J’entendais quelques "grr" d’insatisfaction mais il joua le jeu et pivota sur lui même, me laissant nez à nez avec cette paire de fesses à tomber par terre …
Mes lèvres s’occupaient toujours à embrasser la peau de ses fesses tandis que mes doigts remontaient le long de ses cuisses, tout doucement, mes ongles permettaient de rendre son corps plein d’excitation et de frissons.
Ma main droite termina sa course sur le tanga, malaxant le membre en erection par dessus le tissu, il gémissait déjà et commençait à se trémousser sur place, une vraie petite coquine ce Antoine.
Ma main gauche, encore inactive, vint déplacer le tissu arrière du tanga pour me laisser une place libre devant ses petites fesses et surtout ce petit trou si serré.
Mes bisous se rapprochant de plus en plus de son anus, il se cambrait presque instinctivement.
— "Mais qu’est-ce que tu fous Dori !"
— "Ecoute moi et laisse toi faire s’il te plait"
J’arrêta tout et commença à déposer d’épaisses serviettes sur le sol.
— "Allonge toi sur le dos et retire tes vêtements"
— "Quoi ?!"
— "Antoine, écoute !"
Il s’exécuta au moment où j’haussais le ton.
Il était donc allongé sur le dos dans la salle de bain, nu avec son erection qui partait vers le plafond, un spectacle assez hallucinant si je relativisais sur le moment. Mais je n’avais pas spécialement envie de relativiser.
Ma main agrippa fermement son pénis et commença à le branler gentiment.
— « Dori c’est mal ce que tu fais hmm »
— « C’est mal quand ça te fait du bien ? »
Je ne l’entendais plus, à part bien entendu ses gémissements aiguës qu’il produisait toutes les 5 à 10 secondes.
L’autre main libre avait remonté ses jambes en lair, de sorte à ce qu’en m’accroupissant devant lui, je pouvais continuer à le branler et commencer à lui malaxer les fesses.
La position l’obligeait qu’il le veuille ou non à ouvrir ses fesses, laissant à vue son petit trou.
J’étais tellement focus sur son postérieur que je n’avais pas remarqué qu’il dégoulinait littéralement de liquide séminal, il prenait son pied apparemment !
Mon index vint se déposer sur son anus, à plat, et commença à le masser en faisant des cercles, intensifiant les gémissants d’Antoine qui fermait maintenant les yeux et se mordait les lèvres.
Je crachas sur mon doigt et continua mon massage, lui commençait à bouger son bassin comme s’il cherchait à se positionner le plus efficacement avec mon doigt.
— "Mais tu aimes ça !"
— "Oh oui Dori, ca me donne des frissons, je ne sais pas pourquoi"
— "Parce que tu es une vraie coquine ma belle"
Troublé, il ne dit rien de plus.
J’accéléra la cadence et son pénis se contracta, il arrivait au bout et dans un énième va-et-vient, il gicla sur son torse et dans ma main, une énorme quantité de sperme.
— "Bordel, tu en avais en stock on dirait"
— "…"
Pas de réponse, comme si cet orgasme l’avait assommé.
Mais moi j’étais loin d’avoir fini, je venais même seulement de commencer.
En me relevant, je fis tomber ma culotte pour ensuite de nouveau m’accroupir devant le visage d’Antoine.
En relevant les yeux, il était nez-à-nez avec ma chatte épilée à la perfection.
— "Lèche"
Il obéit directement, sans négocier.
Sa langue parcourait avec timidité mon intimité, il n’avait clairement jamais fait ça avant mais la sensation était plaisante. Loin d’être parfaite mais totalement acceptable ce qui me faisait mouiller.
En même temps que son léchage, je me titillais le clitoris bien gonflé par l’action de ma main et de sa langue, le plaisir étant croissant et montait vite !
— "Tu te débrouilles pas si mal que ça Antoine"
— "Merci … Dori" dit-il entre deux coups de langue.
La situation l’excitait pas mal car je sentais son membre durcir dans mon dos et taper mes vertèbres à chaque mouvement.
Je me décala pour me placer au dessus de sa bite.
— "Le grand jour est arrivé petit frère"
Je m’empala et il rentrait en moi.
Enfin m’empaler c’est ce que j’ai cru, grande était ma déception quand le pénis était en moi et que je ne sentais presque rien.
— "Antoine, ta bite est si petite que je n’arrive pas à ressentir du plaisir, c’est peut être dur à entendre mais c’est la vérité"
— "Mais …" il balbutiait. "Comment je peux faire ?"
— "On va te trouver un autre rôle qui t’ira surement à merveille.
— "Je te fais confiance, tu me donnes tellement de plaisir Dori".
Il ne savait pas ce que j’avais en tête mais maintenant il n’avait pas le choix.
Je me repositionnais pour recommencer une branlette, il était tellement excité qu’il éjacula de nouveau en quelques secondes.
Il ne s’était pas lavé et était dégueulasse de sperme, le torse, le ventre, le liquide gluant coulait le long de ses côtes pour terminer sur les serviettes.
— "C’était trop bon …"
— "Parle pour toi" me dis-je tout bas.
Il se leva pour aller à la douche mais je le stoppa net.
— "Non non non, tu crois vraiment que tu as le droit de te laver là ?"
— "Qu’est ce que tu racontes Dori ?"
— "Tu m’as vu jouir moi ? Non. Alors tu ne te laves pas tout de suite, tu vas apprendre à vivre avec ce sperme sur toi, en punition de ton inaptitude".
— "T’es folle, ça sent trop mauvais !"
— "Tu veux que je raconte à maman ce qu’il vient de se passer ?"
— "QUOI ?!", il me regardait horrifié à l’idée que notre mère puisse savoir tout ça qu’il se taisait et reprenait place tout seul sur les serviettes.
— "C’est bien Antoine Merci pour ta coopération. Tu auras donc une récompense pour avoir agit correctement et avec maturité".
Quelle récompense ? On va vite le découvrir !