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Je fantasme sur ma mère – Chapitre 1

Je fantasme sur ma mère - Chapitre 1



Bonjour.

Je m’appelle Adrien j’ai 21 ans. Je suis en master de droit à Assas (Université de Paris 2). Je vis avec ma mère veuve. Gisèle (c’est son prénom) est cadre dans un bureau d’avocats. Ses collègues hommes et peut être femmes doivent la trouver fort belle femme, car toujours élégamment vêtue avec des tailleurs bleus marine, corsage blanc dilaté par une poitrine généreuse, bas ou collants noirs, le galbe de sa croupe bien marqué par une jupe mini, du plus bel effet et bien sûr, talons hauts. (J’ai horreur de ces femmes en jean et baskets dans leur tenue de ville alors qu’elles seraient si charmantes et féminines en mini + talons ou cuissardes l’hiver). Ses longs cheveux châtain foncé sont retenus par un chignon très apprêté.

Depuis mon adolescence, j’ai toujours fantasmé sur le corps de ma mère. Elle représente pour moi l’archétype des belles femmes.

Voici mon histoire :

Nous sommes samedi, maman est de repos et moi, je n’ai pas cours. Le temps est maussade et je n’ai pas prévu de sortir même si traditionnellement, nous nous réunissons entre copains et copines de la Fac en fin de semaine.

Au petit-déjeuner que nous prenons ensemble les jours de repos, maman me regarde fixement.

« Adrien, il faut que je te dise quelque chose qui me tient à cur et que j’ai refoulé jusqu’à maintenant.

Depuis quelque temps, j’ai constaté que mes sous- vêtements dans la panière à linge sale, étaient souillés de taches blanchâtres et ce matin, un de mes strings était tout poisseux de ce qui indéniablement était du sperme. Comme je ne reçois jamais d’homme à la maison, j’en déduis logiquement que tu te masturbes dans mes affaires. Je ne te fais pas de reproche, la masturbation est naturelle à tout âge, mais il serait plus pratique pour moi que tu empruntes une culotte à une de tes petites amies. Qu’en penses-tu ? »

Après ces quelques mots, j’ai senti les rougeurs me monter au visage, mais les paroles étaient tellement neutres et simples qu’après un léger temps de silence, je ne me suis pas défilé.

Oui c’est vrai, quand je regarde la télé, certaines présentatrices de la météo habillées à mi-cuisses avec des poitrines imposantes ou quand je mate une vidéo érotique sur mon Mac, je suis tellement excité que je me branle en recherchant le contact avec ces dessous, que tous les hommes trouvent excitants. J’imagine que je participe à une partie de plaisir et voilà, je me fais plaisir.

Je comprends Adrien, mais ce serait plus pratique que tu aies tes affaires à toi pour imaginer tes partenaires.

Maman, depuis longtemps je fantasme sur ton corps et c’est toi que j’imagine dans mes fantasmes. Tu sais que tu es une belle femme. Quand je te vois comme maintenant le matin ou le soir en déshabillé offrant presque ta poitrine à ma vue et quand les pans de ta nuisette dévoilent par moments ton entrecuisse, je suis excité au plus haut point.

Merci pour le compliment, mais pense que je suis ta mère et essaie de dévier tes pensées vers tes copines ou d’autres femmes.

Ce n’est pas facile puisque c’est de toi dont j’ai envie et c’est très dur de ne pouvoir croquer ce fruit défendu qui est pourtant à portée de ma main.

Là Adrien, tu délires un peu. Il faut te ressaisir. Je veux bien te laisser quelques-uns de mes dessous pour t’amuser si cela te fait plaisir. Maintenant, arrêtons là cette conversation, considérons que la mise au point a été faite. Chacun a exposé son point de vue. Je dois m’habiller pour aller faire des courses. Tu ne sors pas toi, ce matin ?

Non, il fait mauvais, je vais réviser un peu si j’arrive à me concentrer. J’irai retrouver les copains en fin d’après-midi.

Cette discussion m’a terriblement excité même si, en quelque sorte, la fin peut être considérée comme une fin de non-recevoir à la concrétisation de mes fantasmes. Maintenant que je me suis dévoilé, je ne sais pas comment je vais résister à la vue de cette poitrine et de ce cul qui me font bander à chaque apparition. Là, j’ai une érection du feu de dieu. Je vais sortir un peu prendre l’air dans le jardin pour me calmer.

Peu de temps après, ma mère sort pour aller prendre sa voiture et encore une fois, la vue de ce corps en minijupe à mi-cuisses avec ses jambes gainées de noir et la veste de son tailleur dilatée par cette poitrine que j’aimerais tant caresser redonnent de la vigueur dans mon jean.

Passant à côté de moi, elle me caresse affectueusement la joue en me lançant gentiment un « à tout à l’heure, Adrien. Je vais au marché et je te préparerai les petits plats que tu aimes bien ».

Toujours très excité, je monte nonchalamment dans ma chambre pour essayer de me mettre au travail. En ouvrant la porte, surprise : sur mon lit est étalée une parure complète de dessous féminins. Soutien-gorge noir avec une petite rose à la jointure des deux bonnets, porte-jarretelles et string assortis, le tout complété d’une paire de bas étalés à la suite comme sur un mannequin couché. C’est peut-être moins excitant que de voir tout cela sur un corps de femme, mais je me demande quelle en est la signification. Je m’interdis d’y voir un signe quelconque en me souvenant des dernières paroles de notre entretien : « Je veux bien te laisser quelques-uns de mes dessous pour t’amuser… mais arrêtons là cette discussion, considérons que la mise au point a été faite »

Je m’approche du lit, je sens que la tension remonte dans mon pantalon, j’ai envie de me branler sur ce spectacle. Je caresse délicatement le soutien-gorge, le toucher des bas soyeux augmente mon érection, mais je suis interrompu par la sonnerie de mon portable. C’est Julien qui me demande si je peux rejoindre le groupe pour fêter l’anniversaire de Marie. J’accepte et en m’habillant, je suis tellement excité que je remplace mon boxer par le string de ma mère.

J’envoie un texto à maman pour lui dire que je ne serai pas là pour le déjeuner ni pour le dîner et que je rentrerai probablement tard dans la soirée, suite à l’invitation de Julien.

Après une journée joyeuse et bien arrosée, en rentrant à la maison, je fais attention de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller maman. En montant l’escalier à pas de velours, arrivé sur le palier près de la chambre de Gisèle, j’entends des gémissements et un murmure. Je colle mon oreille à la porte, les bruits se font plus précis : « baise-moi, oui baise-moi, donne-moi ta queue, fais-moi jouir ».

Avec évidence, ma mère doit se branler en imaginant une partie de cul. Lorsque son orgasme monte, les bruits du lit s’accélèrent et un râle de plaisir semble emplir la chambre.

Je redescends l’escalier à pas feutrés, arrivé dans l’entrée, je claque la porte pour manifester ma présence et rejoins le palier en faisant bien entendre mes pas.

C’est toi Adrien ? Tout va bien ?

Oui maman et toi je t’ai réveillée ?

Oui je dormais, mais j’étais en plein dans un rêve.

Je peux entrer ?

Oui, mais il est peut-être temps d’aller te coucher. Il est quelle heure ? Minuit passé ? Entre si tu veux.

La chambre est baignée par la douce lumière de la lampe sur la table de nuit. Maman est sous les draps avec la couverture remontée au-dessus de sa poitrine.

Alors comme ça, je t’ai extirpée de ton rêve ? Était-ce un vrai rêve ou un cauchemar ?

Un rêve agréable, mais comme tous les rêves, souvent interrompus sans qu’on en connaisse la fin. Ta soirée s’est bien passée ?

« Oui, on a terminé au pub en refaisant le monde avec quelques verres d’alcool.

Je n’ai pas souvent l’occasion d’entrer dans ta chambre quand tu es au lit et ça me fait bizarre. Je t’ai dit sans me défiler que ton corps me faisait fantasmer et puisque tu m’as autorisé à entrer, fais-moi le plaisir de me le montrer. Tu veux bien ma petite maman ? »

« Tu es terrible, tu continues notre discussion sur ce sujet pourtant tu connais mes limites. Je t’ai laissé mes dessous pour ton plaisir solitaire, cela devrait te satisfaire. Tu as de la chance d’avoir une mère assez ouverte sur ces choses, mais je suis ta mère. »

Oui maman, je comprends, mais c’est l’occasion de me montrer ce corps qui alimente mes fantasmes. Fais un effort, découvre-toi et offre-moi ce spectacle tant désiré et si tu es d’accord, je me branlerai cette fois devant la réalité.

Sans réagir verbalement, Gisèle se découvre lentement en offrant à la vue un corps, jambes écartées et quelle surprise : elle s’est couchée avec une parure de dentelle soutien-gorge ouvert sur les tétons, string violet, porte-jarretelles assorti et bas résille.

Ouah ! que tu es jolie, tu me fais bander un maximum, regarde.

Je défais rapidement mon pantalon qui tombe à mes genoux et laisse apparaître le string qu’elle m’avait laissé sur mon lit d’où émerge ma queue raide comme un gourdin.

Quelle belle bite tu as mon fils, tes copines doivent être comblées.

Oui, mais ce soir, elle est pour toi.

Sans tergiverser, je me jette sur ma mère et m’allonge sur son corps.

Non, pas ça, je ne te permets pas, je n’aurais jamais dû accepter de te montrer. Arrête, reprends tes esprits.

Gisèle se démène pour essayer de se libérer, mais je lui attrape les poignets, lui mets les bras en croix et passe ma cuisse dans son entrejambe pour me frotter contre sa chatte.

La tenant fermement malgré sa forte volonté de se débattre et de se libérer, j’entreprends de lui sucer les mamelons qui sortent de son soutien-gorge.

Arrête Adrien, tu ne vas tout de même pas violer ta propre mère ? Cesse ce jeu incestueux, je t’en prie.

Je délaisse sa poitrine pour lui plaquer ma bouche sur la sienne, je réussis à écarter ses lèvres, mais elle fait barrage avec ses dents. J’entreprends de la masturber vivement avec ma jambe. Je sens sa mouille à travers son string. Je lui maintiens toujours les poignets bras écartés, mais à force de lui branler la chatte avec ma cuisse, ça doit lui faire de l’effet, car elle se calme, ses dents se desserrent, je peux entrer ma langue et chercher la sienne et s’ensuit un long baiser fougueux où tout à tour, c’est elle qui prend l’initiative.

Je dessers l’étau de ses bras qui viennent m’enlacer le torse pour finir de me déshabiller.

Ma queue est au paroxysme de l’excitation.

Caresse-moi les seins, viens me téter et donne-moi ta bite, je la veux en bouche, après, tu me baiseras. Traite-moi comme ta pute.

Ces mots sortant de la bouche de ma mère ont un effet d’excitation phénoménal.

Oui ma salope de mère, tu vas avoir ta dose, je vais te défoncer.

C’est bon quand tu me parles comme ça, continue, donne-moi ta queue.

J’ai droit à une fellation mémorable pendant qu’elle me caresse les couilles.

Arrête maman, j’ai peur de partir, donne-moi ta chatte, je vais te prendre en levrette.

Pendant cette partie, ne m’appelle pas « maman, appelle-moi « Gisèle. Viens me défoncer le con et donne-moi toute ta sauce dans mes entrailles quand tu jouiras ».

Avant de m’introduire, je cherche son clito avec mes doigts en écartant son string, elle est trempée de jus, la salope. Je ne peux résister à sucer cette chatte à travers sa touffe abondante et abondamment mouillée et me délecter de cette quantité importante de cyprine. Qu’il est bon le jus de ma mère !

Viens, viens vite, baise-moi, baise-moi (j’ai déjà entendu cette petite musique à travers la porte de sa chambre) je sens que je vais jouir.

Je la pénètre donc bien profond et après un bon nombre de coups de boutoir, je sens ses doigts qui se crispent sur mon cul. Elle part dans un violent orgasme qui la fait trembler de tout son corps avec un cri qui emplit la maison. L’effet est immédiat pour moi aussi, je décharge toute ma semence dans son vagin et exténués, nos deux corps se séparent en restant côte à côte.

Au bout d’u moment de répit, c’est Gisèle qui rompt le silence.

Alors mon Adrien, es-tu satisfait de ta maman ?

Oh oui ! Je pensais que mes fantasmes resteraient à l’état de rêve. Si j’imaginais baiser ma mère, je ne pensais pas que ça arriverait un jour. Je me contentais de me représenter avec toi quand je baisais avec mes copines. Mai je suis quand même intrigué par le fait que tu as fini par te faire violer par ton fils.

Je peux bien te l’avouer maintenant, moi aussi j’ai souvent fantasmé sur ton corps, je rêvais de voir cette bite qui ensemençait si abondamment mes sous-vêtements. La dernière fois, c’était si important et si frais dans mon string retrouvé dans la panière à linge sale que je me le suis introduit dans la chatte pour bien sentir le liquide, le mélanger avec la mouille que ça m’avait provoqué, me délecter en suçant le tout et en le renfilant pour le garder toute la journée. Je ne l’ai d’ailleurs pas lavé depuis.

Eh bien, j’ai vraiment une maman très salope.

Ce n’est pas pour te déplaire si j’en crois la partie qui vient de se terminer. Maintenant, il nous faut peut-être dormir même si demain dimanche, nous n’avons rien de spécial de prévu. Du moins pour moi.

Non, pour moi non plus. Je vais donc essayer de dormir dans ma chambre. A demain petite salope de Gisèle, fais de beaux rêves.

A demain petit vicieux.

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