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Je me fais défoncer par mon oncle – Chapitre 17

Je me fais défoncer par mon oncle - Chapitre 17



— Calme toi ma chérie, Mia est en sécurité.

— Mais où est-elle et avec qui ?

— Elle est chez-toi. Avant de venir ici, j’ai appelé une baby-sitter.

— Une baby-sitter ? Mais qui ?

— C’est la jeune Audrey qui demeure à quelques rues de chez-toi, tu la connais ?

— Ouf, ça me soulage ! Oui, je la connais.

— Alors tout va bien ! Continue de bouffer ma jolie chatte ma belle cochonne.

Et je me remets à brouter la délicieuse fente de maman. Très rapidement, je l’entends gémir et elle se remet à couler. J’adore le goût de sa mouille.

Pendant que je plante ma langue dans sa chatte, elle commence à rouler son clitoris entre ses doigts. Je la sens vibrer et elle tremble légèrement, ce qui je crois, annonce l’arrivée d’un orgasme. Je décide de la faire languir encore un moment. Ça m’excite de plus en plus et je me remets en 69 avec elle, mais cette fois-ci, nous tournons et je me retrouve sous elle. J’ai ses deux trous à portée de main mais surtout, à portée de langue.

Maman écarte mes cuisses et passe ses coudes derrière celles-ci, ce qui fait que je suis dans le plus grand écartement possible et j’ai les trous bien ouverts. Elle se met alors à lécher depuis mon petit bouton très sensible jusqu’à mon trou du cul encore endolori. Putain, cette langue sur mon trou de balle me procure un soulagement bien apprécié.

Tout en léchant la moule bien baveuse de ma génitrice, je masse ses gros nichons encore humectés de foutre. Elle gémit de plus en plus fort, alors je fais comme elle me fait, je lèche depuis son clitoris jusqu’à son trou à merde et j’accélère le mouvement, ce qui la fait grogner comme une bête.

Ces grognements signifient, je crois, que je fais bien mon boulot, comme une bonne petite salope.

Sa respiration s’accélère, je la sens recommencer à vibrer alors, je retire mes bras d’entre nos deux corps, les sors d’entre ses cuisses et tout en continuant de lécher la fente et la raie qui s’offrent à moi, je lui donne quelques bonnes claques sur son charmant cul.

— Ahhh, petite pute, tu m’échauffe bien, garce !

— Plante ta langue dans mon cul maman…

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Je sens sa langue s’introduire directement dans mon trou béant et commencer à faire des aller et retour. Ma chatte se met à couler de plus en plus et humecte mon trou de balle en plus de la salive de maman. Je sens sa tête aller et venir de plus en plus vite. Sa langue se rend de plus en plus profond dû au fait qu’elle m’écarte bien les fesses de ses deux mains. Je vais jouir… encore.

— Oh, maman… putain de cochonne… je viens… ahhhhh… nom de Dieu !

Après m’être raidie et avoir retenu mon souffle, je pousse un long râle de satisfaction et je sens ma mouille couler entre mes fesses.

De mes deux mains, j’écarte au maximum les fesses de maman, je crache sur son petit trou et j’y enfonce ma langue après l’avoir bien léché. J’encule alors maman de plus en plus vite en donnant de bonnes claques sur son magnifique cul.

Elle fait de même de son côté, elle m’encule de sa langue et claque mes fesses.

Maman se cambre, elle va jouir. Elle grogne comme une truie.

Je sens alors un jet de mouille bien chaud couler dans mon cou. Je sors alors ma langue de son cul, et très rapidement, j’enfonce 2 doigts dans son trou à merde et l’encule de plus en plus fort. Je descends ma bouche à la hauteur de sa chatte pour recueillir ce merveilleux nectar. Au même moment, je me cambre à mon tour et en poussant un grognement j’envoie un quelques bons jets de mouille sous le menton de maman qui remonte aussitôt sa bouche pour s’abreuver de mon jus.

— Oh que c’est bon maman !! Oh putain ! Bois ma mouille, avale tout.

— Mmmmhmmm…

La jouissance me fait perdre la tête et je dis tout ce que qui me passe à l’esprit. J’adore être vulgaire quand je jouis !

— Putain de merde maman ! t’es une sale cochonne ! Une salope ! Une chienne !

— Mmmmhmmmm…

Nom de Dieu, ce que j’ai joui ! Je deviens toute molle. Je sens aussi maman qui, après avoir jouit très fort, se ramollir à son tour.

Elle s’enlève d’au-dessus de moi, se retourne, place sa tête entre mes cuisses encore écartées et elle lèche à partir de mon trou de balle en passant sur ma chatte, mon clitoris, mon ventre en s’attardant sur le nombril, continue de monter en léchant ma peau moite et en arrivant à ma poitrine, elle empoigne mes nichons humectés de sa mouille et les lèche avidement.

Elle continue de lécher sa mouille dans mon cou, sous mon menton et se rend à ma bouche entrouverte où elle enfonce sa langue bien chaude. Nous nous embrassons comme deux collégiennes en frottant l’un sur l’autre, nos corps couverts de sueur.

Après un long soupir de satisfaction, nous restons étendues par terre, dans les bras l’une de l’autre, tentant de reprendre notre souffle.

— Toi aussi, t’es une salope Sandrine. Tout comme ta mère, une putain de cochonne !

— Maintenant maman, si tu n’y vois pas d’inconvénients, j’aimerais que tu répondes à quelques questions !

— Oui ma fille, qu’est-ce que tu veux savoir ?

— Devine !!

Devant mon ton ironique et mon visage expressif, maman éclate de rire, de même que tonton Jacques, et M. le curé… qui est mon papa. Je n’y crois pas encore !

Maintenant que je ne suis pas en train de jouir, mon esprit est plus clair et tout se bouscule dans ma tête. Moi qui avais commencé à me faire défoncer par mon oncle il y a quelques mois, je me retrouve soudain avec ma langue dans le cul de ma mère pendant qu’elle m’encule avec la sienne et j’apprends que le curé, qui est mon père, m’encule ! C’est quand-même beaucoup pour une seule journée !

— Eh bien maman !

— Bon très bien. Je débute par quoi ?

— Premièrement, tu pourrais m’éclairer sur le fait que le curé est mon père ! C’est une adoption, n’est-ce pas ? Quand papa est mort, il m’a adoptée, c’est bien ça ?

— Bon, si tu veux bien, on va s’asseoir tous les quatre bien gentiment et je vais commencer par le commencement.

Tonton Jacques et M. le curé s’assoient sur le divan, je peux voir leurs grosses queues ramollies se reposer sur leurs cuisses. Maman, après s’être recouverte d’un drap, s’assoit sur le fauteuil et moi, je rapproche un autre fauteuil où je m’assois, toujours nue.

— Tu t’es rendue compte, je crois, que Jacques et moi sommes assez proches.

— Proches ! Tu parles !

Maman y va d’un rire et poursuit :

Tout a commencé quand nous étions bien jeunes. Nous étions déjà très proches et nous étions tout le temps ensemble à jouer à toutes sortes de jeux. Comme tous les enfants de cet âge, nous jouions aussi au docteur. Nous explorions nos corps, ce qui nous a permis de découvrir qu’ils étaient différents. J’avais une fente et il avait un manche.

Nous nous sommes rendu compte que ce manche s’allongeait et devenait tout raide dès que nous le manipulions. Au début, ça nous faisait rire et plus ça allait, plus nous nous amusions avec cette chose bizarre, jusqu’à ce Jacques éprouve une sensation curieuse suite aux manipulations de son engin par ma petite main. Il venait d’avoir son premier orgasme, mais rien n’est sorti de sa queue, pas de sperme.

Évidemment, il a voulu ressentir l’agréable sensation à nouveau. J’ai donc recommencé à triturer son manche jusqu’à ce qu’il jouisse encore.

À partir de ce moment, à tous les jours, après l’école, nous nous enfermions dans sa chambre et je le branlais du mieux que je le pouvais jusqu’à ce qu’il entre presque en transe.

Nos parents ne s’inquiétaient de rien, tant que nous étions ensemble, ils n’avaient rien à craindre.

Au début, il ne baissait que son pantalon et restait debout devant moi, mais avec le temps, il devenait plus hardi et se dévêtait complètement. Moi, je restais vêtue… pour le moment.

Il se couchait sur son lit et écartait les cuisses pour que je joue avec ses couilles de ma main libre, pendant que je le branlais. Ça me fascinait d’entendre sa respiration qui s’accélérait et de voir son corps se raidir au moment de la « crise ».

Je devenais de plus en plus « experte » en la matière et je réussissais à le faire venir en moins de trois minutes. Avec le temps, les orgasmes devenaient de plus en plus puissants et je devais lui dire de baisser le ton quand il jouissait, pour ne pas alerter les parents par des « bruits bizarres ».

Un jour, pendant que je le branlais, il s’est mis à toucher mes petites fesses à travers mes vêtements. Ça m’a fait tout drôle, mais j’ai continué à le masturber jusqu’à ce qu’il vienne mais cette fois, un liquide épais et blanchâtre est sorti de sa bite et a atterri sur son ventre. J’ai immédiatement cessé de mes manipulations. Pendant un moment, nous sommes restée interdits et nous sommes demandés, inquiets, s’il nous n’avions rien « brisé ». Avec un mouchoir en papier, il a nettoyé le « dégât » sur son ventre et foutu le tout dans les toilettes.

Pendant 4 jours, nous n’avons plus rien fait, pensant avoir détraqué sa queue.

Le cinquième jour, il m’a demandé de recommencer pour « voir si ça produirait encore ». Il s’est couché nu sur son lit, mais cette fois, il m’a demandé de me déshabiller. J’ai obtempéré et me suis agenouillée à côté de lui.

J’ai commencé à masser doucement ses testicules tout en caressant ses cuisses. De sa main gauche, il s’est mis à caresser doucement mon dos dénudé puis il a descendu sa main jusqu’à mes fesses. Il les palpait et les serrait entre se doigts. Ça ne me procurait pas beaucoup de sensations, mais ça a eu sur lui un effet prodigieux. Sa bite s’est dressée instantanément et il me semblait, au toucher, qu’elle était plus raide que les autres fois.

J’entrepris donc de le branler, mais en y mettant plus de vigueur que d’habitude. En moins d’une minute, un puissant jet sortit de son manche, faillit m’atteindre à la figure et retomba sur sa poitrine, et puis un autre et encore un autre, en même temps qu’il poussait un grand cri de satisfaction.

Maman, de la cuisine, nous demanda si tout allait bien. Je lui répondis que oui, que nous jouions à un nouveau jeu.

Jacques était abasourdi par ce qui venait de se passer. Il disait qu’il était étourdi.

Moi, je regardais avec incrédulité le résultat de ce qui venait de se passer. Il me semblait que tout son corps était couvert de cette liqueur blanche et Jacques était essoufflé. Je me suis penché pour sentir et je n’ai pas détesté ni aimé l’odeur. J’entrepris de promener mon doigt dans cette substance étrange pour voir la consistance. Je portai mon doigt à ma langue et je goûtai à cette crème. Un goût acre, salé, mais pas désagréable.

Avec plusieurs mouchoirs de papier, nous avons nettoyé le tout et sommes descendus pour le dîner.

Suite bientôt…

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