Story 11 – Ma Plaque d’esclave et mon premier tournage d’actrice Porn.
Me voici annelée des bouts des seins. Il y a une semaine, Maître m’a envoyé chez un percer spécialiste des seins. J’ai eu assez mal, il m’a placé des barbels en acier médical et aujourd’hui, j’y suis retourné pour recevoir mes anneaux en or aux tétons et remplacer ceux de mes lèvres vaginales, ces derniers sont plus épais et me font vraiment sentir esclave. Bien entendu, à chaque visite chez le perceur, j’ai dû – avant chaque intervention – le sucer devant Carole qui comme d’habitude, filmait.
De retour à la maison, Carole m’annonce qu’elle va me poser ma plaque de soumise. Je ne sais pas de quoi il s’agit. Elle me fait enlever ma jupe, je suis en gaine ouverte qui tient mes jarretelles et mes bas. Elle me fait allonger sur mon lit, la chatte à l’air, ouvre un écrin où il y a une plaque en or avec un anneau. La plaque est gravée, je lui demande de lire l’inscription. Mathilde me prend dans ses bras pendant que Carole me dit :
Tu risques d’être choquée par ce qu’il y a écrit dessus, me dit-elle, comme tu es une bonne soumise, Maître Jay veut que tu portes en permanence cette belle preuve de soumission.
La plaque dit d’un côté « Liz esclave de Maître Jay » et de l’autre côté « suceuse, enculée, gouine, maso ». Comme tu t’en doutes, je vais te l’accrocher à l’un de tes anneaux de tes grandes lèvres.
Mais cela ne va pas me faire mal ni me gêner pour marcher ? Je pose la question, candidement.
Je ne sais pas, tu nous diras, en tous les cas, tu n’as pas le choix.
Elle s’attelle à m’attacher cette plaque de 4 centimètres par 8, elle me semble énorme. L’anneau de la plaque a un système d’ouverture à pression avec un ressort à l’intérieur, et il faut une petite clé spéciale pour l’ouvrir. Carole me dit qu’elle gardera la clé et qu’elle est la seule à pouvoir me l’enlever. Toujours allongée, je touche ma plaque, cela me fait bizarre.
Elles m’aident à me relever, Mathilde me donne l’ordre de marcher. Je sens cette plaque pendre et étirer ma lèvre droite, en marchant, elle balance, cela est très bizarre comme sensation.
Elle m’ordonne de me regarder dans le miroir, cela est très barbare, je vois mes trois anneaux, le petit au-dessus de mon clito, les deux grands sur mes lèvres.
L’anneau avec la plaque étire beaucoup ma lèvre droite. Je fais la remarque, Carole me répond qu’effectivement, la plaque, en plus d’annoncer mes qualités à qui pourra la lire ainsi que de me rappeler en permanence que je suis l’esclave de Maître Jay. Mathilde rajoute que ma plaque va étirer mes lèvres pour les rendre bien pendantes avec le temps.
Car notre Maître trouve que cela est très érotique, pour obtenir cet effet, je porterai aussi des poids à mes anneaux pour accélérer le procès d’étirement. Pour cela, tous les deux ou trois jours, la plaque sera changée de lèvre.
Tu ne dois pas oublier en t’asseyant, de relever ta jupe ou ta robe pour t’asseoir cul nu, pour que ta plaque soit vue par qui regardera ton entrejambe comme preuve de ton état. Bien entendu, tu le sais déjà, pas de croisement de jambe. Tes genoux doivent rester toujours entrouverts légèrement en public, par contre, en privé, ils seront grands ouverts. Tu as compris, Liz ?
Oui, Mademoiselle Carole. C’est exactement comme dans le roman « Histoire d’O », elle portait un pendentif à ses lèvres. Vous allez me faire comme à elle, me donner à d’autres hommes, faire de moi une prostituée de luxe. M’attacher, me fouetter ?
Bien sûr, tu le savais déjà tout ça. Tu es une vraie soumise et maso. Maître est très content de toi, il va temmener sur le chemin dont il sait que tu rêves. Tu apprends très vite, tu ne te plains pratiquement pas. Tu es une bonne esclave. Tu acceptes ton dressage sans discuter. Tu fais de temps en temps ta mijaurée ou la surprise. Mais nous savons tous que tu adores cela. Tu seras prostituée comme tu l’as été en gobant toutes les queues au Glory Hole. Nous allons faire de toi une vraie pute, mais tu ne seras jamais payée, tes clients ne payeront pas. Ta prostitution, te donner à des inconnus est pour satisfaire le plaisir de Maître. Il est très important que tu apprennes ce qu’est être une pute, monter avec le « client ». Se faire baiser par des hommes ou femmes que tu ne choisiras jamais. Cela est ton destin, devenir un objet sexuel dont les gens raffoleront. Tous les hommes voudront te baiser, les femmes seront envieuses et certaines te gouineront.
Je suis surprise, mais pas vraiment non plus. La vérité est que tout cela m’excite énormément.
Mathilde commence à me caresser, me demande de la lécher, je m’agenouille docilement devant elle et commence a embrasser sa chatte, elle s’assoit sur le bord de mon lit. Derrière moi, Carole dirige ma tête, m’encourage. Je me sens une poupée sexuelle entre ces deux lesbiennes. Je dois lui lécher aussi l’anus. Mon piercing de langue travaille sur son clito. Je prends sa lèvre vaginale à pleine bouche, elle m’inonde de ses sécrétions. J’avale goulûment ses jus. Carole m’écarte de l’entrejambe de Mathilde et me met en bouche un bâillon qui a un petit pénis gag dans ma bouche et un grand sexe d’homme à l’extérieur.
Je me sens totalement « violée » par ce bâillon double-sexe. Carole le boucle dans ma nuque et me dirige à nouveau la tête en mettant le gros gode dans le vagin de Mathilde. Je dois faire des va-et-vient en simulant faire l’amour à Mathilde. Le pénis gag dans ma bouche me fait l’impression d’une tétine géante pour adulte. Je bave, Mathilde a du mal à jouir, Carole m’enlève ce bâillon et m’ordonne de soulager rapidement sa compagne avec ma bouche et ma langue. Je m’applique avec amour et enfin, Mathilde jouit dans ma bouche en m’inondant de sa cyprine.
Ensuite, je dois lécher Carole et les rôles s’inversent, c’est Mathilde qui me tient la tête et me dirige dans la chatte mouillée de Carole … Je termine avec mon visage inondé par les jus des deux gouines. Elles me font prendre un bain et m’autorisent à me branler avec un vibro en les regardant dans les yeux.
Carole, ensuite, m’ordonne de me maquiller, assise devant ma psyché. Dans la glace, je vois ma plaque entre mes jambes reposer sur le tabouret en velours. Je dois appliquer beaucoup de fond de teint ainsi que du mascara bleu « pute » comme elle dit. Sans oublier le rouge à lèvres ultra-rouge. Ensuite, elle me corsète, me met un porte-jarretelles par-dessus le corset. Elle accroche mes bas qui arrivent à mi-cuisse. Elle me fait mettre un soutien-gorge à tétons ouverts. Une robe qui m’arrive à la lisière des bas « Comme ça tout le monde saura que tu es une salope qui porte des bas ». Ensuite, elle m’aide à enfiler des bottes en cuir beige clair à talons qui m’arrivent au-dessus des genoux.
Je me sens accoutrée comme la pute de luxe que je suis en train de devenir. Maintenant, me dit-elle, nous allons faire ton premier casting porn.
Nous arrivons toutes les deux dans un studio. Un bel homme – la quarantaine – se présente, il s’appelle Jean, est entouré de deux assistantes, l’une jeune et l’autre de mon âge, très belles. Jean est le directeur et producteur de la société. Nous croisons quelques acteurs et actrices, des techniciens qui s’affairent. Il nous fait passer dans un grand bureau où il y a une petite estrade avec une caméra des lumières, un tabouret haut et un canapé. Jean m’annonce qu’il va préparer une fiche sur moi, ils vont faire un shooting de photos, me filmer pour préparer mon Book. Il me dit qu’à la demande de Jay, il va être aussi mon agent pour me proposer sur le marché du porn comme actrice Mature.
A cela, l’assistante la plus âgée me demande de monter sur la scène, ils vont commencer à me photographier et filmer pendant que je me déshabille. Je dis que je ne l’ai jamais fait devant une caméra, qu’ils soient indulgents avec mon manque d’expérience.
Ne t’en fais pas, tu vas apprendre vite, sourit et regarde la camera, tu commences par enlever ta robe sensuellement, tu gardes la bouche toujours entrouverte, me dit l’assistante junior.
Une maquilleuse rentre et avant que je commence, elle retouche mon maquillage en me félicitant pour mon maquillage qui fait très pute.
J’enlève ma robe sensuellement, les flashs crépitent, j’apparais corsetée, en gaine montante qui tient mes bas, mon soutien gorge qui laisse apparaître par ses ouvertures indécentes, mes mamelons annelés.
Soutiens tes gros seins, joue avec tes anneaux, sors ta langue, regarde-moi, maintenant, enlève ton soutien-gorge. Remonte tes seins vers ta bouche, suce les pointes.
Le photographe ne fait que de me donner des ordres. Je dois monter sur le tabouret, tenir ma plaque d’esclave avec mes mains gantées de cuir beige. Maintenant, penche-toi, tourne-toi et montre-nous ton petit trou. Celui-ci apparaît plus. Maintenant, enlève ton plug, mouille-le avec ta bouche en te retournant avec un regard de pute vers moi.
Après cette première séance, ils me préviennent que dans la foulée, on va tourner un premier film court. Une assistante m’emmène dans un vestiaire, je dois enlever les porte-jarretelles, les bas de contention et mes cuissardes, je garde le corset. Carole m’enlève la plaque, je retire mes gants. Carole m’accompagne aux toilettes où elle m’administre un lavement, en m’annonçant que j’allais être enculée. Elles me font passer un déshabillé rouge qui ne cache rien et m’arrive au ras des fesses, des affreux bas résille noirs. La maquilleuse me retouche, je dois passer de longs gants en satin rouge. L’on me chausse de cuissardes vernies à lacets qui ont une plateforme de 5 centimètres et des talons comme je n’en ai jamais vu. Nous sortons du vestiaire et me voilà sur un set de tournage.
Il y a un grand lit et un acteur Black se tient nu debout, il me sourit, me fait une bise comme si nous étions des amis de toujours. Le Directeur me dit :
Voilà, tu tournes autour de lui tu le fais bander, il paraît que tu sais te servir de tes mains gantées, c’est très bien, car tu vas en avoir besoin, pas toutes les filles savent être gantées…
Tu vas le sucer goulûment, ensuite, il va te prendre par-devant, tu le reprendras en bouche et ensuite, il t’enculera dans toutes les positions. Suis-le, laisse-toi faire, gémis, jouis, pleure, donne-nous tout ton registre. Jo sait ce qu’il doit faire.
C’est la première fois que je pratique l’acte sexuel sur un « plateau » de tournage, il y a une dizaine de personnes autour de nous pendant que je suce, me fait tripoter, il me baise dans toutes les positions, m’encule.
Entre les pauses pendant que l’on me remaquille et l’on retouche à ma « garde-robe », il y a une femme entre deux âges qui se précipite sur le sexe de Jo et le suce pour qu’il garde son érection. L’on me dit que c’est la norme dans l’industrie et je serai aussi appelé à le faire lorsque je ne tournerais pas.
Je termine, assise sur son membre dans mon cul en lui tournant le dos, regardant la caméra avec l’ordre d’avoir la bouche ouverte et la langue léchant mes lèvres comme une pute…
Je me rhabille, mon sphincter est douloureux, Jo est terriblement membré, il m’a vraiment défoncé le cul. Carole me replace la plaque entre les cuisses qui me rappelle en permanence ma situation d’esclave de Jay, je suis gênée et très fière à la fois. Toujours ces sentiments contradictoires me rendant folle de plaisir.
En sortant du vestiaire, le directeur me demande de faire une petite démonstration de gouinage avant de partir. Je me retrouve dans son bureau, rhabillée en bourgeoise perverse. Le directeur fait appeler les deux assistantes et la suceuse de bite. Pendant qu’ils filment, les filles se mettent culs nus, je dois les embrasser une à une sur la bouche, avec la langue, puis les faire jouir chacune à leur tour, avec ma langue percée. Elles sont assises sur le canapé, jambes écartées, montrant leurs chattes complètement lisses, norme de l’industrie. Je suis corsetée avec mes cuissardes, habillée gantée en train de rouler des pelles à des filles que je ne connais pas et à essayer de les faire jouir avec ma langue. Je suis encore une fois heureuse d’avoir ce piercing dans ma langue qui me permet de faire généralement jouir rapidement les femmes et hommes.
Carole demande à son tour à être sucée par moi et par la suceuse de Jo. Nous l’embrassons, je la partage avec une autre femme que je ne connaissais pas une heure avant. Pendant ce temps-là, le Directeur passe derrière moi, me relève ma robe et m’encule pendant que j’ai ma tête dans les nymphes de ma gouvernante.
Une fois que tout le monde a joui, je dis à Carole que j’ai très envie de jouir aussi. Celle-ci demande un leurre plus gros que le plug que j’avais en arrivant, car mon cul est encore très béant suite aux deux enculages que je viens de recevoir. Elle me met un gros plus en silicone que j’enlèverai à la maison, me met deux boules de geishas dans la chatte et m’autorise à me terminer seule avec mes mains gantées. J’ai un peu de mal, je suis vautrée sur le divan, face à tous, pendant que l’on continue à me filmer et j’arrive tout de même à avoir un orgasme en public.
Je dois retoucher mon maquillage toute seule, avec mes gants, ce n’est pas très facile. Le directeur me dit que cela est très érotique et me félicite. En rentrant à la maison, je marche avec mon cul très endolori et distendu par cet énorme leurre, ma chatte a des boules qui bougent toutes seules à chaque pas et ma plaque qui balance pour me rappeler ma condition.
Aujourd’hui, j’ai tourné mes premiers films pornos, je me suis fait baiser et enculer par un superbe acteur Black avec un membre d’une taille inédite et bien entendu, je me suis gouinée comme d’habitude. La vérité est que j’aime de plus en plus les femmes ainsi que ma vie de débauche.
Le compte de la journée, je me suis gouinée avec Mathilde, Carole, les deux assistantes et la suceuse de bite. Cela fait 5 femmes différentes et Carole a eu droit à deux gouinages de ma part. J’ai été baissée et enculée deux fois par Jo et le Directeur. J’ai eu le droit de me masturber deux fois.
En rentrant à la maison, mon Maître Jay va sans aucun doute vouloir m’enculer pour profiter de la voie qui a été bien préparée …