J’attendais alanguie sur le canapé dans mon vaporeux et sensuel attirail de séductrice. Jay arriva, nous nous embrassâmes délicatement car j’étais extrêmement maquillée par Carole sur sa demande et je ne voulais pas le tacher avec mon maquillage de pute. Il ouvrit le champagne, les lumières étaient tamisées, la musique douce il commença à me caresser. J’étais mouillée et dégoulinais comme une véritable fontaine. Il arriva à me faire jouir une première fois avec ses doigts et en mordillant mes seins qui étaient exposés par le soutien-gorge à balconnet découvert. J’étais haletante, nous étions dans le salon, j’avais peur que Carole arrive et me voie dans cet état-là… Jay me demanda de me mettre à genoux et de le prendre en bouche. Je m’exécutais avec plaisir, je le léchais en m’appliquant, je le sentais venir mais il enleva son membre de ma bouche, me fit m’asseoir sur lui et me pris par devant.
Je commençais à avoir un orgasme qui montait du plus profond de moi, il enfonça un doigt dans mon petit trou, cela arrêta ma pulsion de plaisir. Je n’aimais vraiment pas que l’on me touche l’anus cela me coupait tous les effets… Comme un gentleman qu’il est, il arrêta d’avancer dans mon derrière et me fit le reprendre dans ma bouche. Comme hier et ce matin il me demanda d’avaler sa semence, je le fis avec plaisir bien que je n’aimais pas trop le gout du sperme. Néanmoins j’étais déçue de ne pas avoir joui à la suite de son exploration dans mon petit trou. Il me dit sur un ton autoritaire « ouvre tes jambes, regarde-moi et branle-toi comme une petite fille cochonne que tu es ». Je me suis alors assisse au fond du canapé mes jambes ouvertes comme une grenouille et j’ai dû me caresser en le regardant dans les yeux jusqu’ à avoir un orgasme.
Jay était satisfait, il me dit d’aller me démaquiller dans ma chambre et de le rejoindre dans son lit. Je suivais ses instructions, je me démaquillais soigneusement, me reparfumais. Je ne savais pas si enlever mes dessous et bas. A tout hasard je gardais mon attirail de séductrice et le rejoignait dans sa chambre. J’étais un peu pataude, je ne savais pas quoi faire, me mettre nue ou pas… Il devançât ma pensée et me dit « Garde tes dessous et bas, j’aime t’avoir et te sentir dormir accoutrée comme ça ». Je lui obéissais, enlevais la robe, gardais mon soutien-gorge, porte-jarretelles et bas, jabandonnais mes mules échasses au pied du lit et me pelotonnais à son côté mort d’amour et épuisée par cette soirée et mes deux orgasmes. Je m’évanouissais dans un sommeil profond et réparateur.
Le lendemain matin au réveil j’ai dû prendre Jay dans ma bouche le faire venir et bien entendu l’avaler. Ensuite, nous avons pris le petit déjeuner servi par Carole dans son uniforme de soubrette toujours avec ses jambes gainées de collants beige semi-brillant et gantée comme d’habitude. Il me demanda de me préparer dans ma chambre et ensuite nous allions parler de l’avenir de notre relation. Lorsque je sortis de la douche, Carole avait préparé une de mes robes avec des dessous que je devais mettre et mes bottes à talons. Je lui disais que je préférais mettre autre chose, elle me rappela à l’ordre, je ne pouvais que l’écouter et lui obéir. Elle me maquilla et lorsque je me regardais dans le miroir, je me découvrais encore une fois hyper maquillée avec beaucoup de fond de teint, des yeux au contour bleu et une bouche rouge d’entraineuse, tout cela à 11 heures du matin. Je ne savais pas ce qu’allait être le reste de la journée, mais j’espérais que je ne croiserais aucune connaissance, la peur de ce qu’elle pourrait penser de moi accoutrée et maquillée comme une salope…
Nous sommes partis tous les deux dans sa Mercedes, déjeuner à la campagne en Normandie dans un relais de campagne très élégant. Après le déjeuner il me prenait tendrement par la main et nous marchâmes autour d’un étang. Là il commença à me parler en me disant qu’il voulait que je vive avec lui et que je devienne sa compagne soumise, totalement soumise. J’étais un peu surprise, étant de caractère soumis, sa demande au fond ne m’étonnait pas beaucoup. Je lui demandais ce que cela voulait dire ? Il me répondit que cela pouvait être difficile mais il était sûr que j’avais cela dans l’âme et que je saurais apprécier les plaisirs de la soumission. En rentrant sur Paris, je lui demandais ce qu’il attendait de moi.
Sa proposition était la suivante, premièrement il m’emploierait dans sa société comme assistante personnelle, je devrais être de façon permanente avec lui. Si au bout de quelques mois cela marchait bien, nous nous « pacserions » je n’aurais plus de souci financier dans ma vie. Mais il voulait que j’accepte tout d’une liste de conditions. Il allait me la donner en début de semaine, nous pourrions en parler mais il fallait que j’accepte tout ou rien… Drôle de proposition… mon corps contre la tranquillité d’une vie dans un cadre merveilleux avec l’homme dont j’étais tombée amoureuse.
Le dimanche soir après un merveilleux et long weekend où nous avions fait souvent l’amour, ou à chaque fois il éjaculait dans ma bouche et je devais l’avaler. Toujours habillées en déshabillé vaporeux, toujours perchée sur mes mules. Carole et Mathilde m’intimidaient dans leurs uniformes de soubrettes en me donnant des ordres… Jay laissant faire. Il m’expliqua qu’elles étaient un couple de lesbiennes Carole travaillait dans l’une de ses sociétés et avait détournée des fonds. Il déposa plainte au tribunal pénal, elle risquait vraiment d’aller en prison. Carole lui demanda de retirer sa plainte et contre cela elle ferait ce qu’il voudrait le temps qu’il voudrait, lui disant qu’elle était lesbienne et qu’elle ne voulait rien de sexuel avec un homme. Jay lui proposa un contrat de 10 ans, le double de la peine minimum qu’elle encourait, comme gouvernante chez lui. Carole lui proposa de venir avec sa compagne lesbienne pour que cela soit moins dur pour elle. Jay accepta et c’est comme ça que les deux gouines travaillaient et vivaient chez lui.
Lundi Matin le chauffeur de Jay me laissa à mon travail et ensuite passa chez moi déposer ma valise que je retrouverais le soir dans la loge de la concierge, pour éviter que mes collègues de travail sachent que j’arrivais de Weekend directement au bureau.
Lorsque j’arrivais chez moi il y avait ma valise et une grande enveloppe… la proposition de Jay avec sa liste d’exigence était arrivée, une démangeaison et un plaisir sordide m’envahissaient…