Comme le réceptionniste m’appelait par mon nom de famille, ma mère demanda :
« Toi, tu viens souvent ici. C’est l’hôtel que tu utilises pour tes week-ends crapuleux ? »
« Mais non, tu me connais, je vis comme un moine. » Sourire d’ange pour appuyer mon mensonge.
« Je loue souvent ici pour le boulot, des séminaires, des conventions… » En fait ce n’était qu’à moitié faux puisque j’avais tourné quelques scènes au Bauernhof, pour une de mes productions X.
Le Hall était à couper le souffle. Une cascade spectaculaire coulait sur un mur de pierre noire de plus de 20 m de haut. Le lobby avait la taille d’un supermarché. Au-dessus de nos têtes, une coupole de verre, avec une armature métallique étonnante, digne d’Eiffel. Je demandais à Maman de lever la tête et elle poussa un cri d’émerveillement.
« On voit les étoiles mon Chéri ! Regarde ! » Une petite fille à la fête foraine. Comme elle était touchante ! Je l’ai à nouveau embrassée devant le réceptionniste qui, en homme du monde, sut tourner la tête et s’occuper à autre chose pendant quelques secondes. Il nous remit la clé et fit un signe au porteur pour qu’il s’occupât de nos bagages. Ma mère, que le concierge venait d’appeler ma femme, ne se sentait plus. Elle suivait sa « Vuitton rouge », accrochée à mon bras, une lueur de fierté dans les yeux.
Après une succession de longs couloirs et un passage par les jardins extérieurs, nous parvînmes devant notre porte. Le jeune bagagiste nous précéda à l’intérieur et demanda à « ma femme » s’il devait défaire nos bagages. Je le remerciais en lui glissant un billet dans la main. Allez ouste !
Maman n’arrêtait pas de s’extasier. Le Jacuzzi, la taille du lit, la déco, la salle de bains, le salon, le Champagne… A cet instant, pour elle, tout était un rêve. « Oh merci mon amour ! » Elle se pendit à mon cou et m’embrassa assez longtemps pour me faire bander et qu’elle sente mon bâton sur sa cuisse.
« Roooh mon bébé, on dirait que tu n’es toujours pas calmé. Mais tu es une vraie mitraillette, dis donc ! » Et elle posa sa main sur mon entrejambe.
« IL va encore falloir que Maman s’occupe encore de toi. Je me demande si tu ne fais pas exprès petit coquin. Mais pour le moment, il faut que je m’éclipse. » Elle pressa un peu mon sexe dans sa main comme pour lui dire au revoir et partit dans la salle de bains.
« Je saute dans le jacuzzi en t’attendant. » Je me déloquais rapidos et rentrais dans l’eau parfaitement tiède. Maman avait laissé la porte ouverte et je l’entendais faire pipi. Hmmm, sa chatte toute mouillée et fraichement rasée…
Quand elle revint dans la chambre, j’étais en train de servir deux flûtes de Bolinger, installé nu dans le bain à remous.
« Tu sais mon chéri, je crois que je vais me prendre une petite douche avant de te rejoindre. Je me sens poisseuse du voyage. »
Je pensais : « Tu m’étonnes ! Avec le litre de foutre que je viens de te gicler dessus… ».
Mais quand je levai la tête, je restai scotché : la jupe à la main, le fameux body en dentelle blanc, les bas noirs et toujours ses bottes à hauts talons. Elle dégageait un mélange de naïveté et de vice particulièrement excitant.
« Houla ! Caliente Mama Mia ! Tu es trop belle ! Tu ne vas nulle part avant d’avoir bu une flûte avec moi, my sexy Mom. Mets-toi à l’aise et viens t’asseoir. »
Elle s’approcha en souriant mais pas très sûre d’elle. Elle s’assit au bord du jacuzzi et ôta fébrilement ses bottes, sans oser me regarder. Elle s’installa tout de même en face de moi, du côté opposé du bassin, et ne croisa pas les jambes. Une large tache humide souillait le bas du body au niveau de l’entrecuisse. Ma chère mère était aussi excitée que moi. Sa vulve gonflée était nettement visible par le double pli qu’elle formait dans le tissu humide. Je me levai, pine au garde-à-vous, pour lui passer sa flûte. Et ce faisant je traversai le bassin pour m’agenouiller face à elle. Ma bouche n’était plus qu’à 50 centimètres de la chatte de Maman.
« Tchin Tchin Maman chérie. Je suis content de passer ce moment avec toi. Tu es splendide et toute à moi pour deux jours. Crois-moi, je mesure la chance qui est la mienne. Tous les hommes voudraient être à ma place, tu sais ? »
« A toi mon Christian ! Et merci encore de me faire vivre de si belles choses. Tu es le meilleur des fils et je suis la plus heureuse des mères. Je suis si excitée d’être ici. » Je ne pouvais pas laisser passer une pareille occasion de planter ma dernière banderille.
« Oui, je vois. Tu es toute mouillée. » Dis-je en désignant son entrejambe.
« Oh Christian ! Tu me mets mal à l’aise. » Et elle serra les cuisses sous mon nez.
« Mais tu es sérieuse là ? Si tu me regardes bander et que ça ne te choque pas, je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas te mater la chatte et te dire que tu mouilles ? C’est injuste ce truc. Nous les mecs, on ne peut pas cacher notre désir, alors qu’il vous suffit de croiser les jambes. C’est trop facile. Il faut assumer ma petite. Tu mouilles pour moi, un point c’est tout !.» J’avais parlé de manière ferme, presque autoritaire. Sans la quitter des yeux, je posai mes mains sur ses genoux et lui écartai doucement les jambes. « Laisse-moi voir Maman, c’est à mon tour de te faire du bien. »
« Oh non, mon chéri, pas maintenant, pas comme ça ! » Supplia-t-elle en me repoussant mollement. Au contraire, je pensais que c’était le moment idéal et ne tins pas compte de sa prière. Je continuai d’avancer mes mains vers le haut de ses bas et découvris enfin le trésor caché de Maman.
« Regarde, ça se voit bien que tu es toute mouillée. » dis-je d’un ton de père à sa fille. « Nous savons toi et moi pourquoi tu es venue me rejoindre ce week-end. Si tu es ici ma petite Maman préférée, c’est pour que nous nous aimions comme un homme et une femme. Je suis ton homme. Et tu es ma femme pour de vrai. Et c’est pour cela que je peux voir ton minou. Et puis n’oublie pas que depuis plusieurs semaines tu me reluques la queue sur Skype et encore aujourd’hui, tu ne t’es pas privée. Alors ce serait un peu normal que tu me montres tout. Tu crois pas ?»
Elle craque enfin. Son sourire et son regard ne sont plus ceux d’une mère. :
« Oh mais tu es terrible toi ! Et puis quand tu me regardes avec tes grands yeux, je ne peux rien te refuser. De toute façon je savais que cela finirait comme ça. Tu veux voir la chatte de Maman, mon chéri ? Cela te ferait plaisir que je dégrafe mon body ? OK, alors regarde bien mon Amour… » Elle écarta les cuisses en grand et détacha habilement les trois clips en plastique.
Bingo ! Je voyais enfin l’abricot de ma mère en réel. Il était magnifique, bien sûr. Très lisse, à peine fendu et surtout aucun poil à l’horizon. A part des grandes lèvres un peu distendues et légèrement proéminentes, on l’aurait prise pour une pucelle. L’entrée de sa grotte luisait assez pour dévoiler les sentiments qui l’animaient à cet instant. Je continuai sur le même ton. « Voilà. C’est bien. Tu ne vas pas le regretter. Je vais bien m’occuper de toi moi aussi. » Et je posai une main à plat pour envelopper sa chatte entièrement. Elle sursauta et émit un petit cri de surprise. Avec mon pouce, j’écartai un peu les lèvres et constatai : « Ca y est ! J’ai la preuve. Tu mouilles petite coquine ! Et pas qu’un peu. » J’avais à peine commencé à enfoncer mon pouce qu’elle dégoulinait déjà. Elle gémit doucement et ne tenta pas de me repousser. Je sentis que je pouvais me lâcher un peu plus. Très lentement, j’introduisis mon doigt en entier. « Je te remercie de t’être fait épiler. Tu ne peux pas savoir comme je suis fier que tu l’aies fait pour moi. Tu es si sexy. C’est bien pour me faire plaisir que tu l’as fait ? Dis- moi que tu t’es rasé la chatte pour moi. »
« Oh mon chéri… Tu me fais du bien… Ta main est si chaude… Oui, je me suis fait épiler le minou pour toi, mon fils. Je me suis préparée pour te plaire. Ouiiii, vas-y, mon Christian. Tu me fais mouiller comme une folle.»
« Je savais que tu voulais me faire bander. Je l’ai senti. Je te connais si bien. Je sais ce que tu aimes. Je vais te branler comme tu m’as branlé dans la voiture tout à l’heure. Oh Maman j’aime ta chatte ! J’ai envie de la goûter ! Oui, Nathalie, je vais te bouffer la moule ! » Je crois que c’était la première fois que j’appelais ma mère par son prénom. Je ne voyais plus que la femme, plus que sa belle fente bien humide. Je plongeai ma tête entre ses cuisses et avant qu’elle n’ait eu le temps de dire ouf, je lui suçai doucement le petit bouton. Ma mère a bien posé sa main sur mon front, comme un dernier sursaut moral, mais sans grande conviction. Je me suis donc appliqué à donner du plaisir comme jamais. Je crois que je n’ai jamais léché une femme avec plus d’appétit. Simultanément, à l’intérieur de sa chatte, j’avais remplacé mon pouce par le majeur et l’index, tournés vers le haut, paume vers moi. Les deux doigts étaient rentrés comme dans du beurre. Ainsi je pouvais atteindre une zone érogène bien connue pour provoquer une jouissance très forte. Il suffit en fait de gratouiller cette région, où se trouvent les glandes qui libèrent la cyprine. De cette manière, certaines femmes éjaculent littéralement. C’est une technique japonaise que j’avais acquise lors de mon premier séjour là-bas. Ma main libre pelotait son sein gauche, que Maman avait offert en baissant la bretelle de son body. Quel délice de rouler ce téton bien dur entre mes doigts ! Et ce gros lobe, plus grand que ma main ? Avec ses bas et son body remonté au-dessus du nombril, ma mère me faisait penser à une playmate de calendrier que l’on voit chez les garagistes. Je la branlais de plus en plus fort. Sa chatte trempée produisait des bruits humides très explicites. Comme on pouvait s’y attendre, excitée comme elle l’était, et avec ce traitement, elle ne put tenir bien longtemps. J’entendis sa respiration s’accélérer et son bassin commença à onduler de haut en bas. Elle allait venir.
« Vas-y Maman, viens dans ma bouche et sur mes doigts ! Vas-y jouis pour ton fils ! » Et je recommençais à lui sucer le clito.
Cela déclencha son orgasme. Elle ne gicla pas vraiment. Mais je vis nettement un petit flot de mouille couler de sa chatte et s’égoutter dans le Jacuzzi. Elle avait crié sans retenue pendant une bonne demi-minute. J’avais adoré l’entendre exprimer son plaisir. Elle me donna envie de la faire gueuler encore plus fort. Mais cela serait pour plus tard…
« Voilà mon Amour de Maman. Maintenant nous sommes à égalité. »
« Oooh mon bébé, tu m’as bien fait jouir. Cela faisait des années que je n’avais pas pris mon pied comme ça. Rooh, tu sais te servir de ta langue, petit cochon. »
« J’ai adoré te bouffer la chatte Maman. Elle a un goût sucré et elle est si mignonne, si lisse. » Tout en parlant, je me levai dans le bassin pour nous resservir deux flûtes, exhibant ainsi mon érection colossale.
« Oh Chéri, ta… ta… ta queue ! Elle est vraiment énorme ! Elle a l’air si dure… La pauvre, il faudrait s’en occuper. Hmm tu ne voudrais pas que Maman te soulage. » Elle passa sa langue sur sa lèvre supérieure.
« Non, non, petite gourmande. Tu as eu ta dose. Tu as joui une fois, comme moi. Maintenant, va te faire belle ! Je sors ma femme au restaurant gastro de l’Hôtel. Allez, cul sec Maman ! A nous !» J’avais besoin de Champagne pour me remettre de mes émotions et je savais qu’une fois alcoolisée, elle se lâcherait plus facilement.
« Mais chéri… »
« On ne discute pas, on obéit ! Allez ouste, sous la douche ! Et mets le paquet ! Je veux que tu sois la plus sexy ce soir. Je veux que tous les mecs craquent leur pantalon en te voyant. »
Elle vida son verre d’un trait et se dirigea vers la salle de bains en boudant comme une petite fille qui vient de se faire gronder. Son cul ballottait à gauche, à droite, sous le body remonté au milieu du dos. C’est vrai qu’elle méritait un bon coup de queue. Je n’étais pas sûr de pouvoir attendre d’avoir dîné pour l’enfiler une bonne fois pour toutes…