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Je ne peux plus – Chapitre 1

Je ne peux plus - Chapitre 1



Espèce de garce, putain…

Quelle drôle didée denguirlander la belle fille couchée à ses cotés sur la plage. En plus il sen va, la laisse seule abandonnée. Si je pouvais encore.. !

Les souvenirs reviennent. Je la vois couchée près de moi après lamour, pleine de tendresse, ses lèvres encore offertes. Jai envie de recommencer, de la faire jouir. Un profond baiser, elle se donne, elle a encore envie. Avant que ma main soit encore sur elle, voilà ma chérie qui prend ma queue avec tendresse. Je bande encore de la fois davant. Elle sait que je ne peux pas rebander immédiatement. Alors elle se penche sur mon ventre, prend la pine dans sa bouche, me lèche deux ou trois fois. Cest agréable, elle se tourne me donne sa chatte. Je veux la masturber un peu. Elle menjambe pour me donner son abricot sur la bouche. Mes lèvres commencent à la brouter. Elle sent bon la cyprine dune fille en chaleur. Je lèche toute se fente. Je la sens se donner entièrement à la caresse indécente.

Et lautre, pas loin qui laisse tomber une fille splendide. Qui sait sils baisaient… ?

Moi, je ne la baisais pas, cest elle qui la première ma demandé de la lui mettre profond. Je caressais ses jambes, montais vers son abricot. Je ne voulais que la masturber, je ne voulais que son plaisir. Elle ma donné son plaisir et le mien. Il lui tardait tellement que nous sommes sortis de la salle de cinéma. Dans le taxi déjà elle nen pouvait plus, il fallait que je lembrasse sans cesse : elle cherchait mon bazar, elle voulait caresser ma queue avant. Elle était belle toute nue avec ses seins qui pointaient vers linfini. Je bandais plus que jamais. Nous étions encore debout, elle était contre moi, se dandinait contre ma bite. Elle a attrapé mes fesses, sest levée sur la pointe des pieds. Je nai eu la peine que dentrer dans son secret. Je me souviens avoir glissé en elle facilement. Quand elle a jouit, je la sentais autour de moi. Là, je lui ai donné mon sperme.

Et si elle ne baisait pas seulement avec lui ?

La première fois quelle a voulu baiser en trio, jétais surpris de sa demande. Jaurais dis oui de suite si je connaissais un type capable de la lui mettre devant moi. Elle connaissait justement quelquun. Je ne cherchais pas à en savoir plus. Lui était un de ses ex, un de ceux qui ne servent que dans les urgences. Nous étions chez elle, couchés déjà, elle entre deux hommes qui bandaient. Elle me touchait la queue, cherchait lautre pour le masturber. Jai senti son corps sur le mien puis son poids sest alourdi ; elle se faisait enculer. Les deux queues allaient et venaient dans son corps et elle gémissait de plaisir. Nous avons recommencé en changeant dorifices. Cette fois je larguais ma semence dans son cul plus serré.

Et si elle aimait aussi les filles ?

Pourquoi pas après tout jai connu une fille bi qui pour réellement jouir prenait une amie dans son lit. Je les ai vues une fois. Cétait beau à voir ces deux corps de filles, elles étaient presque trop serrées. Quelle souplesse dans leurs mouvements. Elles ne me voyaient plus, elles ne soccupaient que delles, que du corps de lautre. Ces baisers fous qui allaient de la bouche à la moule, sans cesse. Voir leurs plaisirs partagés, mieux quavec moi me donnait la trique. Je ne pouvais mempêcher de me toucher la queue et finir par me branler. Elles partageaient même ma semence dans leurs bouches gourmandes de mon sperme.

Et si elle naimait ni les bites, ni les cons ?

Je la voyais bien nue sur la plage, la nuit tombée. Les vaguelettes venir entre ses jambes sur sa groupe. Excitée par la mer, elle caresse doucement son corps. Ses mains des seins descendent doucement vers sa fente. Un seul doigt suffit pour la satisfaire, au moins au début. Elle monte les jambes, les talons contre les fesses. Ainsi disposée, elle caresse lentement le pubis puis la main entre dans sa cage. Les petites vagues viennent contre son abricot. Elle écarte les lèvres à deux mains, se laisse envahit par le plaisir. Tant pis si on lentend gémir, son plaisir seul compte. Les spasmes se perdent autour de son ventre. Elle jouit tant quelle doit baisser les jambes sur le sable encore chaud.

Seulement je ne peux plus, je suis trop âgé, je ne peux même plus me masturber…

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