J’ai trouvé. C’est lui. Chapitre 2
Benjamin me tend la main afin de m’aider à me relever.
Il dépose un baiser d’une douceur extrême sur mes lèvres ce qui tranche avec les instants torrides, animales que nous venons de vivre.
Tu as faim ?
Je hoche la tête avec un grand sourire, trop contente que ces instants avec Benjamin se poursuivent
Allons chez moi, j’habite à 5 min à pied.
Nous nous habillons sans un mot.
J’exulte intérieurement de savoir qu’il va m’emmener chez lui, de connaître où il vit. Je n’ai plus envie de le quitter ne serait-ce qu’une seconde.
Sur le chemin, il m’interroge :
Cela faisait longtemps que tu n’avais pas fait l’amour ?
Oui. Deux ans et je n’avais jamais fait l’amour … Comme cela … mais c’était … magique !
En disant ces mots, je baisse la tête un peu gênée en repensant à la façon dont je me suis comportée et en même temps, je ne me suis jamais sentie aussi femme, sure de ma séduction.
Jamais je n’aurai imaginé que je puisse provoquer autant d’animalité et de désir chez un homme.
Nous arrivons chez Benjamin, son appartement est splendide, épuré, mais aménagé avec goût.
Il m’aide à retirer ma veste, la range. Il se dirige vers la cuisine, une cuisine ultra-design et ouvrant le frigo annonce :
ufs brouillés et saumon fumé cela te va ?
Oui parfait.
J’ai faim, mais j’ai encore plus faim de lui, j’espérai qu’une fois arrivés chez lui, qu’il me fasse l’amour tout de suite, mais il semble plus préoccupé par son estomac.
Je suis un peu déçue, mais je ne dis rien.
Puis-je t’aider à quelque chose ?
Oui, sers-nous un verre de vin blanc du réfrigérateur pendant que je fais les ufs. Prépare les assiettes aussi, cela ne prendra que 5 minutes.
Une fois servi sur le bar de la cuisine, assis l’un en face de l’autre, j’engloutis les ufs et le saumon à vitesse grand V. je ne sais si c’est de faire l’amour ainsi ou si Benjamin est un expert des ufs brouillés, mais je n’en ai jamais mangé d’aussi bons.
ça fait du bien non ?
Oh, oui, je ne pensais pas avoir aussi faim, c’était délicieux.
Benjamin nous sert ensuite un verre de vin rouge pour accompagner les fromages qu’il a sous cloche. Je me régale, j’engloutis encore plusieurs tartines de pain en goûtant chaque fromage.
Je vois qu’il m’observe, un sourire en coin.
Tu sais Benjamin, c’est la première fois que …
Oui j’ai bien compris.
Non, mais … c’est la première fois que j’use de mots crus quand je fais l’amour, jamais ça ne m’était arrivé avant. J’étais, disons classique. Je ne voudrais pas que tu penses que …
En me coupant, il répond :
Mais je ne pense rien. Sois tranquille.
Il boit une dernière gorgée de son vin rouge et me dit :
Viens là.
Je contourne le bar, j’ai un sourire jusqu’aux oreilles, je m’approche de lui comme il me l’a demandé. Il glisse de sa chaise haute, me prend par la taille, me tire vers lui avec force et me dit :
C’est exactement comme cela que je te veux !
Il m’embrasse passionnément, je lui rends son baiser avec la même intensité. Je sens mes jambes se dérober, le désir monte encore en moi, mon sexe se liquéfie. Tout cela presque instantanément.
Déshabille-toi !
Je ne m’attendais pas à cela, mais je m’exécute puisque tel est son plaisir.
Je défais les boutons de ma robe un à un, j’aimerais faire durer le plaisir pour l’exciter davantage, mais je suis trop pressée d’être dans ses bras.
Il ne me faut que quelques secondes pour me retrouver nue devant lui.
Il me regarde fixement. J’ai envie de lui sauter au cou, de lui arracher sa chemise, d’embrasser chaque centimètre de son corps.
Mais j’attends. J’attends qu’il me dise quoi faire. Il se lève, s’approche de moi et me prend la main :
Suis-moi.
Il m’emmène dans sa chambre, une grande chambre dont les murs sont blancs, habillés de glaces aux quatre murs.
Monte sur le bord du lit, mets-toi à genoux, écarte les cuisses, main derrière la tête !
Je m’exécute
Ouvre la bouche et tire la langue.
Je suis face à mon reflet dans une des glaces de la chambre. Je reste immobile. Je me contemple.
Ma position est obscène, mon comportement, presque autant, je vois mes lèvres luisantes de mouille.
Cambre-toi !
J’obéis aux ordres espérant ma récompense : lui.
Il s’approche de moi. Je le vois de dos dans la glace.
Il prend un de mes tétons, le tire longuement, pas très fort, mais assez pour que je ressente une pointe de douleur.
Je me retiens d’émettre un gémissement. Cet homme me rend dingue, à peine me touche-t-il que je suis en ébullition.
Il pose un genou sur le lit, caresse l’intérieur de mes cuisses. Je suis toujours dans la position qu’il m’a demandée.
Je vais encore te branler fort.
…
Je n’attends que ça, qu’il me touche, qu’il me fasse jouir. Mais je ne réponds pas.
Tu veux que je te fasse jouir ?
Je réponds un oui à peine audible, j’ai honte de moi en me voyant ainsi dans la glace
Je n’ai pas entendu ?
Oui.
Oui quoi ?
N’en pouvant plus je lâche à haute voix :
Oui, vas-y, branle-moi fort ! Je veux que tu me fasses jouir !
Je le vois sourire devant moi.
Il glisse directement trois doigts dans mon sexe trempé par tant d’attente, il les enfonce profondément sans les bouger.
Je ne peux retenir un gémissement profond :
Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh.
C’est bon ! Je n’en pouvais plus d’attendre.
Il reste immobile dans mon antre, les trois doigts enfoncés profondément.
Je n’y tiens plus, c’est moi qui bouge mon bassin pour sentir ses doigts en moi. Je gémis à chaque mouvement.
C’est toi qui vas te branler sur mes doigts, vas-y !
Je me lâche complètement, comme une chienne en chaleur, je fais des va-et-vient sur sa main, je monte et redescends sur ses doigts, je frotte mon clitoris contre son pouce. Je ne mets pas longtemps à jouir dans un grand cri rauque.
Je m’étale sur le lit, il retire sa main, me donne à sucer chaque doigt empli de ma mouille, puis m’embrasse sur la bouche.
Cette fois je vais prendre l’initiative.
Je le tire vers moi et le plaque dos au matelas. Je l’embrasse de toutes mes forces, lui arrache pratiquement sa chemise.
J’embrasse son cou, son torse, de mille baisers.
Je défais la ceinture de son pantalon, baisse sa fermeture éclair. Glisse une main dans son boxer. Puis je remonte l’embrasser à pleine bouche en même temps que je caresse son sexe dressé dans son boxer.
Je ne peux m’empêcher de le couvrir de baisers, partout sur son corps, je le vénère de la façon la plus animale qui puisse exister : Avec ma bouche.
Je lui retire ses chaussures, son pantalon. Il est nu, devant moi, son sexe dressé que j’embrasse et lèche à n’en plus finir. Je sens sa queue qui frétille à chacune de mes attentions.
J’entends sa respiration s’accélérer et devenir plus bruyante.
Je le regarde et en même temps je peux m’observer dans la glace face à moi. Je souris, je ris même, tant je me découvre tigresse prête à tout pour dévorer cet homme.
C’est à ce moment qu’il attrape mes cheveux et me dit :
Cela a assez duré petite pute, suce-moi maintenant.
Je suis trop heureuse de l’avoir fait craquer. Je le suce de toute mon âme.
De sa main, il m’enfonce sur sa queue, il soulève en même temps son bassin pour s’enfoncer profondément. Il tape contre le fond de ma gorge.
Ouvre ta gorge, je vais t’apprendre à faire des gorges profondes petite chienne !
Je n’ai jamais fait cela, je tente toutefois de le laisser passer ma luette, mais j’ai un réflexe de rejet.
Il recommence. Cette fois je le sens passer, mais je ne tiens que quelques secondes avant d’étouffer.
Je me retire le temps de reprendre ma respiration. Mes yeux pleurants et filets de bave s’échappent de ma bouche.
Sans attendre plus longtemps, il s’enfonce à nouveau au fond de ma gorge, me tire fortement un téton. Il va-et-vient ainsi pendant plusieurs minutes, maltraitant mes seins, allant de plus en plus loin dans ma gorge.
Il se redresse, me tire par les cheveux pour me remettre à genoux sur le lit.
Il gifle mes seins, l’un après l’autre. Je me vois à nouveau dans la glace.
Mon Rummel a coulé, il me tient par les cheveux, je le vois glisser sa main entre mes cuisses, enfoncer deux doigts dans mon sexe. Mon Dieu que c’est bon. Je gémis longuement en fermant les yeux.
On dirait que cela te plaît de te faire bousculer et maltraiter. Tu as la chatte toute trempée.
Pour seule réponse je gémis encore plus fort.
Il me branle frénétiquement maintenant. J’entends le clic et clac de ses doigts dans ma chatte.
Je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses. Je n’y résiste pas, je feule, j’explose dans un grand :
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
J’ai à peine le temps de me remettre de ce violent orgasme, qu’il m’attrape de nouveau par les cheveux et recommence à me baiser la bouche profondément, maltraite encore mes seins, puis recommence à me branler très fort.
Je jouis encore d’un terrible orgasme.
Quand je reprends mes esprits, je vois mon image dans la glace. Le reflet montre une femme totalement dépravée, le visage complètement ravagé, de la bave aux lèvres, des yeux hors de leurs orbites, la poitrine haletante. Les draps sont trempés de ma cyprine.
Mais je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie !
Mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit !
Il se positionne debout, hors du lit et m’enfile d’un coup jusqu’à la garde.
Ahhhhhhhhhhhhhh.
Je n’arrive pas à y croire. Jamais je n’aurai cru être capable de jouir autant. Il me pilonne sans ménagement. Je perds encore une fois le contrôle de tout.
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, encoreeeeeeeee, plus fort ! Vas-y ! Défonce-moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Il accélère, comme si cela était encore possible, je le sens venir lui aussi. Il explose en moi dans un râle puissant et bruyant.
Je jouis avec lui. Je suis comme un volcan qui expulse sa lave, mon corps se désarticule, les spasmes font de moi une marionnette incapable de maîtriser quoi que ce soit. J’ai l’impression que mon cerveau explose.
Il me faut plusieurs minutes avant que les répliques de mon orgasme ne cessent. Quand je reprends mes esprits, il est allongé près de moi, la poitrine encore haletante. Je lui souris amoureusement, je viens sur lui et l’embrasse.
Tu as oublié quelque chose.
??? Quoi ?
Nettoie ma queue. N’oublie jamais de nettoyer ma queue.
Je souris. J’aime. J’aime ce qu’il me demande.
Je descends à hauteur de son bassin et gobe son sexe qui n’a pas encore totalement perdu de sa vigueur.
Je le nettoie du mieux possible en le regardant droit dans les yeux. Je l’aspire en exagérant les bruits de succion, je passe ma langue partout, sous ses bourses pour recueillir la moindre goutte de nos fluides.
Puis je remonte, l’embrasse une énième fois. Je pose ma tête sur son épaule, caresse son torse et nous sommes là tous les deux, sans rien dire, récupérant de nos ébats, avant de nous endormir …
Il fait encore nuit quand je me réveille. Benjamin n’est plus dans le lit.
Quelle heure est-il ?
Ma montre indique 3h00 du matin.
Je me lève, ouvre la porte de la chambre et j’aperçois la lumière de la cuisine.
Je m’avance à pas feutrés.
Il m’entend et me dit :
Viens ma belle, tu as faim ?
Je souris. Manger et faire l’amour avec lui, je crois qu’à cet instant c’est ce que j’aimerai faire le restant de mes jours.
Quand il me voit entrer dans la cuisine, il me sourit.
Il y a du Roastbeef et une mayonnaise maison si tu veux.
Oui je veux bien.
Pour la deuxième fois de la soirée, nous nous attablons au bar de la cuisine pour manger.
Je dévore trois tranches de viande et un verre de vin rouge, comme si j’étais en hypoglycémie.
Je lève la tête furtivement entre deux bouchées et lui sourit un peu bêtement.
Et bien tu avais encore une belle petite faim.
Oui ça creuse de faire l’amour … avec toi.
Il rit franchement à ma dernière phrase.
Cette fois c’est lui qui contourne le bar et vient près de moi.
Je suis nue tout comme lui. Nous nous embrassons lui debout moi sur la chaise haute.
Je sens son sexe se dresser contre le mien.
Je le prends en main, je le veux, sans faire de fioritures, une main sur ses fesses, l’autre sur son sexe, je le guide entre mes cuisses pour qu’il me pénètre.
Il le fait avec une infinie douceur. Ces va-et-vient sont profonds et lents. Je l’embrase avec encore plus de passion, l’invitant à poursuivre ses mouvements de reins.
Je sens le plaisir monter en moi, comme une vague qui déferle au loin, qui se rapproche, presque dangereusement, puis je suis balayée par cette vague de plaisir, perdant toute notion de temps et d’espace.
Quand je reprends mes esprits, il s’est retiré de moi et je lui dis :
Avec toi, je crois que je ferai l’amour tous les jours …
Il sourit de cet air qui m’excite tant, me prend la main et m’emmène dans la chambre qu’il rallume.
Debout au pied du lit, il m’invite à m’agenouiller par une légère pression sur les épaules.
Je ne me fais pas prier, trop heureuse de lui donner du plaisir.
Gobe-moi les couilles.
Je m’applique à lui gober les bourses, les lécher, pendant que je le regarde avec un air le plus lubrique possible.
Je le masturbe en même temps et je vois que ma gâterie lui plaît au plus haut point.
Il m’aide à me relever, se place derrière moi.
Je le vois, plus grand que moi, dans la glace à laquelle nous faisons face.
Il empoigne mes seins à pleine main, les rapprochant l’un contre l’autre, excitant leur pointe avec ses doigts.
C’est d’un érotisme extrême et mon Dieu que c’est bon !
Comment fais-tu pour avoir autant d’expérience ?
Pour seule réponse, il glisse une main entre mes cuisses et commence une longue rotation avec ses doigts dans mon sexe. Je ne peux m’empêcher de gémir.
Puis il me penche en avant, mes avant-bras sur la glace qui nous fait face.
Il me claque les fesses :
Cambre-toi !
Il me tire les cheveux. Pour accentuer encore la cambrure.
Dans cette position, jai les tétons qui frôlent le froid de la glace. Il abat de nouveau sa main sur mes fesses, montrant qui domine dans cette chambre.
Je sens son sexe dressé contre la raie de mes fesses. Je le veux. J’accentue encore plus ma cambrure pour aller me frotter contre lui.
Dans la glace, je le vois baisser la tête, prendre son sexe en main et je sens son gland forcer ma rondelle. Je l’aide en poussant moi aussi pour l’accueillir en moi.
Il s’introduit lentement d’une traite. Il est dur et m’écartèle. Je le sens bien passer !
J’avais oublié comment il m’avait détruit l’anus un peu plus tôt dans la soirée.
Mais il est attentif, reste un instant sans bouger, puis commence de tout petits va-et-vient dans mon cul.
Une main sur mon sein qu’il maltraite avec dextérité, puis deux doigts dans ma chatte font qu’il ne faut pas longtemps pour apprécier ses coups de reins qui sont de plus en plus amples.
Je pousse sur mes avant-bras, pour qu’il aille plus profondément en moi. A chaque coup de queue, mes seins sont plaqués contre la glace.
Je commence à gémir sans discontinuer.
0h ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, c’est bon !
Tu aimes te faire enculer petite salope ! Hein ?
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, encore, plus fort !
Il me pilonne littéralement le cul, me claque les fesses de plus en plus fort, je crie, je feule comme une damnée.
Défonce moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! le culllllllllllllllllllll !
Je sens son sexe grossir encore, je sais qu’il va venir et exploser en moi.
Il crie en jouissant
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH.
J’explose avec lui en criant :
Je t’aimeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.
Quand nous reprenons nos esprits, nous sommes collés l’un à l’autre appuyé sur la glace qui nous fait face. C’est lui qui parle en premier.
Waouh, c’était intense …
Je souris en le voyant derrière moi. Il n’a pas encore déculé. Je bouge mes reins pour le sentir encore quelques secondes en moi.
Puis je me retourne, n’oubliant pas de faire mon devoir. Je m’agenouille et le suce avec gourmandise.
Oh oui c’est bon vas-y suce moi bien. Nettoie bien ma queue petite salope !