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JE DÉPUCELLE LE FILS DE MA MEILLEURE AMIE. – Chapitre 4

JE DÉPUCELLE LE FILS DE MA MEILLEURE AMIE. - Chapitre 4



Je surprends ma mère qui se tape mon ami denfance.

Le fils de sa meilleure copine !

Suite des épisodes, je déniaise le fils de ma meilleure amie.

1ère partie :

Je mappelle Emilie, jai 19 ans, daprès ce que disent mes copains dinternat, je suis un beau petit lot mais je nai pas encore sauté le pas. Toujours pucelle !

Je voudrais bien que pour la première fois, ce soit avec Claude, mon ami denfance.

Nos parents se connaissent depuis une quinzaine dannées et aussi loin que je me souvienne, nous nous aimons comme frère et sur. Il arrive souvent que je dorme chez ses parents ou inversement.

Julie, ma mère vient justement de proposer à ses parents, Jean et Annabelle, de laccueillir pendants un mois pour les grandes vacances car ils sont pris par leurs métiers. Mon père lui aussi est absent, en déplacement au Canada pour son boulot.

Cela fait une semaine que Claude est là mais je minquiète, il est moins prévenant avec moi que dhabitude, il se lève très tard le matin et a lair toujours fatigué comme sil ne dormait pas suffisamment.

Julie, ma mère na pas lair bien en forme non plus mais elle rayonne de gaité, je ne lai jamais vu comme ça.

Le soir tombe, la soirée se termine devant la télé, je vais me coucher, maman dépose un rapide baiser sur ma joue et vaque à ses occupations.

Comme souvent, Claude me rejoint dans ma chambre pendant un moment avant de regagner son lit.

CLAUDE.

Depuis 6 mois, je ne suis plus puceau, Julie ma fait découvrir le sexe et cest ma maîtresse.

Bien quun écart de plus de 20 ans nous sépare, je laime. Elle ma révélé, jaime ça et daprès ses dires, je suis un bon élève. Sa proposition me comble de bonheur, un mois complet avec elle !

Mais on doit faire attention car sa fille ne doit rien remarquer. Surtout que ça fait des années que nous nous bécotons.

Julie se fait très discrète quand elle gagne ma chambre donc on ne risque rien.

Comme tous les soirs, je passe un moment dans la chambre dEmilie. Pour dormir comme à son habitude elle a enfilé un de mes tee-shirts qui lui arrive à mi-cuisses et je devine en dessous un string de dentelle blanc. Une drôle didée mais jaime bien la voir dans cette tenue.

Julie est venue en nuisette noire passer un instant avec nous pour discuter.

Entre la mère et la fille, je ne sais plus où donner de la tête, je vois les seins de Julie à peine voilés par le déshabillé et le haut des cuisses dEmilie que mon tee-shirt qui remonte sans cesse me dévoile à tout instant. Et elle ne fait rien pour y remédier. Maguichant même.

Je ne peux mempêcher de bander et il faut toute ma volonté pour rester décent.

Julie nous souhaite bonne nuit, jembrasse Emilie et regagne ma chambre. Je sais quil va falloir sarmer de patience en attendant quEmilie sendorme mais on ne veut pas prendre de risque.

En attendant Julie, je ne peux mempêcher de me branler à la pensée de pouvoir la serrer contre moi.

Un silence oppressant règne dans la maison.

Julie vient de me rejoindre et me sourit, un doigt à la verticale sur ses lèvres sensuelles et sallonge sur moi pour membrasser.

Jadore ce moment très doux bravant tous les dangers. Rapidement je lenlace avant de lui retirer sa nuisette de soie noire la redécouvrant nue avec ce corps toujours aussi magnifique de femme mûre.

Mes mains soccupent de ses fesses bombées avant de lui malaxer les seins.

Je me délecte de sucer sa grosse poitrine, elle mattire vers elle en me caressant les cheveux en lâchant des petits soupirs.

Sa main gauche sest emparée de ma verge qui atteint sous ses caresses sa vigueur maximum.

Elle me branle lentement et habilement, son autre main libre sexcite dans sa chatte.

Ses gémissements sont de plus en plus forts, elle mavoue :

— Oh mon chéri, je nen peux plus de devoir attendre chaque soir.

A peine sa phrase finit, elle prend en bouche ma verge, lèche mon gland, pétrit mes boules.

Apparemment, elle veut jouer avec mon sexe. Je la laisse faire.

Sa bouche descend lentement sur mon sexe en avalant les trois quarts. Elle ne peut aller plus loin et commence une fellation rapide pendant quelques secondes puis recommence son manège. Je gémis fortement et me crispe, avec la sensation que des fourmis rouges me dévorent la bite.

EMILIE

Je viens de me réveiller en sursaut, je faisais un merveilleux rêve, Claude me faisait lamour sur une plage quand nous avons été dérangé par des promeneurs, dommage

Je suis en sueur, je me lève pour aller boire à la cuisine, je nallume pas, me contentant de la lumière de la lune, la maison est silencieuse mais quand je passe devant la chambre de Claude, je lentends gémir. Il na pas lair bien.

Jouvre doucement la porte, me glisse dans sa chambre et découvre lhorrible vérité, ma mère agenouillée sur son lit en train de dévorer son sexe !

Je suis complètement tétanisée, mes jambes flageolent quand jentends Claude demander à ma mère :

— Julie si tu veux un câlin tu devrais tarrêter car je ne vais plus résister longtemps, tu suces si bien !

Elle se redresse et lui répond :

— Ton engin est si délicieux, si gros et si large. Je suis toujours subjuguer par son gabarit et adore lavoir en bouche

Elle se positionne à califourchon sur ses cuisses, saisit son membre et frotte le gland sur sa vulve et commence à senfoncer délicatement dessus dans un long râle assourdi.

Doù je suis, je vois disparaître presque la totalité de la pine dans sa chatte. Sa moule doit être bien lubrifiée car elle na aucune difficulté pour labsorber, elle appuie ses mains sur la poitrine de Claude et commence des mouvements de bas-en-haut. Ses seins suivent la gravité et tressautent en rythme.

Elle prend son temps dans le calme, sans bruit, pour ne pas me réveiller.

Claude la force à changer de position, il la met sur le dos, lui relève les jambes quil pose sur ses épaules et la pénètre à nouveau, lui malaxant les fesses au rythme de ses coups de reins, senfonçant le plus profondément en elle, accélérant ses poussées.

Elle soupire discrètement lui chuchotant des mots damour, lui disant leffet qua son dard dans sa gaine de velours.

Il accélère la cadence, la tire par les cuisses pour la défoncer de plus en plus vite.

— Oh putain jadore ta grosse bite mon amour, jouis-en moi, remplis-moi de ton foutre! Chuchote- telle.

Au feulement quil lâche, je comprends quil vient de se vider en elle. Elle jouit de concert en poussant de petits couinements.

Dégrisée et libéré de ma paralysie, jappuie sur linterrupteur, mettant en pleine lumière lacte odieux.

Jinsulte ma mère et Claude :

-Bande de dépravés, maman, tu nas pas honte, ma propre mère qui se tape le fils de sa meilleure amie, tu sais très bien que jai le béguin pour lui, et toi, Claude, tu sautes une vieille qui a 2 fois ton âge et ça ne te déranges pas que je dorme à coté !…

Et je menfuis en courant dans ma chambre, me jette sur le lit et pleure à grosses larmes.

JULIE.

Je suis effondrée, ce que je craignais le plus vient de se produire, Emilie nous a surprit en pleine copulation

Je repousse Claude, enfile une robe de chambre et me précipite dans la chambre de ma fille.

Elle sanglote sur son lit, jessaye de la consoler, de mexcuser de mes actes mais rien ny fait. Elle me rejette et je la comprends.

Claude vient de nous rejoindre, nous nous regardons ne sachant quoi faire.

Il sest assit sur le bord du lit et caresse doucement la joue dEmilie.

Jessaye de me justifier auprès de ma fille :

-Tu ne vas pas me croire mais si jai séduis au début Claude, sétait sur la demande de sa mère, elle ma dit de déniaiser son fils, elle avait peur quil ne sintéresse pas aux femmes.

Et depuis que jai découvert ce quil a entre les jambes, je ne peux plus men passer !

Claude me regarde, il vient dapprendre la vérité, ses yeux jettent des éclairs.

-Cest pas vrai ce que tu dis ? Tu mas sauté à la demande de ma mère ?

-Oui mais je ne le regrette pas et puisque je suis aux aveux, autant aller jusquau bout. Tu te souviens de lamie que javais conviée un jour pour une partie à trois ?

-Tu ne vas pas me dire que cétait ma ?

-Si !

Voila que maintenant lui aussi est effondré devant mes paroles.

Emilie, qui a suivit notre conversation, a cessé de « chouiner » et je la vois tendre le bras et poser une main hésitante avec douceur sur le minuscule slip que Claude a enfilé.

Sous cet attouchement, il se calme instantanément et ne tarde pas à réagir sous ses caresses, leffet de la main dEmilie déclenche une réaction sous le fin tissu.

La croissance exponentielle de sa verge ne peut être retenue longtemps par ce ridicule slip et la croissance ne se termine que quand elle a retrouvé ses 26 cm habituels.

Emilie nose pas sen saisir, je lui prends la main et la pose sur la colonne de chair colée au ventre de Claude par son slip.

Elle a un léger mouvement de recul avant dappuyer sa paume sur le formidable tuyau. Elle sexclame :

-Cest chaud, cest dur et pourtant si doux.

Claude a rapidement retiré son slip pour libérer son rostre qui oscille devant les yeux effarés de ma fille.

-Mais cest énorme ! Comment peux-tu tenfiler ça ? Ca doit faire drôlement mal ? Tous les hommes ont ça entre les jambes ?

Je lui explique :

-Non, je te rassure, ça ne fait pas mal, bien au contraire ! Enfin Avec Claude, au début, il faut y aller doucement.

Il faut dire quil a une sacrée grosse bite, une très grosse bite même Pour la longueur, on arrive toujours à sen accommoder mais il a un diamètre peu commun. Si tu veux quil te déflore, il va falloir que lon prenne des précautions, surtout au début. Tu es partante pour essayer ?

-Oh oui ! Jette-t-elle aussitôt.

Après, ça sera à toi de voir Toutes les femmes ne supportent pas un tel organe dans leur sexe Ou ailleurs

-Il faut quil soit doux avec toi pour que ton corps sécrète un liquide qui va te lubrifier le vagin, sinon il te ferait mal. Claude, déshabille-la et applique-toi à lui donner du plaisir. Tu prends la pilule ?

EMILIE.

-Oui.

Claude me retire mon tee-shirt et mon string avec délicatesse, je me retrouve pour la première fois de ma vie complètement nue devant un homme.

Il me caresse sur tout le corps, mes seins durcissent sous ses baisers, il mattire à lui et membrasse, sa langue se faufile entre mes lèvres pendant que sa main à remplacé sa bouche sur mon sein gauche. Il me caresse pendant de longues minutes.

Maintenant sa tête se glisse dans la fourche de mes cuisses grandes ouvertes et il me léche longuement la chatte et le cul, sa langue se faufile entre mes grandes lèvres. Il me suce, sa langue explore mon petit bouton, je sens un flot de liquide couler dans ma chatte quil sempresse de laper.

Une sensation extraordinaire électrise mon corps provoquant quelque chose dencore inconnu pour moi, mon premier orgasme

Je narrête pas de gémir comme un chiot. Ma mère, dont la robe de chambre sest entrouverte dévoilant son corps dénudé se penche entre mes cuisses et prend la place de Claude, me léchant la chatte et le cul pendant quil soccupe de mes seins….

Devant l’impudeur de ma mère, je jouis à nouveau, expulsant de grandes giclées de mouille sur son visage.

-Tu es prête ma fille, Claude, je te supplie dy aller délicatement, il faut quelle est un merveilleux souvenir de sa première fois. Jette-t-elle.

Ma mère demande à Claude de sétendre sur le lit, me fait mettre accroupie à hauteur de son bassin. Elle prend sa verge et la présente devant ma chatte, la frotte plusieurs fois sur mon mont de Vénus Terriblement émue à la pensée de ce quelle ose accomplir, elle positionne le gland dilaté de façon à ce que mes grandes lèvres viennent le recouvrir.

Alors, elle me demande de maccroupir lentement encore plus, je mempale avec un plaisir infini sur le pieu de chair démesuré quand il vient en butée sur mon hymen. Sous la douleur, je stoppe ma descente.

Julie regarde Claude et lui ordonne :

-Fais-ça vite !

Dun coup de rein, il projette son bassin vers moi sans chercher à aller plus loin, déchirant ce qui fait dune enfant une femme, la pénétration me fait un peu mal mais pas autant que je le redoutais.

Je reprends la lente et voluptueuse pénétration du gland à lintérieur de mon vagin encore vierge.

Je ressens un plaisir presque immédiat de sentir cette chose inconnue ramper à lintérieur de mon corps, de lavancée de lénorme champignon de chair à lintérieur de mes chairs intimes.

Ma vulve est distendue par la hampe majestueuse mais la lente progression stoppe quand le gland bute au fond de moi, je ne peux en accepter plus, je saisis de ma main droite ce qui relie nos deux corps réalisant que je ne peux engloutir la totalité de sa bite démesurée.

Je ne croyais pas pouvoir accepter dans mon sexe un engin dune telle dimension.

Je ne bouge plus afin de mieux savourer cette colonne de chair au plus profond de mon vagin.

Je ressors sa queue de mon sexe, elle est tâchée de mon sang, et mempale à nouveau dessus, écrasant ma main crispée sur son bélier entre nos deux corps.

Je me relève du mandrin qui apparaît maintenant en entier dans ma main. Les pieds collés contre ses flancs, je fléchie mes jambes, ma main guide le phallus dans ma fente entrouverte qui labsorbe, essayant avec difficulté de le faire disparaître.

Je sens la main de ma mère chasser la mienne et se saisir de la hampe de Claude pour que dans ma folie, je naille pas trop loin, me permettant de me poignarder sur son sexe en toute sécurité.

Julie me lance :

Prends du plaisir ma fille……. regarde comme tu mouille, comme ta chatte est ouverte, une vraie salope. Tu vois comme tu aimes sa grosse bite…… Claude, donne à ma fille tout ce que je t’ai appris, fais- la jouir….elle nattend que ça !!!

Elle porte de temps en temps le mandrin à ses lèvres et loint de sa salive, goûtant avec amour ma liqueur intime avant de la glisser à nouveau dans ma chatte.

Le braquemard est si dur et gonflé que quand il lui échappe des mains, il frappe avec violence le ventre de Claude, il est tellement plaqué contre son ventre que Claude grogne de douleur lorsquelle tire son chibre vers elle pour le prendre en bouche. Elle doit lever les lèvres vers le gland pour glisser dans sa bouche sa longue trique formidable, essayant de labsorber jusquaux couilles.

Claude dans un violent coup de rein vient de me retourner, je suis sur le lit, sur les mains et les genoux, il me positionne au bord du lit et debout, dune seule poussée, il senfonce dans mon conduit.

Il me prend sans plus de retenue, il accélère, de plus en plus fort, de plus en plus loin, rythmant ses pénétrations entrecoupés de grognements, sa teub dilate ma vulve qui telle une ventouse, accompagne ses vas-et viens.

Soudain il me tire par les hanches et, dans un râle, éjacule au plus profond de mon corps. Je sens sa semence qui séchappe en moi à chaque coup de rein déclenchant un orgasme qui me foudroie. Je jouis de toutes mes forces

Il se retire sous les yeux de ma mère qui voit le sperme sécouler lentement de ma chatte.

Elle se précipite pour récupérer le divin nectar avant de se retourner vers Claude pour lui nettoyer son pieu souillé toujours dur.

La suite au prochain numéro.

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