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Je me fais prendre par un chien dans une cabane – Chapitre 1

Je me fais prendre par un chien dans une cabane - Chapitre 1



JE ME FAIS PRENDRE PAR UN CHIEN DANS UNE CABANE

Je m’appelle Lise et j’ai un peu plus de cinquante ans, petite brune assez fine. Je suis mariée depuis plus de vingt cinq années à Jean. Je suis assez portée sur le sexe sous toutes ses formes et mon chéri sen est très vite rendu compte.

Notre mariage sest fait à la campagne dans une superbe ferme, pour remercier le propriétaire davoir accepté, je me suis faite sauter dans la grange par le fermier durant le bal pendant que mon homme dansait avec la maîtresse des lieux.

Il me laisse toute liberté, je lui raconte presque toutes mes aventures extra conjugales, bien souvent, je fais en sorte quand mes amants acceptent quil participe à mes parties de jambes en lair.

Je suis assez attirante, ne laissant pas indifférents les hommes qui eux me trouvent assez jolie, certains même me trouvent un peu salope disent-ils entre eux, et franchement je pense quils nont pas tort

Cet après-midi, ne travaillant pas, jai décidé daller faire les magasins dans le centre ville pour me trouver des fringues et éventuellement draguer.

Je suis vêtue dune petite jupe rouge assez légère et surtout très courte qui se soulève au moindre souffle de vent, ce qui fait à nen pas douter retourner les hommes qui me croisent.

Ma poitrine enfermée dans un petit haut soulève le décolleté assez ample, quand je me penche un peu on a une vue sur mon soutien-gorge et sur mon ventre. Absorbée par une vitrine de sous-vêtements vers laquelle je suis légèrement penchée pour vérifier le prix dun ensemble qui me plaît bien.

Je suis brusquement surprise de sentir quelque chose dhumide qui se colle sur le fond de mon slip en se promenant sur mes fesses, je pousse un cri et me retourne vivement.

En me retournant je constate qu’il s’agit d’un chien de bonne taille genre berger allemand, que l’odeur de mon sexe a attiré. Je fais peur à lintrus pour le faire partir, mais fortement attiré par lodeur de femelle en chaleur qui se dégage de ma minette il nentend pas abandonner sa proie et continue de me suivre, à la moindre occasion il essaie de coller sa truffe sous ma courte jupe pour me sentir et même me lécher. Enervée par le comportement de lanimal, que certaines personnes ont remarqué en esquissant un sourire qui en dit long sur ce quils pensent de moi, je décide donc de rentrer chez moi.

Sur le parcours qui mène à la maison je repère une cabane en planche qui sert de remise aux ouvriers, je pousse la porte qui nest pas fermée à clef pour me soustraire à la vue de lanimal qui je lespère me laissera tranquille et suivra son chemin.

Peine perdue, le chien continue daboyer à l’extérieur, sans doute sent-il toujours cette odeur qui le rend aussi agressif ?

Excitée de savoir que même un chien errant veut me sauter et pour me calmer, je mets ma main dans ma culotte légèrement humide et jentreprends de me caresser mon abricot qui jute abondamment.

Je touche mon bourgeon et passe un doigt dans ma fente, les yeux mi-clos, les cuisses bien ouvertes, je mabandonne au bien-être.

Dans mon inconscience je n’ai pas entendu la porte du cabanon s’ouvrir. Par contre j’ai senti le souffle chaud et la langue râpeuse du chien qui me lèche les fesses. La sensation est nouvelle et pas désagréable. A labri des regards et désireuse de voir ce qui va suivre, je laisse la bête me lécher lentrecuisse et même mon petit trou. Le chien récupère de sa langue la mouille qui coule de mon vagin. Je ne sais pourquoi mais tout en continuant de frotter ma fente tandis que la langue électrise mon petit cul, je me suis positionnée à quatre pattes sur le sol, cambrant bien mes fesses et en relevant la jupette sur mon dos. Je sens le souffle de l’animal dans mon dos.

D’un coup le chien a sauté sur mes reins entourant mes hanches de ses pattes. Lanimal a bien compris que je nétais pas contre, il donne de violents coups de reins dans le vide en tentant de me pénétrer. Je suis très excitée en pensant à ce qui va se passer, je sens des giclées de liquide chaud s’écraser contre mes fesses et couler le long de mes cuisses jusque sur ma chatte et même mon anus. Trop impatiente de connaître ce plaisir inconnu, je saisis le sexe du chien avec ma main droite pour le diriger vers ma vulve en ébullition. Le berger allemand grogne un peu mais se laisse faire.

La bite est énorme, lanimal excité depuis un bon moment a déjà formé sont knot. Quand il s’est enfoncé tout au fond et d’un seul coup la boule est venue se stopper à lentrée de ma minette sans pouvoir me pénétrer entièrement. Le chien est énervé, il veut aller plus en moi, Je sens qu’il m’envoie des giclées de liquide chaud dans le sexe. Sa grosse queue me fait transpirer et me donne envie de lavoir bien au fond de mon ventre.

Je cambre bien mon cul, baisse mes épaules vers le sol pour que le chien puisse aller plus loin en moi. Après quelques minutes, il s’était cramponné à moi avec ses pattes avant, il a réussi non sans mal à menfiler entièrement, il est resté collé un bon moment, je sentais le foutre canin couler au fond de ma chatte. Appréciant la chaleur de ce liquide dans mes entrailles, que cétait bon de se sentir pénétrée par une telle tige qui jutait en permanence par de petits jets assez puissants.

Au bout dune vingtaine de minutes, le chien s’est décollé et, après s’être léché la queue, il est venu me lécher la minette et le cul doù coulait un mélange de cyprine et de foutre. La porte s’est subitement ouverte à cet instant sur un homme de type maghrébin, très certainement attiré par le bruit de nos ébats. Stoppant net sur le seuil, il a laissé échapper le chien, le nouveau venu nétait autre quun ouvrier. Il a été surpris mais a très vite compris ce qui se passait en nous voyant, je me suis relevée rapidement en me rajustant, jai à peine regardé le mec qui prononçait des mots incompréhensibles.

Au passage le type me passa la main aux fesses en faisant pénétrer un de ses doigts dans mon intimité débordante de jus.

Quelle salope me dit-il dans un mauvais français, il tenta de me retenir par le bras, mais en me débattant je me suis enfuie en courant.

Sur le chemin du retour, le jus canin sécoulait sur mes cuisses en les lubrifiants.

Dix minutes de marche séparaient la cabane de mon logis. Je n’avais pas remis mon string, et en marchant je sentais le vent refroidir mes cuisses maculées du sperme de mon amant. Il était environ dix sept heures trente quand je suis arrivée. Mon mari était là. Comme à son habitude depuis tant d’années de mariage il m’attira à lui pour m’embrasser, et ce faisant mit sa main entre mes cuisses, il me regarda lair interrogateur, je lui ai raconté ce qui venait de marriver. Jappréhendais sa réaction.

Il s’est positionné derrière moi en me faisant courber et sans préambule il ma baisée, faisant jaillir de mon intimité des reliquats de sperme. Tout en me sautant avec vigueur, très excité, il m’a demandée de lui décrire ma saillie dans les moindres détails et ce que j’avais ressenti quand la pine du chien sétait insérée dans mon ventre.

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