Je laime, jaime son plaisir, jaime le voir jouir, jaime voir sa semence, Jaime voir son visage quand il jouit que je lui ai donné un orgasme.
Je sais quil aime me voir me masturber, me donner ce plaisir quon dit solitaire, alors quil me regarde ; Si en plus il caresse sa colonne, là je jouis sans crante. Je lui donne mon dernier jet de cyprine.
Je lui ai dit lautre jour que jaimerais le voir avec la jeune étudiante voisine. Je nai pas avoué que cétait pour moi cette fois pour mon plaisir depuis le temps que je nai as eu de filles dans mes bras. Pas pour bavarder politique, pour lui dire quelle lui plait, quelle me plait autant.
Jai eu raison dinsister un peu : elle est venue à mon invitation soit disant pour prendre un verre. Tu parles dun verre, je lui voulais sa bouche, son corps, son sexe. Chris en voulait autant sans oser le demander, limbécile !
Elle était mignonne dans sa robe à fleurs légère, presque transparente. Elle devait se douter de mes intentions. Je ne lai pas forcé à saffaler sur le divan, ni écarter un peu ses cuisses pour montrer son intimité, son minon rasé : Il était absent à son travail. Jen ai profité pour la draguer à ma façon : un léger bisou sur les joues, un autre sur les yeux fermés. Mes mains la seraient à la taille. A mon regard elle a du comprendre que mon invitation était du flan. Ce qui ne létait pas étaient mes douces caresses sur la taille, caresses qui doucement venaient englober un peu la poitrine. Il était encore tôt pour moi, tard pour elle à cause de ses cours. Elle en a raté deux sans problème. Mes soins demandaient plus de temps. Mon cur ne cessait de battre de plus en plus fort : et si elle me rejetait, si elle naimait pas les caresses de filles ?
Jai osé le summum de mes audaces quand je lai embrassé. Elle avait une bouche fraiche, une langue douce à lécher. Sa salive entrait dans ma bouche comme je laime. Je nosais pas la suite, elle la faite en venant tout contre moi. Je la sentais pantelante, elle voulait une suite.
Jai donné ce que je savais, pas grand-chose finalement. Jai levé sa robe, remontée à la taille. Elle me laissait faire. Mes mains sculptaient ses fesses. Elle faiblissait en se collant contre moi.
Mon ventre se tournait de désir, je la voulais dans mon lit, nue contre moi. Ma bouche sur ses épaules, ma langue contre son corps, contre sa légère sueur. Je crevais de désir. Elle se donnait sans que je le sache. Cest quand jai senti ses cuisses écartées contre moi, cuisses qui frottaient. Elle prenait une son orgasme sans moi. Je lai jetée sur le lit : elle s’y laissait tomber en souriant. Jai du la tourner pour enlever sa robe. Je la voyais de dos, toute nue, excitante, attendrissante, troublante. Des fesses de bébé, une raie parfaite. Ses seins un peu écrasés sortaient de la poitrine.
Je me suis déshabillée aussi, je suis venue sur elle, les jambes ouverte de chaque coté. Elle devait sentir ma fourrure. Je passais ma tête entre ses larges cuisses, je la blottissais dans la raie. Je pu sentir son odeur de sexe, de cul, de je ne sais quoi. Ma langue allait se longer dans ses secrets. Elle me laissait faire selon mes besoins, son désir, mes envies folles, son envie.
Masturber une nana qui se laisse faire est simple, la faire jouir longtemps, selon son rythme est plus compliqué. Jy suis arrivée en forçant ma nature rapide pour moi, pour mastiquer. De son pubis à son anus jai du y passer une heure. Jai découvert en elle une vrai adepte de Lesbos. Les retours de caresses étaient un plat digne dun grand chef multi étoilé.
Je voulais lui faire lamour : cest elle qui me la fait : ses mains étaient partout la fois. Je les ai eus sur mes seins, sur mon ventre, sur le mont de vénus, sur ma fente, sur mes organes génitaux, sur le périnée et fin du fin sur lanus. Tout devenait merveilleux, incandescent, enflammé, lumineux. Javais eu quelques amantes, aucune de son niveaux.
Elle savait me donner un orgasme en préparant le suivent : je jouissais sans arrêt. Vers le soir elle est partie, me laissant seule le ventre vidé avec encore une dernière envie.
Quand mon amoureux et revenu, jen voulais encore. Jétais restés nue étendue, molle désireuse dune suite heureuse. Je lui disais tout le plaisir quelle mavait donné, les jouissances prises avec cette femme, ses façons de fille qui aime les filles . Il a su me faire du bien, me cajoler comme une petite fille que je redevenais. Elle a sur ne me caresser que là où elle mavait embrassée. Sa bouche a terminé ma journée de femme comblée. Il savait que jaime sa bouche sur mon petit trou. Sa langue est venue le perforer. Je la sentais entrer doucement, mes chairs sécartaient doucement devant elle. Je crois bien quil la mise en entier : jai poussé un grand cri en meffondrant, morte de plaisir.
Pour le remercier de mavoir pardonné linfidélité, jai pris sa queue dans le bouche pour la décharger de son sperme que ladore manger.