Heureux de cette promesse, Stefan voulut achever de se pignoler.
– Je vais juter là.
– Non attends. Le cheval t’empêche d’approcher. Je veux que tu jutes sur moi. Attends.
– Bon ben faut que j’arrête de me toucher…. j’espère qu’il va faire vite.
– Oh pour ça, c’est pas sûr. Je le connais bien Marbrac ! C’est un chaud lapin si on peut dire… Il saute sur tout ce qui bouge, la preuve…hein Madame ?
L’interruption du maire avait un peu coupé mon orgasme, du moins en avait-il stoppé partiellement les bienfaits, mais le cheval n’en avait cure et continuait à me bourrer. Désormais, j’étais bien habituée à sa longue et grosse pine et je remontai aussitôt au septième ciel quand je fus plus détendue.
Le poney arriva enfin au bout. Comme la veille, ses mouvements s’accélérèrent, son souffle se précipita et il fallut à notre intendant beaucoup de dextérité pour maintenir ses assauts afin qu’il ne me perce pas trop et ne vienne pas m’écrabouiller les ovaires.
Au dernier moment je sentis un mouvement violent de sa bite, comme si elle remontait en l’air tout en se gonflant à l’extrême et, lorsqu’ il éjacula, j’en perçus toutes les pulsations qui m’échauffèrent les sens jusqu’au délire. Déjà la veille, sur mon visage, j’avais remarqué la puissance de ses jets, mais là, j’eus carrément l’impression de me faire décaper au karsher. La pression fut énorme et j’éprouvai, en même temps que mon vagin se remplissait au fur et à mesure des jets qui n’en finissaient heureusement pas, la sensation du liquide chaud qui s’échappait et s’écoulait de ma chatte vers mon trou du cul.
On aida le cheval à se retirer.
– Allez-y, c’est à vous.
– Ah non, j’vais pas là dedans, c’est dégueulasse. Y’a plein du foutre du canasson.
– Comme vous voulez. Moi j’y vais !
Alors mon futur époux me pénétra. La queue rentra toute seule mais je ne ressentis pas grand chose. L’engin ne supportait pas la comparaison avec le bourrin qui m’avait bien élargie.
Spontanément, notre maire-régisseur vint m’offrir sa gaule. Elle était vraiment très grosse, très épaisse avec un prépuce agréable à décalotter, et du poil très dense et très noir, particulièrement sur les couilles. Il sentait la transpiration et un peu la pisse. C’était une vraie fragrance d’homme.
Mon mec éjacula à grand renfort de jurons.
– T’es la meilleure des putes que j’ai jamais vues… c’est trop bon. Comme j’ai la chance de t’épouser.
– Monsieur a raison et Madame a de la chance aussi d’épouser un homme aussi compréhensif et généreux.
Pour toute réplique, je cessai de le sucer et lui dit :
– Enculez-moi !
Je n’attendais pas de réponse. Je me mis sur le ventre, les pieds bien au sol, les jambes écartées, le trou offert. Aussitôt je ressentis la pression du gland sur la rosette. C’était gros, trop… ça ne rentrait pas, malgré les efforts du mec.
– Lubrifiez !
Il cracha dans ses mains, astiqua son nud et recommença… mais sans succès.
– Lubrifiez mieux !
– Mais comment ?
– Dans la chatte, y’a toute la crème qu’il vous faut. Le cheval en a laissé, vous n’avez qu’à tremper votre trique dedans, cela va l’enduire !
– Oh, non… c’est dégueu… et pis maintenant y’a même la sauce de vot’ monsieur.
— Monsieur le maire n’a pas la fibre très sociale ! Il ne partage pas le sperme de ses administrés dit mon futur époux.
– Grouillez vous merde… dis-je d’un ton qui n’admettait pas la réplique mais l’exécution prompte de la manuvre.
– Bon… bon…
Et il m’enfonça son bazar dans le con…. dont il ne voulut finalement plus sortir tant ça coulissait bien. Il y prenait son pied.
– Dans le cul… dans le cul !
Alors, il se décida. Il fallut forcer encore mais elle entra, non sans douleur.
– Oh oui, elle y est ! elle est bonne, vas-y !
– Bordel de merde, y’avait trop longtemps. C’est trop bon, là. Tu la sens ma queue, tu la sens bien là….oh putain de putain de trou à bite ! C’est bien serré là. Bordel de merde, ça c’est de la croupe de femelle !
Et il me claqua le cul avec l’ardeur d’un mec qui sort de taule et qui n’a pas eu d’autre partenaire que ses paluches pendant des années.
Enfin, il sortit sa grosse verge, me cracha sa jute entre les fesses puis, il se replongea en appuyant bien fort sur le cul de ses deux mains.
– Ouf, trop bonnes les grosses queues dans le pays. Vous valez presque le cheval.
– Si Madame aime les grosses bites, il y en a d’autres dans le pays… Si elle veut venir à la ferme… j’ai deux ou trois mâles qui pourront l’intéresser dont un âne qui doit battre le poney. Cependant je dois reconnaître que mon âne a les roustons moins poilus que le miens.
Je passai ma main entre mes cuisses pour attraper les pompons encore écrasés contre mes fesses dont je sentis le duvet tout humide.
Alors c’est promis, nous viendrons vous voir.
Mais, si agréable que fût mon séjour depuis que j’étais arrivée, je n’avais pas prévu de rester aussi longtemps. Il fallait que je rentre à Paris pour mettre quelques affaires en ordre avant de revenir me marier ici.
Je passai le restant de la journée avec mon futur époux et la nuit entre le chien et lui en utilisant leurs attributs sexuels au mieux de ce qu’ils pouvaient donner.
Le lendemain matin je repris la route.
Au fil des kilomètres, je songeais à nouveau à ces quelques heures où ma vie avait basculé et de la façon la plus radicale qui fut. Je venais de me découvrir un appétit sexuel sans limites et j’avais rencontré mon mari qui partageait la même frénésie orgiaque.
A suivre.