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J'aime mon frère – Chapitre 1

J'aime mon frère - Chapitre 1



Je viens de fêter mes 40 ans, et je vis avec mon frère dun an mon cadet, Voici notre histoire :

Javais quelques mois, quand ma mère a été à nouveau enceinte ; nous avons été élevés ensemble.

Nous avons 16 ans, et nous nous retrouvions à la sortie du collège, nous faisions nos devoirs ensemble, et nous passions nos soirées dans le même lit en nous racontant nos petites histoires.

Nous nous serrions très fort lun contre lautre, et, ce qui devait arriver arriva. Un soir, alors que nous étions lun contre lautre, je sentis mes petits seins se durcir, et mon entrejambe était tout mouillé. Je mécartai un peu de mon frère, pour quil ne saperçoive pas trop de mon envie.

Nos soirées se passaient à peu près de la même façon, javais souvent envie de me faire caresser. Un soir, alors que nous étions lun contre lautre, je sentis une grosse bosse ; sa queue, que javais lhabitude de voir, était grosse. Il bandait.

Alors, je passai ma main dessus, écartai sa culotte de pyjama, et pris son sexe dans ma main.

De son côté, il mit la main dans ma culotte et me masturba doucement, ne sachant ni lun ni lautre quoi faire.

Il me caressait la fente et, très vite, je sentis une douce chaleur monter en moi. Je sentais que, plus je le caressais, plus son sexe devenait dur.

Puis, ni tenant plus, je jouis en retenant mes cris pour ne pas alerter nos parents, et il jouit lui aussi dans ma main.

Depuis ce jour, nos jeux sexuels continuèrent et senrichirent de jour en jour en découvrant nos corps, pas visuellement, puisque nous avions lhabitude de nous voir nus, mais sexuellement, jusquà faire lamour ; je lui avais donné mon pucelage et lui le sien, jétais sa première femme et lui mon premier homme.

Je regagnais ma chambre, ou lui la sienne sans faire de bruit.

Un jour, au moins un an après nos premiers jeux, il était dans ma chambre, et nous nous endormîmes, nus, dans les bras lun de lautre.

Au petit matin, comme elle le fait presque chaque fois, maman vint me réveiller et nous trouva ensemble dans le lit.

Elle referma la porte et sen retourna à la cuisine. Je mhabillai très rapidement pour aller la rejoindre en sachant que cela nallait pas se passer bien. Ma mère me demanda depuis combien de temps cela durait et que ce nétait pas bien, que cela ne ce faisait pas entre frère et sur, que cela sappelait linceste, que je pouvais tomber enceinte et que cétait puni par la loi.

Je lui répondis que ça durait depuis un an, et que jaimais mon frère et que je métais donnée à lui et que, de toute façon, nous recommencerions.

Ma mère me prit dans ses bras, membrassa et ajouta, vous vous arrangerez pour que votre père ne sen aperçoive jamais, parce quavec lui ce serait une autre histoire.

Mon frère vint nous rejoindre tout penaud, et maman, après lui avoir fait la leçon, lui fit les mêmes recommandations.

Ma mère memmena chez son gynécologue pour que je prenne la pilule, et mexpliqua ce quil fallait faire avec un homme ; elle me parla de fellation, sodomie, cunnilingus.

Notre relation continua, mais en faisant très attention, souvent nous restions dormir dans les bras lun de lautre, maman venait nous réveiller le matin pour que nous puissions regagner notre chambre sans que papa sen aperçoive.

Au lycée, beaucoup de mes copines auraient aimé se faire mon frère et ses copains auraient bien voulu coucher avec moi, mais nous étions ensemble et personne ne le savait.

Quand nous allions au cinéma, nous flirtions comme tous les ados et, souvent, alors quil mettait la main sous ma jupe, je le caressais ou le suçais quand on ne pouvait pas nous voir. Jaimais sa queue et il aimait ma fente.

Depuis que je prends la pilule, je le laisse jouir en moi et jaime sentir son sperme chaud couler dans mon ventre.

Un jour, alors quil suçait ma chatte, il fit pénétrer sa langue dans mon petit trou. Je trouve que cest encore meilleur que dans ma chatte, et je le laisse mettre un doigt ; maman mavait prévenue que cétait super, donc je le laisse faire ; je le sens bander, sa queue na jamais été aussi dure, et jai eu envie de lui en lui donnant mon petit trou.

Je lui dis daller très doucement, ce quil fit et après mêtre habituée, je lui demande daller au fond ; jai joui comme jamais, et voulus recommencer dès que nous le pourrions.

Nous continuons à faire lamour ; puis vint le bac, que lun et lautre avons réussi et nous voulions tous les deux devenir vétérinaires, donc nous continuâmes nos études, mais nous dûmes quitter le domicile de nos parents.

Nous emménageâmes ensemble dans un petit appartement parisien payé par nos parents ; bien sûr, nous continuions notre relation amoureuse.

Nos parents venaient nous voir régulièrement. Maman ma demandé où nous en étions, elle souhaitait que je trouve un copain et mon frère une copine.

Comme je lui répondis que nous étions toujours ensemble, elle membrassa et me dit : « Soyez prudents. ». Papa ne sait toujours rien.

Nos études terminées avec nos diplômes en poche, nous décidons de nous installer et nous revenons à une vingtaine de kilomètres de chez nos parents, et achetons une maison et décidons, contre lavis de maman, de vivre vraiment ensemble.

Quelque temps après, nos parents nous rendent visite, et comme notre père saperçoit quil ny a quune chambre, il comprend notre relation, se fâche et nous demande depuis combien de temps cela dure, je lui réponds depuis toujours et ça va continuer.

Nos parents nous quittent sur le champ, et papa nous dit : « Je vais vous dénoncer. »

Je pense que maman a su le persuader de nen rien faire, mais, sans nous rejeter, il ne voulait plus nous voir ensemble ; je pouvais aller les voir, mon frère aussi mais jamais ensemble.

Donc, régulièrement, lun après lautre, nous allions rendre visite à nos parents, et à ma dernière visite, peu de temps avant mes quarante ans, papa me dit : « Pour tes quarante ans, nous allons faire la fête, et viens avec ton frère. »

Le jour de mon anniversaire, nous nous rendons chez nos parents, et, en cours de route, je demande à mon frère de sarrêter dans un petit bois à quelques kilomètres de chez eux ; je lui fis une fellation en disant : « Quand jembrasserais papa, jaurai le goût de ton sperme dans la bouche. »

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