mon cul et y donner des coups de langues. Quand je suis bien humide il introduit sa bite de quelques centimètres seulement, puis me lèche de nouveau. Il prend son membre dans sa main et se replace à l’intérieur de mon trou. Il me pénètre le cul en donnant des coups secs qui m’excitent particulièrement. J’adore sentir sa bite dans mon cul et l’entendre gémir et se tordre de plaisir.
— " Je viens ! " m’annonce- il. Il se retire de mon cul, m’attrape, m’agenouille et me fourre sa bite dans la gorge. Je le suce jusqu’à ce qu’il décharge son foutre. Quand il termine je garde la bouche ouverte pour qu’il contemple sa semence au fond de ma gorge avant d’avaler.
Nous nous sommes revus quelques fois, chaque fois nous faisons l’amour jusqu’au petit matin, puis j’ai rencontré mon copain, et j’ai arrêté d’aller le voir.