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J'ai perverti la mère de mon copain – Chapitre 8

ce n'est que du rock and roll - Chapitre 1



Je me réveillais, un peu déboussolé n’ayant pas de notion de l’heure qu’il était. J’étais seul dans le lit. Du bruit venant du bas de l’escalier m’indiqua que Sophie était dans le séjour.

Je me levais et descendais la rejoindre. Elle était en train de dresser le couvert sur la table basse du salon pour prendre une collation. Elle avait revêtu sa robe de chambre.

Je me suis approché d’elle par derrière, j’ai passé mes bras autour d’elle et placé mes mains sur sa poitrine. Elle s’est retournée et a plaqué sa bouche sur la mienne pour me rouler une pelle, pendant que j’ouvrais de devant de sa robe de chambre pour passer mes bras autour d’elle et la plaquer contre moi. Elle était toujours nue en dessous. Sa poitrine est venue se coller contre la mienne pendant que mon sexe, qui avait repris de la vigueur, est allé à la rencontre du sien. Mon gland est venu heurter sa chatte toujours lubrifiée et prête à m’accueillir en elle.

« Soyons raisonnable. » me murmura-t-elle, « J’ai des courses à faire au centre commercial. »

« Je peux vous accompagner si vous voulez. » lui ai-je répondu.

« D’accord, mais on va manger quelque chose avant, car tout ça m’a ouvert lappétit. » me répondit-elle en retour.

Nous avons rapidement manger une salade composée qu’elle avait préparé, puis nous nous sommes habillés pour sortir. Moi j’ai récupéré mes vêtements restés dans le salon, pendant qu’elle montait à l’étage pour s’habiller.

Quand elle est redescendue, elle avait revêtu sa jupe plissée et un pull échancré, qui donnait une jolie vue sur ses seins maintenus dans un soutien gorge. Elle avait les jambes nues.

Lorsqu’elle c’est approché de moi, j’en ai profité pour passer ma main sous sa jupe pour lui caresser l’entrejambe. Elle avait mis une de ses petites culottes de coton que je n’aime pas beaucoup. Alors je lui ai fait la remarque et lui ai demandé de ne pas porter de petite culotte.

Elle s’exécuta et jeta sa culotte sur le canapé. J’en profitais pour lui demander de retirer également le soutien-gorge qu’elle portait.

Puis nous sommes sortis et avons gagnés sa voiture, stationnée non loin de là. Elle au volant, moi du côté passager et alors qu’elle démarrait, je ne perdais pas de temps et je posais ma main sur sa cuisse droite pour remonter doucement sous sa jupe pour gagner l’endroit que j’aimais posséder, sa chatte, et sentir sa toison humide.

Durant tout le voyage j’ai joué avec sa chatte toute humide. Parfois elle réagissait brusquement en serrant les cuisses ce qui provoquait une conduite un peu erratique. On a frôlé quelques fois la sortie de route. Mais lorsque son spasme était passé, elle écartait à nouveau les cuisses pour en redemander, jusqu’au spasme suivant. Une vraie gourmande.

Nous sommes arrivés sans encombre au centre commercial. Elle m’a fait prendre un chariot pour y mettre les achats et nous sommes entrés dans la galerie marchande. Nous poussions le chariot tous les deux, côte à côte. J’ai enlacé subrepticement sa taille, mais elle s’en est échappé en me faisant la remarque que quelqu’un qu’elle pourrait connaître pouvait nous voir.

Alors que nous remontions la galerie principale, nous passons devant le magasin d’un grande enseigne de lingerie féminine. Immédiatement je m’arrête devant pour admirer les jolies choses qui sont exposées en vitrine. Il y a là des ensembles très sexy, la plupart en dentelle.

Je remarque surtout des guêpières et des portes jarretelles, mais également de jolis ensembles soutien-gorge et culottes du meilleur effet.

Elle même regarde, mais semble plutôt absente, comme si elle voulait ignorer ce qu’elle avait devant les yeux.

Je lui fait la remarque que je la verrais bien dans l’un de ces ensembles.

« Tu ne voudrais tout de même pas que je porte ça, » me dit-elle d’un ton détaché. « Et que dirait mon mari s’il trouvait ce genre de sous-vêtement dans ma commode, » continua-t-elle.

« Et bien je crois qu’il apprécierait, » lui ai-je répondu du tac au tac. « Et si j’avais un peu d’argent, je vous en achèterais, et je crois que vous seriez encore plus sexy avec de tels sous-vêtements. »

Elle se remit à pousser le chariot en direction du supermarché, et j’ai quitté à regret la vitrine. Mais je retenais dans un coin de ma tête son existence, et je décidais que je lui offrirais de tels dessous dès que j’en aurais les moyens.

Nous avons fait les courses dans le supermarché. Au détours de certaines allées, entre les rayons, lorsque nous étions seuls, j’en profitais parfois pour glisser une main sous sa jupe pour caresser ses fesses nues. Lorsqu’elle s’accroupissait pour prendre un produit en bas d’un rayon et que personne ne pouvait me voir, je maccroupissais près d’elle et je passais une main sous sa jupe à la rencontre de sa chatte humide. Lorsque que je faisais ce geste, elle sattardait dans le choix du produit, et ajustait l’écartement de ses cuisses pour me faciliter l’accès et me permettre d’introduire mes doigts entre ses lèvres ouvertes.

Lorsqu’elle se relevait je pouvais voir dans ses yeux une lueur coquine de femme comblée.

Les courses terminées, nous sommes passés en caisse. Devant le tapis roulant sur lequel nous avons mis tous les produits du chariot, je me collais à Sophie et passais mes mains sous sa jupe pour malaxer ses fesses nues, sans qu’elle puisse faire aucune remarque ou protester devant la caissière.

Je la sentais gênée de cette situation, où nous pouvons être surpris.

Une fois le paiement effectué et le chariot rechargé, nous avons regagné sagement la voiture sur le parking et mis toutes les courses dans des cartons dans le coffre de la voiture. Puis nous avons pris la route pour rentrer chez Sophie.

Nous devisions tous les deux, et Sophie aborda le sujet des sous-vêtements qui étaient exposées dans la vitrine devant laquelle je m’étais arrêté au centre commercial. Elle me demanda si j’aimerais qu’elle porte ce genre de sous-vêtements pour moi.

Je lui répondais que cela m’exciterais bien de la voir porter des sous vêtements beaucoup plus sexy que ceux qu’elle porte habituellement. Je lui fis la remarque au sujet du shorty de dentelle qu’elle portait le dimanche précédent et qui m’avait surpris et excité à la fois. Elle m’avoua qu’elle l’avait acheté spécialement pour moi, ce qui provoqua instantanément le durcissement de mon sexe qui était déjà à demi bandé par le tour que la conversation prenait.

Alors que nous roulions sur la nationale, et que ma main avait repris sa place entre ses cuisses, à caresser sa chatte, Sophie a ralenti puis elle a engagé la voiture sur une petite route départementale.

Je lui ai demandé ce qu’elle faisait. Elle m’a répondu que c’était un raccourci. Mais après quelques minutes, alors que nous roulions sur une portion de route boisée, elle s’engagea dans un chemin forestier, stoppa la voiture, et coupa le contact. Le silence des bois nous enveloppait et seul le chant d’oiseaux troublait ce silence.

Elle déboucla sa ceinture de sécurité, recula son siège et le bascula en arrière en position couchée, m’invitant à faire de même. Puis elle se pencha au dessus de moi pour que nos lèvres se rencontrent.

J’ai entre-ouvert les miennes dès que sa langue a cherché son chemin vers la mienne.

Pendant que nous nous embrassions, j’ai senti sa main descendre vers mon ventre et commencer à déboucler ma ceinture, puis à déboutonner mon pantalon. Ensuite sa main s’est infiltrée sous la ceinture de mon slip pour venir empoigner mon sexe qui commençait à bander. Après quelques va-et-vient fait avec douceur elle a libéré ma bouche et s’est redressée.

Tout en me regardant d’un air que je ne lui connaissais pas jusqu’à maintenant, elle a mis ses mains de part et dautre de mes hanches, attrapé la ceinture de mon slip et de mon pantalon pour les faire glisser vers le bas.

Comprenant qu’elle voulait m’en débarrasser, j’ai soulevé les fesses pour lui faciliter la tâche. Je me suis retrouvé alors le pantalon et le slip au genoux, mon sexe fièrement dressé.

Elle reprit alors mon sexe en main et recommença ses va-et-vient, puis cessa le mouvement pour garder mon gland complètement décalotté.

Je la vis à ce moment là se pencher en avant et venir déposer un baiser sur mon gland ainsi exposé. Puis elle déposa un second baiser et après m’avoir lancer un regard plein de désir, elle ouvrit la bouche et prit mon gland entre ses lèvres. Elle prenait l’initiative de me faire une pipe et j’en était ravi. L’expérience de ce matin avait porté ses fruits, et là ce n’était pas moi qui lui imposait de le faire. Elle enfonça plus sa bouche autour de la queue tendue, laissant échapper des bruits de succion mouillée. Et cette fois les va-et-vient autour de mon sexe étaient fait avec sa bouche. Je n’allais pas résister longtemps. Le fait que savoir que c’était Sophie, la mère de mon copain Laurent, qui me faisait une pipe, et que c’était sans doute la première fois qu’elle prenait une telle initiative, augmenta mon plaisir. J’étais proche de l’explosion.

Elle dut le sentir, car elle libéra ma queue juste à temps, mais ne fut pas assez rapide pour se dégager à temps. Elle reçu un premier jet violent de mon sperme en pleine figure, puis le second est venu s’écraser dans ses cheveux. Ceux qui suivirent, moins puissants, sont venus mourir sur mon bas-ventre.

Elle se releva, étonnée de ce qui venait d’arriver. Elle avait une importante quantité de mon sperme sur la joue, et une autre dans les cheveux. Je profitais de sa position relevée pour glisser mes mains sous son pull-over. J’empoignais ses magnifiques seins replets, libres de soutien-gorge, et fit remonter le pull-over au dessus de sa poitrine pour bien les dégager.

Je les malaxais un moment, puis jeus l’idée de récupérer tout le sperme de sa joue pour l’étaler sur son sein gauche. Je massais ce sein pour bien l’enduire de mon sperme. Puis, récupérant le sperme qui avait giclé sur mon bas-ventre, j’enduisais son sein gauche à son tour.

De la voir ainsi les seins à l’air, luisant du sperme que j’y avais étalé, revigora ma queue qui se redressait à nouveau. S’en apercevant, elle franchit la console centrale pour venir s’empaler sur mon sexe, qui sintroduit aisément tellement elle mouillait.

Elle resta ainsi, empalée sur ma queue, les seins à l’air que je continuais à malaxer des deux mains. Elle faisait jouer les muscles de son vagin autour de ma hampe, en les contractant, alors que mes mains malaxaient ses seins, roulant ses tétons entre le pouce et l’index, tirant dessus de temps en temps. Elle commença à onduler son bassin et à entreprendre un lent va-et-vient sur la bite tendue au maximum. Elle accéléra le mouvement petit à petit et je voyais monter le plaisir sur son visage et dans ses yeux. Puis j’ai senti son corps vibrer, secoué par un violent orgasme qui éclatait. Elle poussa un râle de plaisir et s’effondra sur ma poitrine.

Je sentais son souffle chaud dans mon cou. Elle reprenait doucement ses esprits et sa respiration s’apaisait doucement.

« C’est merveilleux, dommage qu’ils rentrent bientôt. » me murmura-t- à l’oreille, en parlant de son mari et de son fils.

Nous sommes restés enfichés l’un dans l’autre tout le temps de sa récupération. N’ayant pour ma part pas éjaculé à nouveau, je restais en érection, et je bougeais de temps en temps dans son vagin pour essayer de réveiller un nouveau désir de sa part. Je voulais lui en redonner une dose.

Cette action fit son effet. Elle se redressa à nouveau, les seins toujours à l’air, le pull-over relevé au dessus d’eux, et entrepris de nouveau à faire aller ma bite dans son vagin.

Je voyais son visage changer lentement, matérialisant la montée d’un nouvel orgasme en elle. Enfin ses yeux montraient l’arrivée de ce nouvel orgasme, et la vue de cette bourgeoise s’offrant à moi seins nus provoqua l’arrivée du mien. Simultanément nous avons ressenti chacun un orgasme. Elle se contracta et cria son plaisir, pendant que je libérais une nouvel quantité de semence dans son utérus.

Elle s’écroula à nouveau sur moi, vaincue par le plaisir. Elle resta ainsi un long moment, les seins écrasés sur ma poitrine, durant lequel je sentais mon sexe débander et ressortir à regret de son vagin. Enfin elle se redressa pour regagner le siège conducteur, mais je la retenais un moment pour récupérer les liqueurs qui s’écoulaient de la chatte. Je sentais ses lèvres grandes ouvertes. Le mélange de mon sperme et de sa liqueur emplissait la paume de ma main. J’en enduisais ensuite ses seins toujours exposés. Je commençais l’opération à plusieurs reprise. J’avais devant mes yeux deux magnifiques seins, luisant de l’onguent que je leur avais appliqué.

Elle regagna enfin son siège. Nous allions reprendre notre route de retour. En me rhabillant, je lui demandais de remonter sa jupe pour ne pas la mouiller, comme cela avait été le cas lorsque nous sommes allés au fast-food. Elle pris un mouchoir dans son sac pour ne pas salir le siège. Je lui demandais aussi de garder son pull-over relevé pour garder ses seins à l’air et les laisser sécher comme ça. La ceinture de sécurité lui séparait bien les seins de surcroît.

Elle me dit qu’elle resterait comme ça, pour me faire plaisir, jusqu’à ce que nous rentrions dans le prochain village. La voiture était envahie d’une odeur de baise, et nous gardions les vitres fermées pour continuer à nous enivrer de cette odeur d’amour. Puis à l’arrivée au premier village, elle abaissa son pull-over pour couvrir ses seins. Il ne me restait plus que la jupe relevée pour admirer sa chatte et les poils encore collés par les liqueurs qui s’en étaient écoulées. Ma main avait repris sa place entre ses cuisses pour continuer à lui donner du plaisir.

Arrivés chez Sophie, alors que nous étions entrain de garer la voiture nous avons eu la surprise de voir arriver la voiture du mari de Sophie qui revenait de province, avec mon copain Laurent à bord. Elle s’empressa de sortir de la voiture pour se précipiter dans le pavillon, comme si elle avait une envie pressante, me donnant la consigne de décharger le coffre de la voiture. Je me rappelait que son soutien-gorge et sa petite culotte avaient été abandonnés sur le canapé lors de notre départ.

Henri, son mari, et son fils Laurent, mon copain, me rejoignirent. Laurent m’aida à décharger la voiture pendant que son père regagnait le pavillon avec les bagages.

Quand je suis arrivé dans la cuisine, j’ai remarqué dans le dos de Sophie l’attache du soutien gorge sous son pull-over. A l’idée des seins enduits de sperme et de mouille dans les bonnets du soutien-gorge j’ai commencé à rebander. Profitant d’un instant où nous étions seuls dans la cuisine, j’ai passé ma mains sous sa jupe pour constater qu’elle avait remis sa petite culotte. La chaude bourgeoise était redevenue une chaste mère de famille. Mais la tache humide de la petite culotte entre ses jambes trahissait le résultat de nos ébats.

J’ai alors pris congé de la famille pour rentrer chez moi, la tête plein de souvenirs de cette superbe journée où j’avais réussi à dévergonder la mère de mon copain Laurent.

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