Il était environ 10h00 j’avais déjà 30 minutes de retard, j’entrais dans la salle de formation et le formateur me demanda mon nom et prénom pour sa fiche de renseignement.
La salle était pleine et au fond de la salle il restait une place, je me dirigeais rapidement vers la place libre, je m’installais et seulement après je la vis, une créature de rêve avec de longs cheveux blonds, des jambes qui n’en finissaient plus, une taille de guêpe et une poitrine a faire pâlir des femmes siliconées, mais les siens étaient 100% naturel.
Elle se prénommait Virginie, elle se baissa pour ramasser les stylos que je venais de déverser sur le sol, elle sourit en voyant ma maladresse, nous avons fait connaissance pendant la pause.
Elle était mariée et c’était inscrit car elle avait aussi des lacunes en informatique, je me présentais, Julien 30 ans, installateur en équipement satellites et autres.
— Je suis contente de faire ta connaissance, est ce que tu pourrais me rendre un service.
— Bien sur le quel ?
— On peut téléphoner à mon mari, il va t’expliquer on a des soucis avec notre installation.
Elle prit son portable et composa le numéro de son mari, elle discuta un bref moment avec lui et me passa le téléphone.
— Bonjour, j’ai installé un autre satellite dans une nouvelle pièce dans le sous sol, mais ça clignote.
— Bonjour je ne comprends pas trop ce que vous essayez de m’expliquer.
— Oui je comprends, pouvez vous passer chez nous si vous avez un moment.
— Il faut que je voie parce que je suis aussi en formation.
— Si de votre côté ça ne pose de problème on va s’arranger.
Je repassais le portable à Virginie, il lui expliqua qu’éventuellement si on ne finit pas la formation trop tard, elle pourrait me demander de l’accompagner pour vérifier l’installation, elle me proposa de rester dîné avec eux, j’acceptais volontiers.
On arriva vers 19h00, son mari m’expliqua son installation, effectivement c’était un grand n’importe quoi, je lui expliquais à mon tour qu’il fallait revoir son installation dans la pièce qui se situait dans la cave, je lui promis que je passerai la semaine prochaine avec tous l’équipement pour faire en sorte que tous fonctionne correctement.
On va dîner, l’ambiance était très détendu, on était vite gai, je n’ai bu que modérément sachant que j’allais reprendre le volant, mais mes ôtes se lâchèrent, il la caressait de plus en plus souvent et longtemps, je sentais que l’ambiance devenait chaude, elle me regardait de façon insistante je mis la situation sur le compte de l’alcool et prit congé.
Une semaine plus tard je devais faire une intervention dans le quartier de virginie, je téléphonais à Gilles, pour lui expliquer que je serai prés de chez lui vers 18h30.
— C’est dommage je dois bosser jusqu’à 23h00, mais Virginie sera à la maison.
— Ca ne m’arrange pas, sauf si elle sait ou se trouvent les outils.
— Oui elle sait sinon au pire tu me téléphones et je t’explique.
En réalité je n’avais besoin d’aucun outil, mais j’apprésentations de me retrouver seul avec elle, je la trouvais tellement craquante que j’avais peur de faire une bêtise.
Je sonnais chez elle, elle vint m’ouvrir dans une tenue qui me rendit très étroit dans mon pantalon, elle m’expliqua qu’elle faisait sa gym, c’est pourquoi elle était vêtue ainsi, je lui dis que tout allait bien et elle me dit qu’elle n’était pas prévenue de ma venue, mais qu’elle était contente de me voir, et elle me dit apparemment toi aussi en regardant la bosse qui déformait de façon très explicite mon pantalon, je fais semblant de ne rien comprendre, et elle m’invita à la suivre, nous nous dirigeâmes vers la pièce ou se trouvait le problème. Je m’empressais de vite réinstaller tous les appareils, je lui dis tu peux essayer tous fonctionne maintenant, elle zappa et je rangeais mon outils, elle recula pour s’éloigner de la télé, et là le drame, mon énorme bosse rentra en contact avec la raie de ses fesses, j’étais pétrifié, mais elle n’eut aucun mouvements de recul, au contraire elle insista même, ainsi installé elle continua de zapper, je n’en pouvais plus.
Je posais mes mains sur ses hanches comme un robot, elle continua comme si c’était tout à fait naturel et normal, je frottais mon bassin contre le sien de bas en haut, j’étais en train de me branler entre ses fesses, je l’attirais vers moi d’un coup sec, elle tourna la tête et nos lèvres se rencontrent, je lui enfonçais ma langue dans sa bouche et nos langues dansaient l’une autour de l’autre, d’une main je soulevais son haut et j’y glissais mes mains sous son haut, elle se colla légèrement contre mon torse pour me faciliter l’accès à ses seins, ses seins étaient tellement gros que c’était un délice que de les presser entre mes mains, je faisais rouler ses mamelons entre mes doigts.
Elle gémissait de plus en plus, d’un main je lui malaxais les seins et je portais l’autre main à sa bouche et glissais un puis deux doigts dans sa bouche, elle me suça les doigts comme si c’était des vrais glace, je descendis mes doigts vers son bas ventre et y plongeais mes doigts dans son short, elle se mit sur la pointe de pieds tout en écartant légèrement ses jambes pour me permettre de descendre plus bas.
Mes doigts atteignirent le point zéro, je lui massais son clito tout en introduisant deux doigts profondément dans son vagin, j’introduisis doucement mes doigts les poussaient de plus en plus, je pouvais sentir mes doigts buter contre le fond de son utérus.
Je faisais des mouvements avec mes doigts je les sortais et les rentrais, ce mouvement faisait un bruit de clapotis, ceci m’indiquait combien elle était trempée par conséquent excitée, maintenant je la soulevais littéralement avec mes doigts, je retirais mon autre main de ses seins et l’apportais aussi à sa bouche, elle eut des éclairs dans les yeux tellement elle semblait attendre ce qui allait suivre, elle saliva abondamment sur mes doigts, je les descendis vers ses reins et présentais un doigt à l’entrée de sa rosette, je sentais la résistance de la virginité, je l’enfonçais et compris que c’était la première fois, à chaque mouvement de va et vient je la soulevais un peu plus pour finir par la soulever par les deux trous.
Je sentis plusieurs fois son corps se contracter, et elle jouit bruyamment, je sentais qu’elle était à bout de force, je relâchais ma proie et elle s’effondra sur le canapé, la bosse qui déformait mon pantalon me démangeait de plus en plus, je m’approchais du canapé elle avait son visage juste à la bonne hauteur, à savoir au niveau de ma braguette, elle posa une main sur la digue que formait ma bite à travers le tissu et de l’autre elle défit le bouton de mon pantalon, elle remarqua que je ne portais pas de caleçon, et mon penis jaillit comme un diable de sa boite, elle m’enleva entièrement mon pantalon et moi j’enlevais le tshirt, elle prit mon engin entre ses mains et commença à faire des va et vient, mon sexe me brûlait je ne voulais qu’une chose c’est qu’elle le rentre dans sa bouche, elle tarda alors je lui fis comprendre en enfonçant plus en avant ma bite dans ses mains pour pouvoir toucher ses lèvres avec mon gland.
Mais rien n’y fit, je glissais me doigts dans ses cheveux et approchais ses lèvres vers mon gland, elle ne voulait pas ouvrir ses lèvres, je regardais ses yeux et elle me sourit je compris vite que c’était un jeu, alors j’immobilisait son visage et frottais mon gland contre ses lèvres, elle ouvrit un peu sa bouche je plantais ma bite à l’entrée de sa bouche et poussais de plus en plus et elle céda, ma bite s’engouffra dans sa bouche d’un coup, elle eut un mouvement de recul, elle sortit mon sexe de sa bouche et me dit.
Je ne peux pas tout prendre dans ma bouche elle est trop grande, on va voir ce qu’on va voir, je tenais fermement ses cheveux entre ma main droite poussais ma bite dans sa bouche et lorsque je sentais qu’elle résistait je lui bouchais les narines, elle n’eut d’autre choix que d’avaler ma bite en avalant de l’air, je répétais l’opération plusieurs fois et elle finit par avaler entièrement ma colonne de chair, alors tu vois bien que tu pouvais, elle me dit qu’elle aimait me suçait ainsi, je prenais un malin plaisir à continuer encore.
Maintenant je lui dis pour être une bonne suceuse il faut aussi que tu salives pour lubrifier, alors elle saliva en même temps, ma bite baignait littéralement dans sa bouche.
Je lui dis quand ma bite va être au fond de ta bouche tu vas sortir ta langue et me lécher les couilles, aussitôt dit aussitôt fait, je lui expliquais que pour moi elle était devenue une bonne suceuse et qu’il ne lui restait plus que deux ou trois choses à apprendre, mais pour la prochaine lésons, je la soulevais la fit pencher, elle posa ses mains sur le canapé et se cambra, je plongeais vers sa chatte comme un affamé et lui dévorait la chatte à grand coup de langue et je remontais vers son petit trou, et je faisais des grands mouvements avec ma langue, de bas en haut, je la sentais dégouliner de plaisir.
Je présentais ma bite à l’entrée se son sexe et la pénétrais sans ménagement d’un coup, elle poussa un petit cri, je l’attrapais par les hanches et je m’acharnais à la ramoner comme un fou en la traitant de tous les noms, je voyais bien qu’elle aimait que je lui parle ainsi, je lui donnais mes doigts pour qu’elle le mouille et je les portais à l’entrée de son petit trou qui était resté bien détendu, je savais à sa réaction qu’elle n’avait jamais eu une bite dans le cul, ma bite ressortit de sa chatte toute luisante, je la poussais doucement, elle eut probablement mal car elle voulait s’avancer, mais je la tenais fermement par les hanches et lui rentrais juste le gland, je lui dis détends toi voyant qu’elle prenait confiance je poussais plus en avant et je rentrais cm par cm jusqu’à la garde, je restais un moment planté ainsi dans son cul, son sphincter se contractait et se décontractait plusieurs fois, pour finir par se relâcher, ce fut le signal je commençais mon va et vient, chaque fois que ma bite ressortait je ne manquais pas de cracher dessus pour bien la lubrifier, elle était tellement serré je sentais que j’allais jouir.
Et la c’est le drame, la porte s’ouvre, on était complètement nu tout les deux, j’avais ma bite planté dans son cul, je la tenais par les hanches, l’image était sans commune mesure, c’était son mari, il tremblait de tout part, il ne savait pas quoi faire, elle voulut se dégager mais je compris vite que son mari allait assister aux spectacles sans dire car il était pétrifié par la vision de sa femme avec ma bite dans son cul et se tenant comme une salope, ne pouvant voir son visage je ne savais pas ce qu’elle pensait, je repris mes mouvements de va et vient, voyant que son mari ne disait rien elle se laissa aussi aller.
Je lâchais ses hanches par l’attraper par les cheveux, le mari n’imaginait même pas qu’un homme pouvait faire subir un traitement pareil à sa femme, je la tirais vers moi, elle se tenait debout je lui fis écarter les jambes, je lui dis à l’oreille je crois qu’il aime te voir baiser avec moi, et je poussais ma bite pour qu’elle rentre jusqu’à la garde.
Je sortis ma bite de sa chatte et attrapais son haut et m’essuyer la bite dessus et je la fis coller un peu plus vers moi et rentrais ma bite dans son con et la limais comme un fou, je lui disais pleins d’insanités à l’oreille, de temps en temps je plantais ma langue et lui disais suce ma langue salope pour que ton mari voit que tu aimes baiser avec moi.
Je n’en pouvais plus, je sortis ma bite de sa chatte, je la poussais à se mettre à genou, et lui baissais la bouche, en regardant son mari droit dans les yeux je lui rentrais ma bite jusqu’à la garde, lui il ne détachait pas ses yeux de la bouche de sa femme en train de se faire défoncer par ma bite, je lui attrapais les cheveux et pour lui tringler la bouche, et je sentis que mon jus allait couler, je ne voulais pas me retenir, je voulais faire à son mari, qu’elle était ma soumise, je sortis ma bite lui dit ouvre ta bouche, je me branlais énergiquement et je déversais tout mon jus dans sa bouche, lui dit attends que je te remplisse la bouche, elle attendit avec la bouche ouverte, je lui dis avale maintenant, elle avala tout d’un coup, je lui replantais ma bite dans la bouche, elle me nettoyait les outils avec sa langue, je me rhabillais en quatrième vitesse et en sortant je dis à son mari, si elle veut que je la baisa à nouveau tu n’as qu’à me téléphoner.
Et je repartis fier de moi, le soir même le téléphone retentit mais ceci est une autre histoire.
Anakin