J’ai enculé la femme de ménage
Il y a longtemps que j’ai envie de confesser ma perversion, mais je n’ai jamais pu m’y résoudre tant j’ai honte une fois mon plaisir atteint. J’ai 41 ans aujourd’hui, je suis marié, j’ai deux enfants, mais cette première expérience amoureuse que je vais raconter m’a toujours poursuivi mempêchant de réaliser pleinement ma vie sentimentale, elle était sans doute trop violente pour le jeune adolescent que j’étais. Cela a commencé lorsque j’avais 18 ans et que je m’éveillais à la sexualité, mon père possédait une importante collection de livres pornographiques dans laquelle je piochais avidement. A cette époque il m’arrivait de me branler une dizaine de fois par jour, soit dans ma chambre, soit dans les toilettes, si mes parents étaient là. Côté filles, ça n’allait pas très fort, à cause de ma timidité, je passais tous les après midi à la maison, à me branler furieusement. Mes parents avaient une femme de ménage portugaise, Lourdes qui venait aussi le mercredi, nous nous ignorions totalement, pourtant Lourdes était une très jolie femme de 30 ans,et possédais probablement le plus beau cul du monde et des seins magnifiques. Un mercredi alors que je me branlais dans ma chambre, elle fit irruption sans frapper, son aspirateur à la main, je devins tour rouge, ma bite à l’air, ne sachant que faire. Lourdes m’apostropha :"Mais qu’est ce que vous faites Monsieur Michel ? C’est très mal de vous toucher, c’était peut-être très mal, mais Lourdes n’en perdait pas une miette et semblait apprécier mon érection, mais qu’est-ce qu’elle est grosse votre "carahlo ", votre bite, on dirait celle d’un âne, il y a des ânes qui bandent comme ça dans mon village, elle avait dit ça en gloussant et je constatais qu’elle n’était pas aussi offusquée qu’il n’y paraissait, il est vrai que mon seul atout, c’est ma bite et elle fait bien oublier mes désavantages, plusieurs femmes se sont amusées à la mesurer, et m’ont avoué n’avoir jamais trouvé mieux et quand je bande elle atteint 31cm de long,elle parait encore plus long car son diamètre est celui d’une bite normale, Lourdes continua "quand je les vois comme ça dans le pré, je vais toujours les caresser, ils aiment ça les pauvres ânes dit-elle en chantant et en roulant les "R", ils ne peuvent pas toujours se libérer", tandis qu’elle me parlait en gesticulant, j’essayais de dissimuler ma bite sous les couvertures, malheureusement j’étais allongé au dessus du couvre lit bien tendu sous le matelas et je ne parvins à esquisser qu’un mouvement saugrenu, voyant ma gène Lourdes rangea son aspirateur consciencieusement dans un coin de la pièce et s’approcha de moi, ses yeux qui me dévoraient littéralement la bite s’humectèrent de compassion, la Portugaise se pencha au dessus de ma bite pour jauger de sa hauteur, comme si elle voyait pour la première fois un monument aussi imposant que celui de la Tour Eiffel, elle sapitoya, "mon pauvre petit, tu ne dois pas souvent enfiler ta bite dans le cul des femmes, je ne voulais pas dire que j’étais puceau et pour tourner la situation à mon avantage, j’entrais dans son jeu en tenant ma bite bien en évidence, Lourdes s’assit alors pesamment sur mon lit et elle m’excitait et je bandais de plus belle, mais ce n’est pas facile de trouver une femme avec ça dis-je en désignant ma bite, Lourdes prit soudain un coup de chaud, s’éventant le visage avec sa main, elle regardait fascinée ma bite qui se balançait sur mon ventre, une goutte de sueur partie de sa tempe et coula le long de ses cheveux elle est vraiment très belle ta bite, gloussa la femme de ménage, j’aimerais bien que la bite de mon mari soit aussi longue,vous voulez que je vous aide à vous soulager ?La tête baissée , elle avait à peine prononcé le mot, sans répondre je lui pris la main et la posa sur ma pine, Lourdes ne se fit pas prier, elle serra ma bite avec passion et dévotion , faisant aller sa main sur toute la longueur, comme pour voir qu’elle ne rêvait pas, elle se mit alors à me parler en portugais, j’imaginais qu’elle disait des quantités de mots orduriers et cette langue que je ne connais pas résonnait à mes oreilles comme la plus grossière et la plus excitante qui soit, bien qu’elle branla ma pine de façon très experte, elle avait dû en tenir des tuyaux d’aspirateur, je commençais à lui donner des indications, hum c’est bon, pouvez vous serrer un peu plus fort j’ai toujours aimé avoir un peu en me branlant, je sens alors le sang battre dans l’épaisse veine qui strie ma bite et la jouissance est bien plus forte, Lourdes compressa ma bite entre ces doigts, je ne m’attendais pas à un telle poigne et ne pus réprimer une grimace de douleur,Lourdes le vit et caressa en guise de calmant le dessus de mon gland avec la main gauche, elle fit de petits gestes circulaires qui provoquèrent des spasmes dans mon méat, tantôt s’ouvrant comme pour lâcher mon foutre, qui était pour tant encore bien chaud dans mes couilles, tantôt se refermant comme pour se protéger d’une menace éventuelle, ses caresses vicieuse marrachèrent des grognements de plaisir, j’adorais me branler en feuilletant les livres de cul de mon père, mais je préférais de loin confier ma bite à des mains moins familières que les miennes, surtout lorsqu’elles étaient douces et potelées comme celles de notre femme de ménage. En un éclair, j’entrevis toutes les après midi de plaisir que nous pourrions passer ensemble, si Lourdes y consentait, celle-ci pour le moment était tout à mon affaire, elle pencha sa petit bouche serrée au dessus de ma bite et se mit à la laper en me donnant des petit coups de langues qui me procréèrent une sensation d’extrême fraicheur après l’étau vivant qui avait malaxé ma pine sur toute sa longueur. Lourdes prit mes couilles dans ses mains et les fit rouler doucement l’une contre l’autre, j’avais envie de multiplier les plaisirs,c’était terriblement bon ce qu’elle me faisait,mais je voulais en profiter encore plus, j’avais caché sous le le deuxième oreiller 4 revues"hard", que mon copain de classe venait de me refiler, j’avais envie d’images très puissantes, comme voir une fille se faire enculer par un chien ou encore une autre lécher la bite d’un cheval et cette autre se faire mettre par tous les trous, dans son con, dans son cul et dans sa bouche, je tendis ma main en dessous loreiller et tâtonnais pour trouver ces fiches magazines, la Portugaise sarrêta soudain et me regardait avec un air dans lequel se mêlait du dépit et une pointe de méchanceté. Elle me lança :" Si vous n’aimez pas, Monsieur Michel, je peux arrêter", j’ai eu peur de cette menace et je portais mes mains sur ses nichons, pour l’apaiser, je sentis des globes fermes et lourds sous le fin tissu fleuri, non s’il vous plait, vous me faites tellement de bien, continuez à me pomper la bite, j’ai envie de me vider les couilles et d’un air malicieux je lui posais la question qui me brulait les lèvres depuis un bout de temps, Lourdes, répondez moi sans tricher, les ânes, je ne pus continuer j’étais taraudée par une gène folle. "Quels ânes Monsieur Michel" .Les ânes de votre village, vous les avez caressés? Est-ce que vous l’avez fait avec les mains ? Ou avec la bouche? Lourdes partit d’un rire énorme qui envahi toute la pièce, elle sécha d’un doigt une larme de fou rire qui perlait le long de ses yeux,"Monsieur Michel, vous voyez ma bouche, elle est trop petite pour les ânes, ils me casseraient les dents, ne bougez pas, ne faites rien, laissez vous aller, je vais vous faire comme j’en ai envie", je fermais les yeux et je sentais ma bite gobée par un étau étroit et mouillé qui me fit bander à en éclater, Lourdes me pistonnait la bite de plus en plus vite traçant à lintérieur de sa bouche des arabesques sur mon gland avec sa langue, mes couilles serrées au maximum poussèrent sur la base de ma bite et je sentis le jet de foutre sourdre dans ma bite, Lourdes se retira d’un coup et mon foutre vint éclabousser son visage, son front, ses joues, ses narines, crème de beauté susurra-t-elle coquettement, c’est pour ne pas devenir vieille, Monsieur Michel . J’étais crevé , elle m’avait vidé complètement, elle me regarda gourmande "et moi vous voulez me faire plaisir" ? Je ne peux pas, vous m’avez mis dans un drôle d’état, regardez ma bite, elle est toute fatiguée,"juste un petit service, Monsieur Michel, c’est pas difficile, faites moi plaisir, dites si, d’accord", que dois-je faire ? Lourdes se leva d’un bon du lit et trottina vers le coin de la pièce, elle souleva l’aspirateur et le mit devant le lit, pas besoin de vous lever, vous pouvez rester allongé, intrigué par son manège, je regardais Lourdes aller brancher la prise de l’aspirateur près de la porte, elle revint près de moi , souleva sa robe et enleva à ma grande surprise une culotte de coton blanc, qu’elle laissa retomber sur ses chaussures , la toison était tellement fournie de poils drus et noirs, que son tablier de sapeur en prenait un teinte violette, jamais je n’avais vu une chatte aussi poilue, si la bouche de Lourdes était petite et serrée, les lèvres de son con par contre pendait démesurément, c’était comme si elle avait mis d’énormes poids pour les attirer le plus possible vers le sol, Lourdes me dit "Monsieur Michel, je vais parler maintenant, car vous n’allez plus rien entendre, l’aspirateur fait du bruit, plus rien entendre, dit elle dans un geste, vous allez tenir l’aspirateur et frotter, sans attendre ma réponse Lourdes appuya sur le bouton de l’aspirateur qui se mit en marche, elle régla le bouton de la puissance à son minimum et dévissa la plaquette qui servait à brosser les tapis, le manche de l’aspirateur darda de manière provocante son trou béant, Lourdes me le mis entre les mains et souleva à nouveau sa robe, elle me parla, mais je n’entendis rien, impatiente, elle me prit l’embout des mains et se mit à le passer sur sa toison, puis lentement en direction de sa chatte, elle me tendit à nouveau l’aspirateur, je le pointais cette fois dans la direction qu’elle voulait, je m’approchais de son con et commençais à caresser son clito avec le bout, pour m’aider elle écarta les poils de sa chatte et mit son bouton à nu, il fut aspiré par une énorme caresse, je faisais des mouvements de haut en bas, pour donner un peu de répits à cet endroit qui commençait à être était terriblement gonflé, le clitoris avait doublé de volume et Lourdes regardait le spectacle en gémissant et puis à son tour elle prit le manche de l’aspirateur et l’approcha de ses lèvres, dés qu’elle fut près de la soufflerie elle se mirent à battre violemment tout en faisant un bruit de succion, lorsqu’elles entrèrent en contact avec l’appareil. Lourdes répéta la manuvre une bonne dizaine de fois avant qu’elle me fasse signe de le faire moi même, j’étais à nouveau excité par ce spectacle étonnant et je mempressais de satisfaire sa demande, j’approchais le bout du manche de l’aspirateur comme je l’avais vu faire, aussitôt les lèvres se mirent à clapoter énergiquement, s’étirèrent à lextrême avant de s’engouffrer dans le tube, je comprenais à présent d’où provenait la longueur démesurée de la chatte de Lourdes, prise au jeu, je me penchais sur le bord du lit, juste assez pour augmenter la puissance de l’aspirateur, j’entendais les cris de Lourdes qui ressemblaient plus à des râles de plaisir que de douleur, j’écartais son con et mis l’embout dedans, le ventre de Lourdes se contracta sous la poussée, Lourdes jouit d’un coup et dans moment de plaisir intense lâcha même quelques gouttes de pisse qui retombèrent sur ma main, je fis aller et venir profondément le tube métallique dans son con provoquant chaque fois que j’en touchais le fond de longs spasmes qui faisaient trembler mon bras, cela en n’était trop, ma bite me faisait mal de bander, je plaçais le manche le plus loin possible dans fourreau bouillant et pris la main de Lourdes pour le faire tenir en elle, elle comprit ce que je voulais et tint fermement l’objet, je me levais et me mis derrière la femme de ménage, la fis pencher en avant, mouillais mon gland et écartant ses fesses au maximum, je l’enculais d’un seul coup, lui déchirant les chairs avec mon énorme bite, après cette brutale intromission, je ne pus faire aucun mouvement tant le manche de l’aspirateur m’opprimait la bite derrière la cloison anale, le nerf et notre chair étaient tendus à l’extrême, nous jouîmes en gueulant affreusement, Lourdes s’affala sur le lit, le tuyau toujours dans son con, j’éteignis l’aspirateur, Lourdes murmura, "mon petit Michel, mon petit Michel", je me rhabillais, les jambes en coton, et quittais la chambre la laissant récupérer. Nous continuons à nous voir le mercredi après-midi, Lourdes vient en générale me demander si je n’ai besoin de rien, elle me file des livres "cochon" en échange de sa jouissance, je lui demande toujours de me satisfaire avant elle, c’est elle la servante, que je sache parfois je lance à mes parents à table :"Je voudrais bien passer l’aspirateur", ils me répondent "Lourdes est là pour ça" alors je pouffe de rire et ils ne savent pas pourquoi, mais je suis droguée et quand je vois une fille, je pense toujours à la ramoner avec un aspirateur. A ce stade, je crois que c’est devenu une perversion.