Salut c’est votre folle de lycra.
Dans les chapitres précédents je vous racontais comment, alors que j’étais en période d’essai, je m’étais fait draguer par mon patron, puis draguer par ma collègue. Claude mon patron était en train d’aménager l’appartement qu’il y avait au-dessus du magasin, il était en train d’en faire notre petit nid d’amour. Au début j’étais totalement contre mais à force je finissais par céder à toutes ses exigences. Marie ma collègue avait découvert le pot-aux-roses et elle exigeait que je l’honnore quand elle le désirait en échange de son silence. Dans l’appartement claude était en train de me monter une garde-robe on ne peut plus féminine limite salope.
Nous étions samedi soir nous venions de fermer le magasin avec Marie et surtout de prendre du plaisir tous les deux nous allions nous retrouver lundi pour rattaquer une semaine. Maintenant j’avais dans la tête qu’il fallait qu’elle me voit une fois me faire prendre par Claude si je voulais un jour la pénétrer et lui déposer ma liqueur dans ses entrailles. Donc en fait il fallait que je m’arrange à ce que mon patron me prenne dans les bureaux en bas car il y avait peu de chances à ce que je me fasse surprendre dans l’appartement. Je savais maintenant qu’il arrivait à Marie d’arriver beaucoup plus tôt le matin. Le problème c’est que c’est Claude qui dirigeait notre relation et qu’il faisait ce qu’il voulait de moi.
Le lundi comme tous les jours je suis arrivé plus tôt et Claude m’attendait; en le regardant j’ai eu l’impression qu’il lui avait été dur de se passer de moi tout le weekend. En arrivant la première chose qu’il est venue faire c’est vérifier ce que j’avais comme tenue sous mes vêtements. Je n’ai pas été surpris quand je me suis mis à bander dans la seconde qui a suivi sa main arrivant dans mon pantalon. Maintenant il me la tenaît et me masturbait tout en douceur mon corps ondulait de désir sous ses caresses. Compte tenu du fait que j’arrivais toujours un quart d’heure 20 minutes avant l’horaire normal je me retrouvais à me faire tripoter par mon patron pendant plus d’une heure tous les matins maintenant.
Voilà 10 minutes que j’étais arrivé ce lundi matin, il avait déjà les deux mains dans mon pantalon l’une devant et l’autre derrière en train de se faufiler entre mes deux globes fessiers. Il m’a ensuite emmené dans son bureau pour me faire asseoir dans son fauteuil à sa place. Là il est venu se mettre debout à côté de moi, en me laissant comprendre ce que je devais faire. Le message était parfaitement compréhensible il fallait que je libère son sexe de son pantalon pour le prendre en bouche. Je n’avais jamais fait ça de ma vie, mais je n’arrêtais pas dans les premières depuis qu’il s’occupait de moi. Voilà comment je me suis mis à baisser sa fermeture éclair, puis ma main s’est engouffrée dans son pantalon pour allez sortir son sexe de son slip. Sans grande surprise son sexe était au garde-à-vous et n’attendait que mon intervention pour être libéré.
Après réflexion je trouvais qu’il n’était pas commode de faire passer son sexe par cette ouverture, c’est ainsi que j’ai complètement ouvert son pantalon pour le laisser descendre tout seul. Comme la semaine dernière son sexe était devant moi à quelques centimètres et je m’approchais de lui avec une gourmandise inavouée. Pour commencer par embrasser son sexe puis j’y ai déposé ma langue par endroit puis ensuite je ne l’ai pris en bouche. J’ai trouvé que son sexe sentait fort et là il m’a avoué qu’il ne l’avait pas lavé depuis vendredi. Il m’a expliqué qu’il aimerait que dorénavant ce soit moi qui me charge de sa toilette intime quotidiennement voire plusieurs fois par jour.
Au début je n’ai laissé qu’une partie de son sexe rentrer dans ma bouche puis il a saisi ma tête pour que tout son sexe rentre en moi. Maintenant c’est lui qui donnait le rythme du va-et-vient dans ma bouche est j’essayais tant bien que mal de promener ma langue sur son sexe quand je pouvais. Dans son comportement il était très doux avec moi et il me parlait de façon très douce mais surtout au féminin. Maintenant j’étais résigné, j’acceptais tout de lui et surtout je pensais à ma période d’essai qui prenait bientôt fin. J’étais en train de me dire que je pense qu’il ne pourrait plus se passer de moi et ainsi il me garderai en CDI. J’étais en train de devenir accro à son sexe mais je pense que lui devenait accro à mes prestations. Voilà ce à quoi je pensais pendant que j’étais en train de le sucer.
Vu que je l’ai sucer longtemps, je peux même vous avouer que j’ai aussi pensé à Marie en me demandant si elle n’était pas quelque part en train de nous espionner. Quand son sexe était complètement enfoncé dans ma bouche j’avais ses poils pubiens qui me chatouillaient le nez, il y avait même ses boules qui venaient me taper le menton. C’était plus fort que moi maintenant je m’accrochais à ses cuisses avec mes coudes posés sur l’accoudoir du fauteuil. Tout comme moi Claude était un bon mâle, un vrai mâle mais lui c’était un mal dominant. En deux mois et demi mon patron avait pris un ascendant psychologique sur moi cet ascendant était je pense irréversible.
Maintenant je suçais le sexe de mon patron avec passion avec gourmandise et application. Vue sa respiration qui était en train de s’approfondir je pense que j’étais efficace. En fait je pense que je commençais à bien connaître le corps de mon patron et surtout comment lui donner du plaisir avec ma bouche. Puis il a arrêté de respirer quelques instants et quelques secondes après je sentais de grosses giclées envahir ma bouche. C’était ma première turlutte de la semaine, j’ai continué à le sucer plusieurs minutes histoire de laisser retomber la pression et surtout de lui nettoyer le gland. Ça y est l’opération était finie Claude était en train de ranger son 3 pièces, je me suis relevé pour partir vaquer à mes occupations.
J’ai eu le droit à un roulage de pelle en règle avant de partir ainsi que des attouchements toujours très intimes. Je ne sais pas comment expliquer ça mais je prenais de plus en plus de plaisir à ces petits gestes déplacés. Je suis parti m’occuper de la facturation mais surtout du chiffre du samedi pour essayer de tout mettre à plat et préparer les dépôt de chèques ainsi que d’espèces. Vers 9h marie est arrivée comme d’habitude nous nous fîmes la bise et elle m’a dit à l’oreille que j’avais une haleine au sperme… Rien qu’à mon haleine elle savait que j’avais déjà sucé mon patron, elle est partie dans son bureau fouiller dans son sac à main puis est revenue avec un bonbon à la menthe qu’elle m’a tendu avec un sourire moqueur. J’ai apprécié cette complicité.
Nous pouvions nous voir quand nous étions assis dans nos bureaux et je peux vous garantir que entre Marie et moi les regards étaient complices. En général le lundi matin il n’y avait pas grand monde c’était surtout des livraisons. Vers 11h Marie et moi sommes partis monter un auvent d’exposition dans le fond du magasin où il y en avait déjà plusieurs. Pendant le montage Marie n’arrêtait pas de venir m’embrasser, de venir me caresser le sexe et les fesses; nous étions excités comme des puces. Une fois le auvent monté avec ses chambres il y avait de quoi se dissimuler pour se faire plein de choses coquines. Claude s’était absenté un peu plus d’une heure pour emmener à la révision un véhicule aménagé. Vu que nous avions monté le auvent rapidement Marie en a profité pour me coincer dans une chambre du auvent pour se mettre à genoux devant moi et me faire une petite faveur.
Depuis que j’étais dans la société je rêvais de me faire ma collègue et voilà maintenant que c’était elle qui se mettait à genoux devant moi et qui me libérait mon sexe qui ne demandait que ça. J’étais conscient que il y avait quand même un risque qu’un clients rentre dans le magasin et du coup que la prestation de ma collègue ne soit pas bien longue. Les tenues vestimentaires de ma collègue la rendaint toujours très désirable et je peux vous garantir que j’étais très heureux de l’avoir devant moi en train de me faire du bien. L’efficacité de la prestation de Marie a été telle que je n’ai pas été bien long à me vider dans sa bouche. Marie jonglait avec sa langue autour de mon sexe d’une façon formidable on sentait quelle avait de l’expérience… 12 minutes ont suffit à Marie pour me débarrasser de mon stock de liqueur.
Ma collègue à veillé à ranger mon sexe au chaud après avoir effacé toutes traces de son passage sur mon sexe. Elle s’est levée et est venue m’embrasser en ayant auparavant avalé tout ce qu’elle avait dans la bouche. J’ai beaucoup apprécié la façon dont elle m’embrassait car j’ai eu la sensation qu’il y avait des sentiments lors de ce contact. Lors de ce baiser j’ai retrouvé le goût de mon sperme dans sa bouche mais j’ai senti que c’est ce qu’elle voulait, que nous partagions ma liqueur. Au moment de partir Marie m’a dit qu’elle partait chercher des bonbons à la menthe mais surtout qu’elle aimerait que nous sortions ensemble. En partant elle a constaté que nous avions fini juste dans les temps car un collègue de l’atelier qui travaillait en bas était en train de nous chercher. Pendant que Marie partait au bureau j’ai renseigné mon collègue.
Comme d’habitude pendant la pause tout les collègues sont sortis du magasin ou plutôt de la société et moi je suis monté à l’appartement pour me reposer. J’avais cette clé dans ma poche, rien que d’ouvrir la porte de l’appartement j’étais tout excité; je me suis empressé de rentrer et de vite refermer derrière moi le plus discrètement possible. Là c’est l’excitation qui a pris le dessus je suis parti dans le placard où se trouvaient tous les vêtements. J’ai choisi comment j’allais m’habiller pour faire la sieste, j’ai pris ce coup-ci un collant ouvert avec un body manche longue en lycra avec une superbe robe très douce en viscose. J’ai emmené tout ça dans la chambre où je me suis déshabillé pour me métamorphoser. C’est en femme que je me suis endormie vers 12h30 pour un sommeil profond 90 minutes durant.
Vers 14h Claude est arrivé discrètement; il s’est déshabillé et c’est en caleçon cachant une grosse érection qu’il est venu ce coucher à mes côtés. C’est en douceur qu’il m’a réveillé et surtout en sentant son sexe raide collé dans mon bas du dos, c’était vraiment très agréable de se sentir à ce point désiré par un homme. Ma main libre est venue caresser le sexe de mon patron pendant que lui me caressait la poitrine et me mordillait le cou. Du coup mon sexe se retrouvait au garde-à-vous et ne demandait que plus d’attention de la part de son maître. La main de Claude a constaté l’état de forme de mon sexe et il s’est mis me masturber difficilement à cause des étoffes mais avec une grande maîtrise. Je me suis un peu avancé de telle façon à libérer son sexe et qu’ainsi nous puissions nous masturber mutuellement.
Puis Claude m’a fait redresser sur le lit pour me mettre à quatre pattes, là il a soulevé ma robe et écarté mon body. J’étais en train de me dire que j’étais en position pour passer à la casserole, surtout quand je l’ai senti ensuite déposé de la salive sur mon petit trou. Alors que j’étais sur les coudes il m’a fait complètement m’allonger mais en restant sur les genoux pour garder les fesses en l’air. J’ai senti son sexe se positionner à l’entrée de mon boyau, ses mains se sont agrippées à mes hanches puis tout doucement il s’est introduit en moi. Je ne sais pas comment il a fait pour s’introduire sans douleur toujours est-il que j’ai tout de suite pris du plaisir à cette intromission. Une fois bien introduit en moi j’ai senti son sexe grossir, du coup je sentais beaucoup mieux son sexe coulisser en moi. À sentir ainsi son sexe je prenais encore plus de plaisir, je sentais le moindre mouvement de mon partenaire.
Pour une première de ce côté j’ai pris mon pied très très rapidement Claude s’en est rendu compte mais il a continué à me limer un peu. Il a bien fait d’insister un peu car lui aussi est parti et m’a balancé la purée au plus profond de mon intimité. Cela dit je venais de perdre mon pucelage et surtout je venais de me faire féconder par mon patron. Il n’y a pas à dire je venais de changer de statut aux yeux de ce dernier. Les derniers coups que Claude m’a envoyé étaient hyper profonds. Il est resté encore un peu en moi avant de se déboîter, comme par automatisme je me suis redressé et surtout me suis retourné pour lui nettoyer son sexe j’étais vraiment devenue sa soumise. Il m’a collé un gros tampon dans mon petit trou, il a repositionné l’arrière de mon body puis m’a fait basculer sur le lit pour venir se coucher à mes côtés. Nous prîmes un petit quart d’heure pour nous remettre de nos émotions.
J’espère que ce chapitre vous a plu si c’est le cas il y aura une suite
Bisous à vous