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Jasmine : princesse et salope – Chapitre 24

Jasmine : princesse et salope - Chapitre 24



Suite :

Les hommes présents se mettent alors à chuchoter, se regarder avec le sourire, ayant enfin la confirmation des rumeurs persistantes. Plusieurs personnes se lèvent alors et viennent observer Jasmine de plus près. Ils se mettent à la caresser, la palper, la retourner dans tous les sens. Ils la doigtent et commentent alors avec surprise le fait qu’elle soit déjà trempée. Ces attouchements la font d’ailleurs gémir. Un homme la retourne, lui fait tendre les fesses et enfonce un doigt dans son cul. Constatant avec plaisir la largeur de colon royal, il y enfonce deux autres doigts et la branle vigoureusement.

Les hommes, autour d’elle, complètement excités par la situation, commencent à commenter le fait que leur Princesse se face branler le cul devant eux avec des termes de plus en plus fleuris. Puis ils se mettent également à l’insulter directement, ce qui aurait été impensable il y a quelques minutes encore. En entendant ces termes humiliants à son égard, Jasmine se met à gémir de manière évidente et mouille terriblement. Des gouttes de cyprine coulent le long de ces cuisses et un long filet de mouille pend depuis ses lèvres et s’agite au rythme des mouvements que lui impose l’homme en lui branlant le cul. Ses tétons se durcissent encore alors qu’elle se fait traiter de chienne et elle sort sa langue de plaisir alors que les premiers crachats s’abattent sur elle.

Ce sont à présent 4 doigts qui lui dilatent et branlent le cul. Elle fuit littéralement de la chatte alors que les hommes les plus éduqués de la ville lui hurlent des horreurs au visage. Elle est proche de l’orgasme est c’est la répétition entêtante de « princesse salope » qui la fait finalement craquer. Elle hurle de plaisir en s’effondrant sur ses jambes, uniquement maintenue en l’air par les chaînes lui reliant les poignets à une poutre.

L’homme qui lui stimulait l’anus la détache alors et la porte au milieu de la pièce. Sans autre forme de précaution, il sort son sexe et s’enfonce dans son cul d’un seul coup. Son membre, de taille modeste, ne provoque rien de perceptible chez Jasmine qui se laisse enculer sans rien dire. Un groupe d’hommes se forme autour d’elle, certains sortant leur sexe également en attendant leur tour, d’autre regardant simplement cette incroyable scène.

Le Génie, sachant son esclave occupée pour un moment, prend une des esclaves à échanger mais manifestement délaissée par son maître et l’entraîne dans une chambre. Il s’agit d’une magnifique noire, probablement achetée chère sur un marché bien pourvu. Il se régala de son sexe couleur chocolat et de son anus serré.

Lorsqu’il ressortit de la chambre, Jasmine était encore en pleine action, se faisant prendre à quatre pattes à la chaîne par des hommes, tous nus, qui se partageaient son cul, sa chatte, sa bouche et ses mains.

En homme bien élevé, le Génie refusa de les interrompre et alla voir Iris et Lily dans leur bureau, affairée à gérer la logistique de la maison. Il exposa la situation aux deux femmes d’affaire et, voyant que Jasmine pouvait en avoir pour encore un long moment, elles décidèrent de redonner de la vigueur au membre du Génie. Les deux expertes sucèrent et pompèrent sa queue avec énormément de compétence ce qui lui permit d’aller honorer une deuxième esclave.

Alors qu’il sortait du bureau pour aller se choisir une proie, il constata que Jasmine était maintenant prise en double, les hommes trouvant certainement le temps trop long entre chaque passage dans ces orifices.

Il choisit une jeune fille blonde, menue, étrangère et à peine sortie de la puberté. Elle lui rappela l’esclave germanique qu’il avait baisé lors de sa première visite. Mais cette blonde ci se révéla être une petite démone affamée qui réclama une baise torride. Le Génie fut impressionné par le fait que son immense sexe pénètre, sans la moindre difficulté, de si petites fesses ornant une jeune fille aussi  menue. Malgré tout, il réussit à l’épuiser et à la combler et, lorsqu’il sortit de la chambre, il laissa derrière lui un tout petit cul blanc qui semblait ouvert en deux tant l’anus de la jeune fille était défoncé.

Il découvrit alors une Jasmine allongée par terre, baisée, presque sagement, par un homme à la fois. Il ne comprit d’abord pas le pourquoi d’une telle baisse d’intensité puis se rendit compte que les nobles se finissaient à tour de rôle en elle. Bizarrement, ils ne la recouvrirent pas de leur foutre comme le Génie s’y attendait mais souillèrent chacun leur tour sa royale chatte.

Lorsque le dernier homme se retira, Jasmine débordait littéralement de sperme et hésitât à se relever. Elle était épuisée, en sueur mais arborait un sourire satisfait et béat, comme ceux des usagers de fumeries d’opium. Pourtant les hommes restaient à proximité et voulaient voir la Princesse de relevé et se vider de leur foutre.

Jasmine faisait durer le plaisir en jouant avec ce sperme chaud qui suintant de son sexe en y enfonçant ses doigts.

— Esclave, lève-toi ! finit par crier le Génie, impatient de retourner chez lui.

Dans la seconde, Jasmine obtempéra et se releva. Comme prévu, un flot impressionnant de sperme sortit de son sexe et tomba au sol ou coula se long de ses cuisse. Elle passa la main entre ses jambes pour en récupérer et l’étala sur son ventre, sans oublier, évidemment, d’en goûter un échantillon.

Le Génie la recouvrit d’un long manteau et, après avoir salué Lily et Iris, rentrèrent à la maison. Alors qu’ils marchaient et que le génie entendant encore le bruit peu romantique de bulles de sperme s’échapper du vagin de Jasmine, celle-ci lui confia être plus heureuse qu’elle ne l’avait jamais été.

Et en s’endormant dans son lit, la première fois depuis des semaines, elle soupira au Génie :

— Mmmhh Merci maitre jamais vous quitter Je vous aime

Cette phrase ravagea le Génie qui savait que ses jours avec elle était pourtant comptés.

Les jours qui suivirent ne furent que débauches. Jasmine voulait se rendre constamment au bordel pour sy faire baiser par de nouveaux hommes. Le génie l’y accompagnait et profitait ainsi de la compagnie d’autres esclaves ou de celle de Lily et Iris. Les deux femmes étaient très complices et partageaient beaucoup de choses, en particulier les hommes.

Le génie les baisa toutes les deux à de nombreuses reprises et pût exercer sur elles la totalité de ces idées les plus perverses. La souplesse des orifices des deux femmes lui offrait toute les possibilités :

Il exigea de Lily qu’elle enfonce son bras dans l’anus d’Iris le plus loin possible, ce qu’elle fit jusqu’au coude, faisant hurler et pleurer de plaisir et de douleur mêlés la pauvre Iris. Il tenta la même chose avec le très large sexe de Lily : il y enfonça son et poing et celui d’Iris en même temps en faisant jouir comme jamais la plantureuse femme et lui laissant un vagin plus distendu que Jamais. Le Génie profitait également de ces séances extrêmes pour développer ses pouvoirs en donnant à son sexe des proportions animales et en décuplant sa force pour faire des deux femmes de simples jouets.

Pendant ce temps, Jasmine se faisait baiser par les nobles de la ville qui rivalisaient de propositions alléchantes pour convaincre le Génie. Il obtenait ainsi qu’on lui mette à disposition 4 ou 5 esclaves absolument superbes pour une demi-heure de bonheur avec la Princesse. Et lorsque l’offre d’esclave ne lui convenait pas, il laissait Jasmine à des hommes plus simples, uniquement en possession du mot de passe de Jafar.

Jasmine était donc en permanence sollicitée et devenait totalement accro au sexe. La journée, elle était baisée par des dizaines d’hommes au bordel. En soirée, quand le Génie l’envoyait travailler à la taverne, elle se faisait troncher par le tavernier puis retournait se faire humilier par les clients qui lui enfonçait leur pourboire dans la chatte ou le cul, lui fessaient le cul ou la rendaient ivre en l’obligeant à boire. Il n’était pas rare, d’ailleurs, que la taverne se transforme en baisodrome où Jasmine et les autres serveuses qui passaient par là devenaient les vides couilles pour tous les clients. Et le soir, évidemment, le Génie profitait également d’elle. Mais plus question d’humiliation : ils dormaient ensemble et faisaient « l’amour ».

Le Génie envisageait de plus en plus sérieusement le fait de ne pas la rendre à Jafar et de partir avec elle loin d’Agrabah. Mais l’idée même de désobéir au sultan provoquait chez lui un sentiment de honte, de trahison qu’il n’arrivait pas à réprimer.

Un matin, ce qui devait arriver arriva. On vint chercher Jasmine.

A suivre…

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