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Je suis timide, mais je me soigne – Chapitre 7

Je suis timide, mais je me soigne - Chapitre 7



Je me suis soigné, maintenant je suis guéri, je ne suis plus timide.

Je révise mes cours en regardant un film porno sur mon ordinateur, maman, en petite tenue, est dans le salon et regarde à la télé un film policier sans grande importance, c’est toujours la même histoire, les policiers gagnent toujours.

Mon téléphone portable sonne, c’est Valérie qui me demande si je fais quelque chose d’important, comme je lui réponds que je révise, elle me dit de venir tout de suite.

Je mets mes chaussures, je traverse le salon, maman me demande où je vais, je lui réponds que je vais chez Valérie de l’autre côté de la rue, elle comprend que sa copine a envie d’avoir une grosse bite dans sa chatte.

Je traverse la rue et arrive devant la porte de Valérie, je ne sonne pas, je rentre, j’ai l’habitude et même si elle est à poil cela ne la dérange pas, moi non plus d’ailleurs.

Elle est avec une amie, Sonia, que Valérie me présente en me disant :

— J’ai montré la photo de ton sexe à Sonia, elle ne me croit pas que tu peux en avoir une si grosse bite, alors je lui ai proposé de lui montrer en te demandant de venir, baisse ton pantalon pour lui montrer.

Je baise mon froc pour que Sonia admire ma grosse queue, effectivement elle n’en a jamais vu d’aussi grosse pourtant son fils, avec qui elle couche depuis quelques années, est bien monté lui aussi.

Valérie lui dit :

— La première fois je n’ai pas pu la mettre dans ma bouche, vu la grosseur, mais avec un peu d’entrainement elle entre bien jusqu’aux couilles, mais toi apparemment tu as l’habitude des grosses queues.

La sonnette de la porte sonne, c’est maman qui a eu le temps de se rhabiller, qui veut baiser avec Valérie et avec moi, elle est surprise de voir une autre femme, mais cela ne la gêne pas du tout d’avoir une autre amante.

Sonia demande la permission à Valérie de prendre ma queue dans sa main.

Sans attendre la réponse de Valérie, Sonia a saisi ma queue pour la branler un peu, de toute façon Valérie ne pouvait pas répondre, elle a la langue de maman dans sa bouche.

Sonia me dit :

— Tu sais, j’ai l’habitude d’en prendre des grosses dans ma bouche, mon fils est bien monté aussi, la prochaine fois je viendrai avec ma belle-fille, elle avalera bien ta queue et son mari ne sera pas jaloux.

Avant même que j’aie pu répondre Sonia a pris ma bite dans sa bouche pour me faire une gorge profonde, elle a vraiment l’habitude.

J’ouvre le chemisier de Sonia elle n’a pas mis de soutien-gorge ou Valérie lui a déjà retiré, elle a une grosse et superbe poitrine de gros seins que je suce pour les faire durcir à nouveau car je suis sûr dans la bouche de Valérie les tétons devaient bien durs et raides.

Mes mains parcourent le corps de Sonia, mes doigts se dirigent vers sa chatte et son trou du cul et elle me dit :

— Tu peux y mettre plusieurs doigts, Valérie m’a bien élargie avant que tu viennes, même ta queue ne me fait pas peur par là mais je la veux d’abord dans mon vagin et si tu ne mets pas de préservatif ce sera mieux.

Sans hésiter, je rentre quatre doigts dans son cul, elle ne bronche pas et me dit :

Tu peux y rentrer toute ta main, j’ai l’habitude et même tu peux entrer toute ta main le plus loin possible, je te dirais d’arrêter quand cela me fera un peu mal.

Pendant ce temps, Valérie et maman se sont allongées sur la carpette en soixante-neuf la langue de l’une dans la chatte de l’autre.

Sonia me dit :

— Je couche avec ma belle-fille et son mari couche avec moi et avec sa belle-mère, de temps à autre nous couchons tous les quatre.

Je quitte la bouche de Sonia pour honorer sa chatte, après l’avoir bien limé je décharge une bonne giclé de foutre et Sonia me dit :

— Dommage que tu as mis, malgré ma demande, un préservatif, j’aurai aimé senti ton foutre chaud dans ma chatte.

Je retourne Sonia pour profiter de son cul, Valérie et maman sont parties dans la chambre et je propose à Sonia d’aller les retrouver à quatre se sera pas mal, surtout qu’elle aime aussi les femmes, comme Valérie et maman elle est bi et puis avoir trois paires de fesses ne me déplait pas.

Après avoir goûté la chatte de Sonia, son cul et les culs de Valérie et maman c’est quand même le cul de Valérie que je préfère c’est peut-être aussi le premier que j’ai connu, nous nous quittons en promettant de nous revoir.

Quelques jours plus tard, alors que j’étais chez Valérie pour baiser, Sonia, sa belle-fille et la mère de celle-ci arrivent sans nous prévenir pour elles aussi se faire baiser.

Sonia me dit :

— Je leur ai parlé de ta grosse bite et elles veulent l’essayer, surtout se faire fister, je pense que Valérie ne verra pas d’inconvénient de toute façon elles sont bi elles aussi.

J’ai bien baisé les trois femmes, mais je ne bandais plus beaucoup pour Valérie qui me dit :

— Ce n’est pas grave, nous nous rattraperons demain.

Les jours passent, un soir Valérie m’appelle pour que je vienne de suite, Sonia, son fils, sa belle-fille et la mère de celle-ci sont là pour baiser.

A peine je suis entré, que le fils de Sonia me dit :

— Elles sont toutes les trois venues pour que tu les engrosses, moi je baise ma femme et sa mère depuis plusieurs années et je n’y suis arrivé, toi tu as de la chance tu pourras aussi engrosser ma mère.

Heureusement que le fils de Sonia s’occupe de Valérie et maman, je n’aurai jamais pu baiser cinq femmes à la suite malgré le fait que je suis bien habitué aux partouzes.

Après plusieurs semaines et leurs visites régulières, souvent seules parfois à deux, quelquefois à trois, elles sont enceintes.

Elles sont revenues me voir plusieurs fois par semaine, même étant grosses, elles ne peuvent plus baiser avec des petites queues.

Sonia me dit :

Sur les trois, il y en aura bien un garçon qui aura la queue de son père et nous lui apprendrons à s’en servir.

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