Je découche au moins une fois par semaine, mon mari mincite même à le faire plus souvent, surtout que nous continuons nos baises à trois de temps en temps, puis un jour, mon mari me demande de lui présenter Olivier.
Jen parle à Olivier un après-midi, alors quil ma branlée avec son pied pendant le repas, sur le moment il nest pas tellement chaud, nous passons la nuit suivante ensemble et je réitère ma demande.
Après plusieurs demande, il accepte enfin, je lui dis tu vas voir cela va bien se passer.
Le soir suivant, après le travail, en prenant toutes les précautions vis-à-vis des collègues, Olivier me raccompagne, arrivé devant la maison, je lui dis de garer la voiture, et de venir boire un verre avec mon mari.
Nous entrons dans le salon, après les présentations,mon mari propose du Champagne, nous trinquons ensemble, puis mon mari ouvre sa braguette, sort sa belle queue me la présente devant ma bouche et je lavale en entier.
Avec une main je caresse Olivier à travers son pantalon, et je sors sa queue pour la branler, il se laisse faire, comme mon mari voit cette belle et grosse bite, il me dit : « Tu dois bien tamuser avec une bite pareille. » Ma culotte est toute mouillée, je savais avant darriver à la maison que jallais avoir deux queues en moi et quelles queues.
Mon mari nous entraîne dans la chambre, nous nous déshabillons sans bien savoir comment, mais nous sommes tous les trois à poil. Ils me caressent tous les deux, chacun un sein dans la bouche et moi une queue dans chaque main.
Puis leurs langues tour à tour préparent ma chatte déjà trempée par lidée de ce qui allait se passer.
Leurs langues alternent entre mon clitoris, ma fente ou mon cul, je sais que mes trous vont tous y avoir droit.
Olivier sallonge sur le lit, je viens sur lui et dirige sa queue bien raide vers ma chatte en feu, puis mon mari me caresse le petit trou( déjà bien large) et enfile sa grosse queue dedans, jai un premier orgasme, alors ils changent de position, mon mari vient dans ma bouche et Olivier dans mon cul, pendant que je me fait enculer, je suce la belle bite de mon mari, et ils changent encore de position, mon mari me baise et Olivier mencule, Je ne sais plus combien de fois ils ont changé de position, mais jai jouis plusieurs fois pour ne pas dire à chaque position.
Javais deux bites en moi, une dans ma chatte, lautre dans mon cul, jen avais envie dune troisième, alors jouvre le tiroir de la table de chevet ou sont rangé mes godes pour les avoir toujours à la portée de main, je suce le gode et lenfonce dans ma bouche le plus loin possible, je jouis des trois côté, mes amants déversent tout leur foutre en moi, mais je nai rien dans la bouche, alors que jaime le goût du sperme, que ce soit celui de mon mari ou de tout autre amant.
Avec Olivier, nous nous efforçons au bureau que nos collègues ne saperçoivent pas de notre relation, mais cela ne mempêche pas de me faire branler pendant le repas, mais je ne jouis pas alors nous essayons, dans les toilettes, laprès-midi de nous rattraper.
Mon mari et Olivier sont devenus très amis, mais je ne sais plus où donner de la tête, entre mes baises avec mon mari, Olivier, ou à trois, je nai plus beaucoup de temps pour les petites soirées avec des inconnus.
Mon mari me propose de trouver un autre amant pour que je puisse avoir trois bites en même temps, mais je ne sais pas comment je vais le trouver, puisque je nai plus beaucoup de temps, et surtout que va en penser Olivier.
Avec son accord, nous décidons que le soir, au lieu quOlivier me raccompagne en voiture, je rentre par les transports en commun, jai une vingtaine de stations de métro entre mon travail et mon domicile, je vais en profiter pour draguer un peu, même si Olivier vient « dormir » à la maison.
Je prends donc le métro tous les matins et les soirs dans lespérance de trouver un nouvel amant.
Tous les matins, arrivée au bureau, Olivier me demande ou jen suis, en sachant que le soir mon mari va me poser la même question.
Les mois passent, je ne trouve toujours personne qui me plaise vraiment, bien sûr, jai fait quelques rencontres, je me suis fait peloter les fesses à peu-près une fois par semaine, mais rien ne me convient.
Quand je me fais mettre la main aux fesses, comme lhomme ne me plait pas, je ne me laisse pas faire souvent en faisant un mouvement facilement identifiable, soit par une réflexion qui remet mon assaillant en place.
Je cherche un baiseur pas un peloteur.
Quelquefois, je trouve des hommes avec qui je baiserais bien, mais ils sont accompagnés ou me font pas attention à moi, malgré le fait que je fasse tout pour me faire remarquer.
Je nhésite pas à mhabiller assez court, pour que mes jambes se volent bien, je me frotte contre les hommes seuls qui me plaisent mais sans beaucoup de résultat, je marrange aussi quils aient une vue sur ma poitrine en déboutonnant volontairement un ou deux boutons de mon chemisier et leurs montre une peu la dentelle de mon soutien-gorge.
Olivier et mon mari me disent de ne pas désespérer, il y a bien un vicieux qui va sintéresser à moi.
Tous les jours, je mexhibe un peu, mais cela ne porte pas beaucoup de fruits, pourtant je crois ne pas être trop moche et au bureau je nessaye même pas, Olivier ne veut pas que notre relation se sache.
