Allais-je enfin atteindre le Graal ? Baiser une meuf…
Que pouvait-il encore me tomber sur la gueule au dernier moment, pour m’empêcher d’accomplir cet acte initiatique fondamental pour la suite de ma vie d’homme ?!
En tout cas, j’avais tous les ingrédients devant moi pour réussir… les deux chiennasses étant chaudes comme la braise, sans doute en train de mouiller l’une et l’autre comme les sources du Nil ! J’avais bouclé tous les échappatoires au cas où, sur un coup de folie, ça leur prenne l’envie de se passer de mes attributs de mâle… mais de toute façon, pour l’instant, le risque semblait faible, lancées qu’elles étaient dans la découverte mutuelle de leurs corps !
Celle qui m’impressionnait le plus était ma grande sur… sûrement parce que je la découvrais sous un nouveau visage que je n’aurais jamais osé imaginé avant aujourd’hui. Elle, la petite fille modèle, toujours première en classe, vantée par l’ensemble des professeurs de Sainte-Ursule et, bien sûr, comparée à son cancre de petit frère… avec pour elle tous les qualificatifs dithyrambiques et toutes les éloges, pour moi des jugements beaucoup plus nuancés du genre "fumiste", "branleur", "déviant" !
Non, vraiment, je n’arrivais pas à le croire ! La petite fille modèle était en fin de compte une assoiffée de sexe, une bouffeuse de bites mais aussi a priori de nichons et de petites chatounes…
Pour peu, j’allais peut-être bientôt découvrir qu’elle se faisait prendre par REX DEUS, le gros chien du voisin ?! En l’occurrence, je n’avait jamais compris pourquoi ils lui avaient donné un nom composé aussi débile, au clébard… sans doute encore du latin !? Même si j’avais trouvé un anagramme amusant à faire avec, ce nom devait être une fois de plus un acte de snobisme.
Pour revenir aux deux gonzesses… à peine Léa commença à caresser le bout des seins de la frangine que cette dernière se jeta sur la belle métisse et lui baisa la bouche avec fougue. Elles étaient maintenant parties dans un balai de langues et de lèvres, à celle qui allait prendre l’ascendant sur l’autre avec sa bouche. Ça geignait… ça couinait… ça haletait !
Ma sur avait également enlacé la sublime brune, ses deux mains jouant avec le short, faisant remonter le morceau d’étoffe dans la raie des fesses de sa partenaire, le faisant coulisser et écartant les deux globes à la peau mate pour atteindre et exciter les zones érogènes.
Léa, quant à elle, avait carrément glissé sa main droite par derrière dans l’entre-jambes de Julie et, tout en titillant l’illet légèrement plus foncé de cette dernière, elle l’incitait à venir se coller et frotter son mont de Venus sur ses propres cuisses.
Et moi, dans tout ça ?! Même si Léa continuait à me branler méthodiquement avec son autre main, j’avais légèrement l’impression d’être mis de côté et d’avoir le temps de compter les gouttes d’eau sur les carreaux de la douche… Encore une chance que Julie avait commencé de se laver avant notre arrivée et mouillé le verre dépoli car, sinon, je me serais clairement emmerdé !
Il fallait donc que je reprenne la main, que je montre aux deux cocottes qui était l’homme ici et qui devait donc diriger les manuvres. C’est vrai, quoi !? J’étais pleinement pour l’égalité des sexes mais il y avait quand même une hiérarchie à respecter et des choses qu’on ne pouvait pas laisser faire aux femmes… l’homme étant malgré tout un peu supérieur !
C’était d’ailleurs un des très rares points sur lequel j’étais parfaitement d’accord avec les prêches du père SVERPRE, le curé de la paroisse.
"Bon, les filles… ce n’est pas tout ça, mais laquelle de vous deux commence par se mettre à quatre pattes ?! Je n’ai pas toute l’après-midi, moi !
— T’es vraiment trop con, Florent !… me répondit Julie, avant de reprendre son occupation, s’acharnant maintenant sur les tétons de la métisse.
Et quels tétons ! Quels seins ! La perfection avec une belle peau bronzée… Peut-être un jour le buste de notre Marianne nationale, quand nos politiques auront réalisé que la société française est cosmopolite et qu’il y a donc aussi des gens de couleur et de différentes origines qui la composent à part entière !
Enfin, quoi… des nichons… et ma sur était en train de les bouffer après avoir ôté le joli petit bustier jaune qui les protégeait.
Bon ! Il fallait que j’agisse ! Que je force un peu le destin… car, sinon, je risquais bien de continuer à me pignoler encore pendant longtemps devant des films de cul… et de finir ma vie vieux garçon !
Je passais donc derrière ma frangine, qui paraissait celle des deux avec la meilleur position, les fesses en arrière et les jambes légèrement écartées… C’était décidé, j’allais la prendre en levrette.
Je crachai donc le mollard que je préparais depuis tout à l’heure dans ma bouche, sur le haut des fesses de Julie, comme j’avais pu le voir à de nombreuses reprises dans des vidéos, et m’apprêtais à lui saisir les hanches quand… une volée de claques me tarauda le coin de la gueule !
— Mais quel porc ! Il me glaviotte sur le cul…
— …
Je restai sans voix… je ne comprenais pas !? J’avais toujours vu ça sans que l’actrice, une seule fois, ne retourne une paire de baffes à son partenaire… et là !?!
Incompréhensible ?! Sans doute ma sur n’était pas normale !?! Ça ne pouvait être que ça… Ou sinon, c’est que j’étais maudit et qu’il était écrit que je resterais puceau toute ma vie !!!
— Julie, ce n’est pas grave ; il ne voulais pas faire mal… mais tu sais, dans les films qu’il doit sûrement regarder, ton frère, l’image de la femme n’est jamais vraiment très valorisante. Nous sommes souvent considérées comme des objets sexuels pour assouvir les fantasmes des mâles dominants… et non comme des êtres humains avec nos propres désirs de plaisir, de jouissance ! Sans non plus l’idée que nous sommes maitresses de nos corps… et que l’on ne fait pas n’importe quoi avec ! Allez, viens ! Nous allons prendre une douche les trois et lui montrer que le sexe d’une femme, ça se vénère, ça mérite toutes les attentions du monde ! Que ce n’est pas qu’un simple morceau de viande qu’on fourre…
La jeune métisse fit glisser son short jusqu’à ses pieds et nous prit l’un et l’autre par la main, pour nous amener jusque dans la spacieuse douche à l’italienne. Je suivis docilement, n’osant surtout pas rajouter quoi que ce soit… car je sentais que le fil était fragile et que c’était ma vie d’homme qui se jouait là.
Une fois dans l’enceinte de verre, Léa nous rapprocha d’elle et, orientant nos têtes, fit se joindre nos trois bouches pour un baisé comme jamais je n’avais pu ressentir quelque-chose d’aussi sensuel, d’aussi excitant ! Un moment d’éternité…