Lundi 29 Juillet 2013
Aujourd’hui, c’est une visite des gorges du Verdon en voiture.
Au petit-déjeuner, Thomas n’est rassuré que quand Anna lui fait un discret clin d’il avec un sourire pour bien lui montrer qu’elle ne dira rien à sa mère. Les trois femmes adoptent une tenue similaire, une robe courte d’été. La seule différence, c’est que Valérie a tout de même mis un string dessous sans se douter que les deux autres n’ont rien mis du tout. Un joli string en dentelle de couleur assortie à sa robe.
Le midi, ils mangent à un restaurant un peu en dehors des sites trop touristiques.
De retour à la maison, cette fois c’est Valérie qui va la première prendre sa douche. Anna la suit et entre avec elle comme si c’était normal:
— Tiens, et si on prenait la douche ensemble? Ce serait mieux pour se frotter le dos.
— Euh, oui, pourquoi pas
Quand Anna enlève sa robe, Valérie découvre enfin qu’elle ne portait rien dessous:
— Dis donc, tu n’avais pas mis de culotte?
— Non, et si tu veux savoir, Lola non plus!
— Ah, carrément.
Valérie enlève enfin sa robe et son string et rejoint Anna qui vient d’ouvrir l’eau. Elle dirige le jet sur sa copine et l’arrose copieusement partout avant de se mouiller elle-même. Puis elle coupe l’eau et prend du gel pour se savonner partout. Pendant ce temps, Valérie en fait de même. Puis Anna lui tourne le dos et lui demande de le lui frotter. Valérie commence par les épaules en faisant des petits cercles. Elle descend le long de la colonne mais n’ose pas aller trop bas, s’arrêtant sur le haut des fesses.
Anna entame la conversation:
— Bernard m’a raconté que vous vous êtes croisés dans le couloir la nuit dernière.
— Euh, oui. J’étais aux toilettes et il a pris ma place ensuite.
— Mais il était à poil et il m’a dit qu’il s’était rendu compte trop tard que tu étais là.
— C’est bon, il n’y a pas de mal.
— Non, parce que quand il est sorti de la chambre, j’ai vu qu’il était pas tout débandé.
— C’est vrai, mais c’est pas grave.
Anna décide de changer les rôles et fait tourner Valérie pour se mettre derrière elle. Elle commence à lui frictionner les épaules et le cou, puis elle descend le long du dos tout en reprenant la conversation:
— Remarque, il y aurait de quoi te troubler, surtout avec ton manque dont on a parlé.
— Oh, je fais avec
— Et tu fais quoi, en fait, tu te branles de temps en temps?
— Euh, en fait, non, ça faisait longtemps que je l’avais pas fait.
— Comment ça ça faisait longtemps? Tu l’as fait cette nuit?
— Eh bien oui, et aussi la nuit d’avant. j’ai fini par me branler pour pouvoir dormir.
— C’est nous qui te faisons cet effet?
— Ben, faut dire que vous n’êtes pas discrets.
— Tu pensais à la bite de Bernard? Tu te voyais à ma place?
— Oh, Anna!
— Allez, fais pas la prude, je suis pas jalouse!
— Bon, j’avoue que je me suis fait plaisir en pensant à ça
— Ah, tu vois!
Pendant qu’elle détourne l’attention en parlant, Anna continue de descendre et devant l’absence de réaction, elle commence à savonner activement les fesses de Valérie. Par contre, quand elle commence à se faufiler entre ses jambes pour atteindre sa fente, elle sent comme une crispation. Elle n’insiste pas et remonte ses mains sur les côtés du corps jusqu’à venir lui caresser les côtés des seins. Puis voyant que c’est assez pour cette fois, elle stoppe son action pour ouvrir en grand le jet en vue du rinçage. Tout ce qui se trouve dans la douche est copieusement arrosé. Dans le chahut, l’atmosphère redevient plus ludique et Valérie se retourne pour être bien rincée partout. Anna frotte ses fesses contre celles de son amie quand elles sont dos à dos.Puis en profite qu’elle se font face pour aventurer ses mains vers les tétons qui pointent de Valérie, qui se laisse faire un peu plus.
Valérie est la première à sortir se sécher suivie par son amie. Puis elle enfile un string, et cette fois elle ne refuse pas le string-ficelle rouge que lui propose Anna. Celle-ci met son jaune et toutes deux descendent se poser sur la terrasse.
La place étant libre, c’est Lola qui investit la salle de bains puis qui laisse la plateaux garçons. Quand ces derniers reviennent, la nouvelle surprise c’est que Bernard a réussi à persuader Thomas d’essayer son string le plus décent, celui qu’il portait samedi. Et pour rire, lui-même arbore un cache-sexe minuscule qui contient à peine son service trois pièces et ne couvre même pas le plumeau de poils sur son pubis.
Après un moment, Anna dit:
-Oh, et puis zut, vous m’avez déjà tous vue à poil!
Et elle vire son string, se remettant complètement à poil sur le transat. Sans attendre, Lola l’imite en disant que c’est pareil pour elle. Personne n’osant protester, Anna se met à l’eau et barbote un moment avant de ressortir de l’autre côté de la piscine et de s’assoir sur la margelle, les pieds dans l’eau.
Elle réalise alors que les voisins qu’elle n’avait pas encore vus ni entendu sont là et que le mari est à la fenêtre, avec une vue imprenable sur elle. Ça ne la dérange pas et elle lui fait un petit coucou discret et mutin, les cuisses écartés juste assez pour exhiber sa fente sans en avoir l’air. L’homme disparait et peu de temps après c’est la femme qui pointe sa tête. Anna la salue aussi et écarte un peu plus son compas avant qu’elle ne rentre et ferme la fenêtre. A voir
Pendant ce temps, Bernard a aussi enlevé le string dans lequel, même sans franchement bander, il commençait à être à l’étroit. Tous les deux finissent par décider Valérie à franchir le pas. Elle vire enfin le dernier morceau de tissu. Comme il est le seul et le dernier avec un maillot, Thomas capitule et ôte le bout de tissu qui masquait sa virilité. Il est le premier étonné de ne pas bander dans cette situation, mais c’est certainement dû au stress qu’il a ressenti en pensant à se retrouver en érection devant tout le monde. Et pourtant, il n’arrive pas à garder son regard éloigné du ticket de métro de sa mère qu’il découvre, ni de la fente lisse des deux autres femmes.
Le soir venu Valérie avoue que le naturisme, passé les premiers instants déstabilisants, est bien agréable surtout vu la chaleur. Donc, tous restent à poil pour dîner. La seule alerte, c’est lorsqu’ils se retrouvent tous dans la même configuration que la veille pour décider que le lendemain ils resteraient ici pour s’habituer à ce nouveau mode de vie au lieu de faire une excursion. Calé à nouveau entre Anna et Lola, et avec cette fois en plus la chatte de sa mère en face de lui, Thomas essaie de contenir entre ses cuisses une érection qui finit par l’emporter. Sa queue jaillit comme un ressort et son gland qui s’était décalotté vient taper contre son ventre, pointant librement bien haut. Dans un grand silence, il ne bouge plus, n’osant même pas le cacher de ses mains. Sa mère est aussi dépassée par la situation et ne sait pas quoi dire.
Heureusement, c’est Anna qui se dévoue pour dédramatiser l’incident:
— Allez, c’est normal, c’est la nature. Pas vrai Valérie?
— Euh oui, ne t’inquiète pas mon chéri, c’est normal, ça arrive. On va te laisser.
— Et en plus, tu devrais être contente: ton fils est normalement constitué!
Thomas finit par régir et met ses mains devant sa matraque dressée. C’est l’élément déclencheur pour aller se coucher. Tous le monde monte vers les chambres, le laissant avec son ardeur seul sur le canapé. Anna s’arrête en bas de l’escalier et dit qu’elle va d’abord boire un dernier verre d’eau fraiche et retourne vers la cuisine. Les autres continuent à monter et Valérie qui est derrière Lola lorgne sur la bite de Bernard qui est devant à côté de Lola. Dans cette diagonale elle voit la queue commencer à se dresser tranquillement mais sûrement, atteignant déjà l’horizontale. Le pas de Bernard pour monter l’escalier lui donne un balancement de droite à gauche qui n’a pas l’air de le perturber. Valérie se dit que Lola doit forcément s’en apercevoir, mais s’étonne que ça n’ait pas l’air de la perturber non plus.
Arrivés sur le palier, elle se dépêche de leur souhaiter une bonne nuit en s’efforçant de ne pas regarder dans la direction du centre de gravité du moment. Mais en se tournant elle a tout de même une dernière vue en coin du membre qui maintenant est déjà bien gonflé avec des veines apparentes, dressé plus haut que l’horizontale et ça n’a pas l’air d’être fini. Elle note aussi que Lola s’est tournée pour aller vers sa chambre et que donc elle est forcément face à son père. Mais elle n’attend pas la suite et entre dans sa chambre, la tête en feu et l’entre-jambes aussi.
Pendant que ceci se déroule au premier, Anna est retourne directement dans la cuisine pour aller au frigo, puis elle revient dans le salon vers Thomas. Cette fois, la lumière est encore éclairée mais celui-ci ne fait rien pour cacher son érection. Bien au contraire, il se cambre un peu pour la mettre bien en avant et continue à faire des va-et-viens avec sa main tout en regardant Anna directement dans les yeux.
Anna vient s’assoir comme la veille sur la table basse et soutient son regard:
— Mmm, je vois que le petit garçon grandit!
— Eh oui, j’ai bien retenu les leçons d’hier
— Donc, je peux te faire passer un contrôle des connaissances?
— Oui, si tu veux.
— Bon, pendant ce temps, continue à te branler doucement, fais durer le plaisir.
— OK!
— Première question: as-tu déjà baisé une femme?
— Euh
— Non, la vérité, sinon j’arrête le jeu.
— Alors non, jamais.
— Bien! Deuxième question: qui te fait le plus bander de nous trois en ce moment?
— Euh, mama mère
— Bien, je te crois, elle est vraiment bandante pour son âge, non?
— Oui, je l’avais jamais encore remarqué avant, mais avec tout ça
— D’où la troisième question: tu imaginais un jour la voir en string et même à poil?
— Ah non, je la connaissais pas comme ça.
— Moi non plus. Quatrième question: Tu oserais faire ça si c’était elle à ma place?
— Je crois pas.
— Cinquième question: et si je rendais ça possible, tu aimerais?
— Ah oui, mais ça m’étonnerait.
— On verra, il nous reste encore pas mal de jours. En attendant, continue.
Tout en parlant avec lui, Anna fait tout pour l’exciter de plus en plus: elle écarte bien les cuisses, elle se tripote les tétons qui se mettent a bien pointer sous ce traitement, puis elle commence à faire glisser un doigt sur son clito qu’elle montre un peu plus en se penchant en arrière. Thomas est comme un fou devant ce spectacle.
Anna arrête un peu son action et se penche en avant en lui disant:
— C’est un peu de ma faute si tu es dans cet état, il est donc normal que je t’aide.
Elle envoie alors sa main pour prendre la place de celle de Thomas sur cette colonne de chair qui les sépare. Elle met toute son expérience au service de ce jeune puceau en le branlant avec volupté. Elle le fait mettre debout devant elle pour continuer. Il a une vue plongeante sur cette femme désirable qui le branle d’une main, lui caresse les couilles de l’autre, le tout avec son gland à quelques centimètres de son nez. Il a la bonne surprise de la voir passer la langue sur son gland et sa tige, puis le prendre carrément en bouche tout en continuant ses va-et-viens. A ce régime, il ne met pas longtemps à sentir monter la sève et la prévient qu’il jouit.
Anna le regarde en clignant de l’il:
— Ça serait dommage de faire encore des tâches comme hier!
Et à sa grande surprise, elle ré-enfourne le gland dans sa bouche au moment où il ne retient plus rien. Il lâche plusieurs bonnes giclées qu’elle fait attention à bien avaler, ne laissant rien déborder. Quand il se calme, elle le suce encore un moment avant de le ressortir, humide mais propre.
Elle relève et le quitte sans un mot de plus pour remonter vers la chambre. Elle est excitée au maximum et a besoin d’un bonne partie de cul pour se calmer. Elle rentre dans la chambre pour y trouver Lola à genoux en train de sucer son père assis sur le lit. Ça ne la dérange pas, bien au contraire: à trois c’est encore mieux qu’à deux!
Bernard lui raconte l’histoire de la bandaison devant Valérie dans l’escalier et de la suite, quand Lola n’a pas voulu laisser perdre cette occasion de se faire plaisir. Surtout que les deux autres nuits, elle les a entendus baiser et qu’elle n’a eu que ses doigts et un gode vibrant pour se satisfaire.
Anna vient derrière sa fille qui a repris Bernard en bouche et lui passe d’abord la main, puis la langue dans le sillon. Puis Lola vient s’embrocher sur la queue de son père pendant que sa mère se met face à elle à califourchon sur la bouche de Bernard. Elles se servent de lui tout en se caressant mutuellement les tétons.
Après un moment, Bernard fait mettre Lola à quatre pattes et la prend en levrette pendant qu’elle broute le minou de sa mère. Puis il change de trou et lui rode l’anus en prévision de la suite. La suite, c’est Anna qui s’arrache avec un strapon et vient prendre le cul de sa fille pendant qu’elle chevauche Bernard. Après les deux jours d’excitation à distance, Lola ne tarde pas à ressentir un orgasme violent. Dans l’action, elle n’a pas retenu ses râles et maintenant elle a peur d’avoir été entendue.
Bernard n’ayant toujours pas éjaculé, elles inversent les rôles et c’est la fille qui encule la mère en sandwich. Enfin, Bernard leur lâche la purée lors d’un fellation finale à deux bouches et quatre mains.
Puis Lola jette un coup d’il dans le couloir. La voie est libre, elle trotte discrètement jusqu’à sa porte qu’elle ouvre en silence et va enfin dormir.
Pendant ce temps, du côté de Thomas comme de sa mère, les bruitages ont réveillé leurs sens et chacun de son côté se donne du plaisir en s’imaginant l’une à la place d’Anna, l’autre à celle de Bernard.
Vers l’apogée de la chevauchée, chacun d’eux a un doute quant à la provenance de la voix qui souligne sa jouissance. On aurait dit Lola, mais ce n’est pas possible. C’était forcément Anna, mais le son a été déformé
(A suivre)
