J’ai donné mon cul dans un wagon-lit
Je suis une personne qui en fait prend des décisions rapidement, mais dans ce cas, j’ai besoin de réfléchir un moment pour savoir si je dois entreprendre cette démarche. Mes côtés angélique et diabolique se disputent sévèrement. Le diable en moi m’a vraiment séduite et il m’a dit :
"Prends le prochain train et va où cet homme t’attend" ; l’ange qui me rappelait toujours à la raison répondit : "N’y va pas, il est beaucoup plus jeune que toi, il pourrait être ton fils. Alors mon diable me dit :
"En fait, pourquoi pas," il n’y a rien à perdre et quand je ne serai plus de ce monde, je saurai au moins que j’aurai bien vécu et que j’aurai connu des choses excitantes.
Bon alors, qui a finalement gagné, le diable qui est en moi et pas l’ange.
Le lendemain, je suis allée à la gare, j’ai acheté un billet et je réservais une place dans le wagon-lit, car le train partait très tard le soir et je voulais dormir un peu. Je réglai quelques affaires, je retournai à la gare et j’attendis mon train.
Le train arriva juste à l’heure à la gare et j’avais encore 20 minutes à attendre avant son départ. Je cherchai le wagon-lit, rangeai mes affaires, fermai la porte du compartiment et descendis sur le quai. Soudain je le vis le rêve de mes nuits blanches qui m’accompagnait dans mon sommeil troublé. Il était très jeune, mais extrêmement entreprenant. Il vint vers moi et me demanda où se trouvait le wagon-lit.
Mes jambes tremblaient et je ne savais que dire. En bégayant je lui indiquais où il pouvait trouver le wagon-lit. Il me sourit et me remercia en disant :"Je m’appelle Hans. Il passa â côté de moi et une odeur corporelle et de savon "aftershave" troublèrent mes sens.
Complètement étourdie, avec ma culotte un peu mouillée, je regagnai le train pour lui avouer mes fantasmes les plus sauvagement refoulés.
Je voulais fermer à clé la porte de mon compartiment, mais elle s’ouvrit de l’intérieur et Hans vint à ma rencontre. O!! non, pensais-je, comment pourrais- je résister à ce jeune homme aussi entreprenant. Cela va mal se passer. De plus, je faisais ce voyage à cause d’un gentil jeune homme à qui j’allais rendre visite. Je me disais :"Que fais tu ici ?" Hans prit la parole et me demanda : "As-tu déjà dîné et comment t’appelles-tu ?"
Je lui dis que je m’appelais Ingrid et que je n’avais pas encore dîné. Il sentait que l’atmosphère s’était dégradée entre nous. Alors il me dit : "Allons manger vite quelque chose, avant qu’il n’y ait plus rien et que nous soyons obligés d’aller nous coucher affamés. Nous allâmes donc au wagon-restaurant. Hans me tendit une chaise. Pour cela il se pencha légèrement et il me murmura à l’oreille : "Nous prendrons le dessert dans le compartiment".
Maintenant je ne pouvais plus me retenir, et je lui dis : "Allons prendre le dessert tout de suite dans le compartiment" ; je bondis et je retournai dans le compartiment, Hans me rejoint en riant et savait très bien ce qui allait se passer. Il ouvrit la porte du compartiment et déclara : "Ingrid vient vers moi, je sais que tu veux la même chose que moi."
Je m’approchai de lui et nous nous sommes embrassés passionnément. Il me serra contre lui et je pouvais sentir sa grosse bite contre ma cuisse. Lentement, il retira mon tee-shirt et me caressa le dos. Il me dit :" Tu sens bon ; et il commença à grignoter le lobe de mon oreille, puis il ouvrit la fermeture de mon soutien-gorge qu’il caressa. Les pointes de mes nichons se dressaient comme un I. Hans les caressa et les mit dans sa bouche alternativement, les suçait et jouait avec la pointe de sa langue en faisant des petits cercles sur mes mamelons. Je devins de plus en plus nerveuse et je sentais que mon con devenait de plus en plus mouillé ; il dirigea sa main dans la direction de mon trou à bébés.
"Tu sens comme tu m’excites ?" Il enfonça deux doigts dans ma fente mouillée et les retira, mais seulement pour les lécher. Je gémissais fortement et je me pressais contre lui, pour pouvoir sentir encore mieux sa grosse bite. Puis, je ne pus plus me retenir et je lui ôtai sa chemise et je lui caressai son dos et son ventre jusqu’à sa ceinture.
Sa peau était délicate et m’excitait beaucoup. Je défis sa ceinture et je déboutonnai son pantalon, et alors sa gigantesque bite me sauta au visage et je me demandai comment elle pourrait pénétrer mon con et le petit trou de mon cul, s’il advenait qu’il désirât m’enculer. J’étais vierge du cul et mon trou du cul était très serré, bien sûr, pas aussi étroit que le trou du cul de ma nièce de 18 ans que mon fils âgé de19 ans avait enculée l’été dernier sur une plage déserte au cours de nos dernières vacances.
Hans voulut introduire sa grosse verge dans ma bouche ; très lentement, ma langue jouait légèrement avec son gland tout rouge qui devait être très amoureux de ma bouche, de mon con et de mon cul. Je gémissais de plaisir, très fort.
"Oui, chérie, continue, surtout ne t’arrête pas, j’aime quand tu me gâtes comme ça. "Ma langue entourait son gland exquis et mes mains saisissant son énorme pine frottaient la peau de sa bite d’avant en arrière. C’était succulent pour lui et moi j’adorais lui faire plaisir en branlant sa verge.
Hans baisa ma bouche et je pensais, tant elle était longue, qu’elle allait sortir par le trou de mon cul.
Je sentais qu’il allait décharger car je goûtais déjà aux premières gouttelettes de foutre. Il sortit sa queue et me tourna le visage vers le lit. Il fixa mes mains sur le lit et écarta mes jambes. J’étais complètement à sa merci. Mon jus de chatte coula sur mes jambes. Hans s’agenouilla et lécha tout le foutre ; il continuait à me baiser avec ses doigts. Je gémissais fort et je criais dans le compartiment. Soudain, nous entendîmes des bruits et nous devînmes moins bruyants. Je murmurais, totalement aphone, tellement javais gémi et crié.
"As-tu entendu ?" Il répondit : "Peut-être avons-nous des spectateurs ?"
Il me demanda si ça me gênait ; je répondis par la négative. Nous continuâmes et nous fîmes comme si nous étions seuls dans ce train.
Il me délia et me tourna de telle sorte que je lui offris mon cul.
Hans me dit : " Allez, penche-toi et écarte tes deux trous de ton joli con et de ton beau cul pour que je puisse bien les voir et les lécher.
Je m’agenouillai sur le bord du lit et je tendis mon cul vers le haut.
Il passa sa langue dans ma fente et suça mon clitoris ; c’était exquis.
Puis il me baisa avec les doigts. Je les mouillai copieusement, mais il ne put pas tout boire, ni tout lécher, j’avais trop de jus d’amour pour lui. Puis, soudain, j’eus sa bite pleine de foutre et prête à me baiser dans ma fente mouillée.
"Oh ! Oui c’est bon quand tu me baises comme ça". Chaque fois qu’il était sur le point de décharger, il retirait sa bite et continuait à me baiser avec ses doigts.
Mais il ne pouvait se retenir éternellement. Je sentis que nous étions tous les deux prêts à jouir et je commençai à bouger mon bassin dans un mouvement circulaire, ce qui l’excita davantage, et je sentis que nous nous vidions. C’était si bon, que nous ne pouvions plus nous arrêter de décharger des jets de foutre et de jus d’amour. Lentement, nos pulsions diminuèrent et nous nous calmâmes petit à petit.
Je voulais encore dire quelque chose, mais je m’endormis dans ses bras. Peu de temps avant d’arriver à destination, Hans me secoua légèrement et me dit que nous étions arrivés.
J’étais tout étourdie et je remarquai soudainement que Hans n’était plus dans le compartiment. Je me rhabillai lentement, me rafraîchis et espérai que le jeune homme pour lequel j’étais dans le train ne connaîtrait jamais cette aventure. Le train arriva en gare et je descendis. Mais je ne vis pas le jeune homme pour lequel j’avais fait ce voyage. Quand, soudainement, quelqu’un qui se trouvait derrière moi m’apostropha et me demanda comment le voyage s’était déroulé. Je me retournai lentement, la tête toute rouge. Devant moi se tenait Hans et il se présenta.
"Bonjour, chérie, je suis Hans et je voulais venir te chercher à la gare. "Maintenant je comprenais qu’il avait tout préparé pour que nous passions un magnifique week-end. Il avait tout planifié jusqu’au moindre détail.
J’étais enchantée et fascinée. Notre week-end fut le plus merveilleux, le plus chaud, le plus excitant des week-end que j’eus passé de toute ma vie.
Si je désirais quelque chose d’inoubliable, cela serait de revivre cette aventure dans ce train de l’amour.