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J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. – Chapitre 7

J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. - Chapitre 7



Je n’étais plus très loin du château désormais et, au fur et à mesure que les kilomètres diminuaient, l’excitation reprenait de la vigueur. J’étais à nouveau chaude comme une baraque à frites. Sûr qu’en arrivant il faudrait d’abord qu’on me démonte le capot avant d’ouvrir celui de la bagnole pour en retirer mes valises.

J’aurais bien voulu rouler toute nue mais ce n’était pas possible. On ne sait jamais… un contrôle de gendarmerie. J’avais cependant ouvert mon chemisier le plus possible et remonté ma jupe au ras de la touffe, tellement ras qu’elle était à l’air mais il aurait fallu être en hauteur pour le voir… un camionneur aurait pu… sait-on jamais.

Ma chatte, ainsi caressée par le vent chaud, mouillait à nouveau. Le temps pressait, j’accélérai.

Au détour d’un chemin, j’aperçus, faisant de l’autostop, un jeune homme dont le débardeur et le pantalon serré (une sorte de legging) moulaient les formes généreusement athlétiques. Dieu qu’il devait avoir chaud !

Il était dans le sens opposé à ma route aussi fis-je demi-tour pour le prendre… et surtout pour qu’il me prenne.

Penché au dessus de la portière droite, il me salua  mais se troubla immédiatement en apercevant mon décolleté largement ouvert et, sûrement, ma touffe à l’air et ma moule luisante.

–   Je peux vous aider ?

–  Euh…. oui… oui, oui. Pouvez-vous me reconduire jusqu’à la voiture de mon grand -père ?

— Bien sûr, indiquez-moi le chemin.

Et en roulant, il m’expliqua qu’il était tombé en panne avec la camionnette de son grand-père. Il avait fait quelque kilomètres à pieds pour trouver du réseau et prévenir quelqu’un de venir les aider et maintenant, il retournait à son véhicule.

Il appartenait à une famille de gens du cirque. Leur fourgonnette était tombée en panne alors qu’ils fermaient le convoi et que les autres avaient continué sans se rendre compte de rien.

Il ne fallait pas être très observatrice pour voir qu’il bandait. Rien qu’à l’idée de lui faire cet effet mon excitation augmenta d’un cran.

La camionnette était garée à l’ombre. Je le déposais à côté et descendis. Il n’y avait personne.

–  Ton grand-père n’est pas là ?

–  Ben non… Il a dû aller se dégourdir et chercher un endroit plus frais.

–  On peut l’attendre ensemble si tu veux…

Il ne se méprit pas sur le sens de ma proposition d’autant moins qu’au même moment je faisais sauter les derniers boutons de mon chemisier pour libérer ma poitrine haletante. Il retira son marcel et baissa son froc en homme décidé qui n’a pas de temps à perdre. Bien ! Le garçon était sans doute moins novice que mes deux charpentiers de tout à l’heure. On allait peut-être s’amuser un peu plus. Sa queue surgit dans un balancement majestueux. Grosse et belle, bien poilue, tendue à souhait.

Ce garçon avait tout pour plaire. Je me précipitai dessus pour le pomper.

Son sexe sentait fort la sueur et son slip était imprégné de cette odeur mais j’appréciai cette marque de virilité masculine qui s’exhale d’un bon slibard bien rempli.

Il ne fut pas long à se précipiter dans la camionnette et à en ressortir une couverture sur laquelle nous pûmes nous étendre plus confortablement. Il me prit tout simplement, en missionnaire, mais sa grosse pine fit aussitôt merveille. Il ne se contentait pas d’aller et venir mais variait le rythme, balançait de haut en bas, de droite à gauche, ressortait à moité puis tout à fait et ne remettait que le gland, bref il s’amusait bien. Au moins, celui-ci savait y faire et son expertise me changeait des bourrins précédents. Mes mains glissaient sur sa peau douce et ferme, sur ses muscles en mouvements, sur son cul dansant dans la raie duquel des gouttelettes de sueur s’accrochaient aux petits poils frisottés.

Tout en me pinant, il savait se dresser sur ses bras pour m’embrasser à bouche que veux-tu ou me mordiller les tétons. Il n’avait pas son pareil pour me bouffer la chatte et son jeune âge ne présageait pas qu’il pût avoir une aussi belle expérience et pourtant, à la façon dont il me tirait on aurait pu croire qu’il était au moins autant hardeur qu’homme du cirque.

Il prit toutes les initiatives que mon corps pouvait désirer et je me retrouvai bien vite en levrette.

J’étais tranquillement concentrée sur la jouissance que me procurait son intensif limage quand je fus effrayée par un masse sombre qui déboula devant moi. Je ne pus retenir une cri.

–  Mon Dieu, qu’est-ce que c’est que ça ?

Un singe, tout excité, gesticulait devant moi !

–  Grand-père, grand-père, tu es où ? Tu pouvais pas le retenir ?

–  Comment veux-tu ? Tu sais bien qu’il es incontrôlable quand il voit ça ! Tout de suite en rut quand il voit le cul d’une femelle !

–  Il est à vous ce singe ?

–  Oui c’est Acarlen.

–  C’est un chimpanzé ?

–  Non, un bonobo.

–  C’est pas une espèce en disparition ?

–  Si mais il est né au cirque; C’est con, on va pas pouvoir continuer.

–  Pourquoi ?

–  Il aime le sexe, il va vouloir sa part…

–  On la lui donne comment ?

Mais le singe, terriblement excité, m’avait déjà donné la réponse. Il s’était allongé sur le dos, devant moi, les bras derrière la tête et il attendait visiblement que je le suce.

Mon jeune ami avait toujours sa bite dans mon vagin mais s’était arrêté.

–  C’est sans danger ?

–  Quoi ?

–  Si je le suce votre singe ?

–  Oh pensez-donc ! Il adore ça !

–  Il a l’habitude ?

–  Ben, on vit en famille alors les occasions sont rares… ma tante, ma sur… d’ailleurs c’est lui qui l’a dépucelée la frangine…

Je pris donc la bite du singe dans ma bouche.

Le goût et l’odeur en étaient très forts, voire désagréable; Je m’en plaignis.

–  Arrêtez pas de le sucer sans ça il va vouloir vous sauter  et je vais être obligé de lui céder la place parce tant qu’il aura pas eu ce qu’il voudra…

–  OK, rangez-vous ! On le laisse faire. Je vous reprends après.

–  ça marche.

Sitôt dit, sitôt fait et le singe, d’un bond, fut derrière moi.

Il me pénétra violemment.

Je ne pus m’empêcher de penser au gorille de la chanson de Brassens : "Supérieur dans l’étreinte"… mon il !

Effectivement il me prit avec beaucoup plus de force qu’un homme. Ses mains, ses pattes antérieures devrais-je dire, m’agrippèrent à m’en faire mal. Ses mouvements furent d’une extrême violence et excessivement rapides. Jamais je n’avais été secouée comme cela. Il avait le maintien d’un homme et la rapidité d’un chien.

Mais sa bite était très petite, une dizaine de centimètres, et quoiqu’elle fût très dure, j’y trouvais à peine mon compte, d’autant qu’il éjacula très vite, en moins d’une minute. En revanche ses couilles étaient très grosses et j’appréciai leur frottement contre mes cuisses. De plus, il avait dû faire le plein depuis très longtemps car il me sembla découiller avec plus de vigueur et d’abondance qu’un homme. Je sentis le sperme pulser en moi et il me sembla qu’il y en avait beaucoup.

A peine eut-il fini que le jeune homme reprit la place pas gêné pour deux sous d’enfiler mon trou plein de la jute de son singe.

Le quadrumane prenait désormais le repos du guerrier. Il s’allongea à nouveau devant moi, toujours bras derrière la tête. Sa quéquette était déjà redevenue molle. Et, posée sur les grosses couilles, elle n’en paraissait que plus petite.

Le grand-père me fit savoir que le singe adorait qu’on le suçât post-coïtum.

Je ne pus résister à la curiosité de titiller ce dard mou, semblable en tous points à un sexe d’homme, en beaucoup plus noir. Je bouffais les testicules lisses avec gourmandise, d’autant qu’il y restait tu sperme assez peu, mais j’en appréciai l’arôme.

Pendant ce temps, le vieux baissait son froc devant ma bouche, sans aucune manière, laissant apparaître un chibre de belle taille dans une forêt de poils blancs.

Il sentait à peine meilleur que le singe mais la belle dureté de l’engin me décida à vaincre un premier moment de dégoût et je m’habituai finalement facilement à cette belle tige comme je m’étais faite aux sexes précédents, d’autant qu’elle pulsait bien sous ma langue.

Quand le jeune fut près de cracher sa sauce, il se retira pour que son grand-père me pénètre et me fit sucer sa bite afin qu’elle explose dans ma bouche; Bien qu’elle fut recouverte des sécrétions de mon vagin et du sperme du singe, et même à cause de cela, je m’appliquai à la sucer avec précision et ardeur.

Le grand-père fut d’une résistance que je ne soupçonnais pas. Il me prit longuement par tous les trous; Si longuement que le singe eut le temps de reprendre de la vigueur. Quand je le vis tout énervé et son petit bout rouge tout tendu, j’eus pitié de lui. Je m’approchais donc à nouveau de la pauvre bête qui me reprit aussi sauvagement que la première fois ! Ah si un homme pouvait me secouer avec autant de puissance ! En revanche, il fut toujours aussi rapide.

J’avais le singe dans le cul et Brassens dans la tête : "Supérieur à l’homme dans l’étreinte…. au jeu de l’amour vaut son prix…" Mensonge ! Il est vrai que ce bon Georges parlait de son gorille et pas du Bonobo. Un point nous rassemble cependant : "Il ne brille ni par le goût ni par l’esprit" et, en effet sa copulation, pour vigoureuse qu’elle soit n’en reste pas moins dépourvue d’imagination et il ne faut guère attendre de lui une conversation des petits mots doux ou, plus encore, bien salaces.

Du reste le grand-père, vers qui je retournai, n’en avait pas beaucoup non plus.

Il avait continué de se branler doucement en attendant et Il eut la fantaisie de me juter entre le seins en murmurant quand même quelques jurons et des " c’est trop bon" de la plus affligeante des banalités. Mais sa  demande était  évidemment trop légitime pour ne pas la satisfaire, et je m’appliquais donc à bien serrer sa grosse queue entre mes nichons jusqu’à ce qu’elle laisse exploser  son plaisir. Les tirs furent puissants et je fus couverte de sauce qui attestait en supplément de la réelle verdeur de l’ancêtre.

Ainsi provisoirement rassasiée, il ne me restait qu’à terminer mon voyage, juste le temps des sécher un peu et de me préparer à d’autres saillies dont je rêvais déjà car, finalement, je dus reconnaître que le singe était décevant en dépit de ses fortes secousses et de sa capacité de récupération et c’étaient encore le chien et le cheval qui m’éclataient le plus, et surtout le chien, plus endurant et plus malléable puisque, pour peu qu’on se positionne bien, il peut être associé avec son maître pour une bonne double. J’avais donc déjà fixé le programme de ma soirée…

A suivre

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