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Je me fais défoncer par mon oncle – Chapitre 21

Je me fais défoncer par mon oncle - Chapitre 21



À l’enterrement de son mari ? On saute du mariage à l’enterrement ? Ne s’est-il rien passé entre les deux événements ?

Papa éclata de rire en entendant mon ton faussement outré. Maman reprit la parole :

Tu as raison, c’est un peu rapide comme raccourci. Je vais te donner les grandes lignes…

Une fois mariés, Pierre et moi filions le parfait bonheur, comme c’est le cas pour la plupart des jeunes gens dans la vingtaine.

À cause de son éducation stricte, il avait insisté pour qu’on ne fasse pas l’amour avant le mariage, ce à quoi j’avais donné mon accord un peu à contrecur, mais je me disais qu’on aurait tout le temps de reprendre le temps perdu une fois mariés. De toute façon, je pouvais me faire défoncer quand je le voulais par mon gentil frère et je ne m’en privai pas. Je suçais sa grosse bite presque tous les jours et il me défonçait à chaque fois.

Dans mon esprit tordu, ce n’était pas de l’adultère, mais quelque chose de normal. Quand on est salope comme je l’étais à l’époque, on a une drôle de façon de voir les choses.

Mais une fois mariée, mon tempérament de chienne prit le contrôle de mon esprit et Pierre en reçut plus qu’il n’en avait demandé côté sexe. Je devins absolument insatiable, une nymphomane à la puissance 10!

En plus de me faire limer les trous presque quotidiennement par mon frère, je m’amusais avec des godes à la maison, et quand Pierre rentrait de son travail, je me précipitais à ses pieds pour sortir sa queue et la sucer avant qu’il ait pu me dire bonjour. J’avais besoin de ma dose de foutre !

Après l’avoir bien pompé et avoir avalé ce qu’il y avait à avaler, je préparais le dîner, ayant des saloperies plein la tête et en regardant les concombres avec envie…

Ma chatte était mouillée pratiquement en permanence. Je n’avais que le cul en tête. Toujours. Jamais je ne pensais à autre chose. Me faire sauter et défoncer, sucer, avaler du foutre ; voilà ce qui occupait mes pensées toute la journée.

Pierre ne se plaignait pas d’avoir une petite femme chaude. Mais baiser ou faire l’amour ne me suffisait pas, il fallait qu’il me défonce littéralement, quatre ou cinq fois pendant la soirée, et ce, sept jours par semaine. C’est sans compter les fois où je le réveillais la nuit en le suçant. Ça use son homme, autant mentalement que physiquement. On a beau être au milieu de la vingtaine et être fringant, il arrive un moment où on frappe un mur, tant au figuré qu’au propre.

Après un mois et demi de ce régime, Pierre était totalement épuisé. Parfois, je lui laissais une soirée libre et j’allais me faire défoncer chez Jacques quand sa femme n’était pas là.

Pierre allait au lit le soir, de plus en plus tôt. Je restais au salon à me goder la chatte et le cul en regardant des films pornos. J’enviais ces filles qui se faisaient défoncer les trous pendant de longues minutes, et qui finissaient par se faire éjaculer sur le visage ou encore mieux, dans leurs bouches de putes.

Quand j’allais au lit à mon tour, j’étais excitée au maximum et tout ce que je voulais, c’était de sucer une bite. Parfois, je ne réveillais même pas Pierre. Je réussissais à le faire bander pendant qu’il dormait. Je jouais avec sa queue, je la suçais je la branlais, mais il n’éjaculait pas, ce qui me décevait un peu.

Je m’empalais sur sa bite jusqu’à ce que je jouisse sans qu’il ne se réveille. Ensuite, je m’endormais environ une heure et alors là, je le réveillais et il me défonçait. C’était comme ça trois ou quatre fois par nuit, parfois cinq fois. J’étais vraiment accro. Une véritable chienne. Pierre était vraiment épuisé, mais il ne se plaignait jamais et il me fourrait comme la dernière des putes, comme je le demandais.

Comme je n’avais pas de boulot, je pouvais dormir plus tard le matin pendant que Pierre allait au travail et je restais à la maison pour m’occuper de l’entretien et à préparer de bons petits plats pour mon homme. Mais dès que j’avais quelques minutes de répit, je me godais comme une enragée.

Ensuite, Pierre rentrait du travail et le cirque repartait de plus belle.

Jusqu’à ce lundi d’octobre où je reçus la visite de deux policiers me disant que Pierre avait eu un accident. Sa voiture s’était encastrée dans un mur de béton et il était décédé sur le coup.

L’enquête a révélé qu’il s’était endormi au volant. Il n’avait eu aucune chance… par ma faute. Je m’en voulais tellement que j’en étais malade.

La semaine précédente, Pierre et moi avions discuté de mon « accoutumance un peu excessive » au sexe et comment il se sentait face à ce fardeau, car c’était devenu à ce point dur physiquement, que c’était un fardeau pour lui. Il m’aimait énormément, mais ne sentait plus de taille pour continuer à suivre la cadence de mon « appétit ».

Nous avions avancé l’idée que si je tombais enceinte et que je menais à terme une grossesse en donnant naissance à un gentil poupon, ça m’occuperait l’esprit de dorloter l’enfant, et comme ça, notre vie deviendrait peut-être un peu plus normale.

Comme j’adorais Pierre et que je voulais tout faire pour le rendre heureux, j’avais convenu que c’était ce qu’il fallait faire.

L’idée m’emballait. J’allais devenir maman ! J’en parlai à mes parents, avec mon frère Jacques et sa femme et avec les quelques amies que j’avais à l’époque. Tout le monde était content pour nous.

Je décidai de laisser à Pierre une semaine de répit avant de commencer à faire ce qu’il fallait pour que je tombe enceinte. Jusqu’ici, il n’avait jamais éjaculé en moi, j’étais trop gourmande et j’avalais méthodiquement chaque goutte de foutre que je provoquais.

Ensuite arriva l’accident. J’étais dévastée. Ma famille et mes amis me supportaient, mais je n’arrivais pas à m’enlever de l’esprit que c’était ma faute. Je n’avais plus le goût de rien, même pas de sexe. J’étais désespérée et déprimée.

En désespoir de cause, j’allai à l’église pour me confesser, espérant le salut de mon âme si je me confiais à la seule personne qui pourrait m’absoudre de ma faute.

Un peu paniquée, je déballai tout. Mon obsession pour le sexe, ma vie de débauche avec mon frère, mes pensées impures presque vingt-quatre heures sur vingt-quatre, tout. M. le curé, celui-là même qui nous avait mariés m’écouta patiemment en finissant par me dire qu’avec la foi, tout se réglerait pour le mieux.

Il ne me donnait pas de pénitence, me disant que j’étais déjà assez éprouvée pour le moment, mais que si je retrouvais le droit chemin, mon âme guérirait avec le temps.

Puis maman s’adressa à papa :

Émile, peut-être veux-tu informer Sandrine de ton parcours de vie avant de me connaître ?

Il n’y a pas grand-chose à dire. Devenu orphelin très jeune, j’ai été élevé chez les religieuses et très tôt, j’ai eu la vocation. Je voulais servir Dieu.

J’ai fait des études en théologie et je suis devenu prêtre à l’âge de 25 ans. Je suis arrivé ici à cet âge et j’y ai commencé mon service il y a 34 ans. Pendant mes 9 premières années ici, ma vie a été des plus pieuses. J’avais fait vu de chasteté et je vivais très bien avec cette décision.

Rien ne m’empêchait toutefois de poser le regard sur une jolie femme, mais toujours sans arrière-pensée. J’étais respecté par mes paroissiens et j’étais de bon conseil pour les âmes en perdition.

J’ai célébré beaucoup de mariages et baptisé un nombre considérable d’enfants issus de ces unions.

Mais… ma vie a basculé quand Marie a perdu son époux dans cet horrible accident, ce fatidique jour d’octobre.

Les événements qui suivirent, ce regrettable décès, changèrent ma vie à tout jamais.

Marie vint se confesser durant la semaine suivant la perte de son mari, espérant trouver la paix. Elle m’avoua se savoir coupable. Elle me raconta alors les plus choses incroyables qu’il m’ait été donné d’entendre.

Mon esprit s’embrouilla. Je ne savais plus quoi penser ni quoi dire. J’étais réduit au silence. En un mot, j’étais profondément troublé. Les choses qu’elle m’avait dites ne quittaient pas mon esprit et une impulsion étrange qui m’était jusqu’alors inconnue me força à demander encore plus de détails.

Et elle, en toute innocence, me raconta tout, même ce qui se produisit avec son frère le jour de son mariage. J’étais en sueur et ma queue était tellement bandée que j’en avais mal.

Quand elle eut terminé sa confession, je lui bredouillai quelque chose ayant rapport avec la foi et le droit chemin et elle quitta satisfaite, il me semble. Je n’avais plus connaissance de ce que je disais ou de ce qui se passait.

J’étais abasourdi. Ma queue me faisait mal et je la sortis entre deux boutons ma soutane, malgré le fait qu’un autre paroissien entrait dans le confessionnal laissé vacant par Marie.

J’empoignai ce morceau de chair de bonne taille. Je m’étais déjà masturbé étant plus jeune comme tous les adolescents, mais depuis que j’étais prêtre, jamais ça n’était arrivé et je n’en avais jamais ressenti le besoin de toute façon.

Comme hypnotisé, je regardai mon énorme queue bien veineuse et pratiquai quelques mouvements avec ma main de haut en bas, découvrant mon gland démesuré et reluisant et il me semble, prêt à éclater. J’étais à bout de souffle, j’avais la bouche sèche et j’avais la tête qui tournait.

Paniqué, je rangeai mon manche et repris contenance avant d’ouvrir le guichet pour entendre une autre confession que je n’écoutai pas… j’avais la tête ailleurs, le regard dans le vide.

La nuit venue, je ne trouvai pas le sommeil. Je tournai et me retournai dans mon lit, la queue et les couilles prêtes à éclater. Je refusai toutefois de les toucher, redoutant quelque chose que je n’arriverais peut-être pas à contrôler.

La nuit suivante, je ne dormis que très peu et je vins bien près de me branler franchement pour faire sortir la pression. Mais je me rappelai mon vu de chasteté. Je priai pour que tout ça cesse.

Le lendemain, jour des funérailles, je me rendis au salon funéraire rencontrer Marie, sa famille et la famille de Pierre, avant que les amis et les connaissances n’arrivent pour offrir leurs sympathies.

Dès que je la vis dans sa robe noire lui arrivant au-dessus du genou, ses gros nichons sobrement moulés, surmontant sa taille fine et son superbe visage encadré par ses cheveux blonds tombant sur ses épaules, mon estomac se serra, quelque chose se détraqua dans ma tête et je me dis : putain, la belle salope ! Une seule image me vint en tête : cette belle chienne à quatre pattes le cul bien haut et moi derrière elle, la tenant par les hanches, la fourrant à la faire hurler…

Suite bientôt…

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