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Je veux que tu sois une salope : la suite. – Chapitre 1

Je veux que tu sois une salope : la suite. - Chapitre 1



JE VEUX QUE TU SOIS UNE SALOPE : LA SUITE.

Avertissement :

Le début de cette histoire ne mappartient pas. Les épisodes 1 et 2 sont à lire dans les histoires de jolechi sur Xstory dans la section avec plusieurs hommes.

Bien que les deux premiers épisodes aient eu un certain succès, lauteur na pas daigné en écrire une suite. Pire, il demanda à ses « admirateurs » den imaginer pour lui, de les écrire et de lui soumettre pour quil les publie. Bien entendu, personne naccepta ce deal qui demande un lourd travail pour le nègre et accorde les lauriers pour un tiers.

Comme pour moi, libertin rime avec libertaire, je me suis accordé le droit décrire une suite sans la soumettre à Jolechi. Je ne suis pas certain de respecter exactement son style mais je men tiens à la même longueur de chapitres. Tous vos commentaires seront les bienvenues.

Manekenpiss.

Résumé des deux épisodes précédents :

Le narrateur explique à sa femme quil aimerait quelle devienne une salope, quelle suce tous les mecs en boite de nuit, quelle couche avec qui elle veut et avec ses potes, soit devant lui, soit après lui avoir envoyé un SMS pour le prévenir. Sa femme, qui sappelle Pauline, commence par refuser et, astucieux (?) le narrateur ne la relance pas. Bilan, cest elle qui revient à la charge pour connaître dabord lintégralité de son fantasme et, deux mois après pour le réaliser . Dans le second épisode, ils sortent en boite et Pauline applique à la lettre les désirs de son mari. elle allume des inconnus sur la piste de danse et elle finit dans les chiottes à sucer toutes les bites qui se présentent (79 au total précise lauteur) en avalant, bien sûr, à chaque fois. Reste pour la « salope en herbe » de passer à la vitesse supérieure et de se faire remplir la chatte et le cul Tout un programme.

Je veux que tu sois une salope – épisode 3

Le dimanche matin, à notre réveil, Pauline se fit très chatte et ses mains allèrent très vite constater létat de santé de mon sexe et nous échangeâmes un long baiser.

— Je constate que tu es très en forme, mon chéri, ça tombe bien.

— Que veux-tu, de partager sa vie et son lit avec une salope comme toi, ça ne peut que donner des ailes, et ton halène de foutre mexcite encore plus.

— Oui, je men rends compte, jai encore le goût du sperme dans la bouche Il faut dire que de pomper 80 bites en une soirée, ça laisse forcément des traces.

— Ça ta vraiment plu, salope, tes trempée.

— Oui, ça ma plu mais je regrette simplement de ne pas men être pris plein la chatte aussi.

— Tu vas te rattraper aujourdhui, fais moi confiance Il y a le grand prix dAustralie cet après-midi et Auxerre-Monaco ce soir.

— Et tas invité qui ? Demanda-t-elle en venant sempaler sur ma bite tendue.

— Oooh cet après-midi, il y aura Jérôme, Bastien et Maxime.

— Aaaah trois seulement ? Et ce soir ?

— Ce ce soir il y aura Karim, Hugo, Mathieu, Aurélien et et Luc. Aah

— Mmm cinq, cest mieux. Aaaah Et toi, tu filmeras encore ?

— Oui, mais pas au portable cette fois.

Pauline montait et descendait sur ma queue et notre discussion nous apportait des images perverses et excitantes. Lorsquelle me demanda ce que je comptais faire de mes films, je lui avouai que je voulais créer un blog dédié à ses exploits et ny tenant plus, je la retournai sur le dos et la pris avec beaucoup plus de fougue. Elle était excitée à lidée de vider les couilles de mes potes et moi je ne rêvais que de la voir faire. Je la pilonnai avec un rythme effréné, mapprochant petit à petit de lorgasme quand elle me dit quelle ne voulait pas que je participe autrement quen filmant et en me masturbant. Ses mots eurent un effet terrible sur ma montée vers lorgasme, tous mes sens explosèrent et elle jouit en même temps que moi en sentant mon sperme se répandre en elle.

— Et bien, mon cochon, ça te fait de leffet tout ça, dit-elle alors que nous récupérions.

— Vraiment ! Cest trop bon Je sens que tu vas vraiment devenir la reine des putes, lui dis-je en lembrassant.

— Mon Chéri, cest officiel, tu vis avec une salope mais je voudrais juste te préciser quelques petites choses. Qui dit femme salope, dit mari cocu, tu en as conscience ?

— Et bien je crois que cest inévitable, dune certaine manière.

— Bien ! Alors, dès aujourdhui, je vais baiser avec qui veut, nimporte quand et nimporte où mais, car il y a un mais, sache que moi je suis très jalouse. Tu me suis ?

— Euh, cest à dire ?

— Tu ne comprends pas ? Moi je vais baiser et me faire farcir la chatte et le fion autant que je pourrai mais, toi, tu nas pas intérêt à aller voir ailleurs. Si tu me trompes, ne serait-ce quune fois, je te plaque comme une merde. Cest clair ?

— Oui, ma Chérie, très clair mais rassure toi, je nai absolument pas envie daller voir ailleurs.

— Bon ! Et maintenant, pousse toi ; tu mécrases et en plus il faut que jaille faire des courses avant que ça ferme. On na rien à servir à tes potes.

— Je peux y aller si tu veux.

— Tu peux venir avec moi si tu veux, tu te chargeras des boissons, cest le plus lourd. Mais tu me suivras de loin sinon comment veux tu quon me drague dans la rue. Une salope ça doit être disponible, non ?

Après une douche rapide et un petit déjeuner pris sur le pouce, Pauline était fin prête. Elle portait une mini jupe légère, qui descendait tout juste en dessous de la lisière de ses dim-up, et un petit haut blanc translucide qui laissait deviner sa poitrine libre sous le tissu. Rien quà la regarder, il était évident quelle ne demandait qua se faire brancher. Comme je ladmirai en finissant de mhabiller, elle souleva le devant de sa jupe.

— Regarde, jai profité de la douche pour tout enlever, ça te plait ?

— Oh mon dieu ! Tu as fait çà ! Mexclamai-je car jen rêvais depuis des années. Et et tu vas sortir comme ça ?

— Et ce nest pas ce que tu voulais quand tu mas expliqué tes fantasmes il y a deux mois ?

— Euh

— Tu ne mas pas dit que tu voulais que je me fasse baiser par nos amis et par un maximum de mecs rencontrés nimporte où et en particulier dans la rue ou sur le net ?

— Si, si cest ce que je veux.

— Alors cest parfait ! Enfile tes pompes, on y va. Et noublie pas de me suivre de loin, daccord ?

Nous descendîmes à la supérette du quartier et comme convenu, je circulai dans les rayons en faisant mine de ne pas la connaître. Javais rapidement rempli mon caddie avec un gros pack de bières, une bouteille de Martini, du coca et du whisky mais continuai à déambuler pour voir ce que ma femme faisait. Elle navait pas perdu de temps, la salope ! Lorsque je la retrouvai enfin dans le rayon des fruits et légumes, son caddie était toujours vide et elle était en grande conversation avec trois blacks en jogging. De toute évidence ces lascars étaient très entreprenants et Pauline les allumait grave. Lun deux passa même sa main sous sa jupe, ce qui eut pour effet de leur révéler quelle navait pas de culotte et comme il insista, Pauline se cambra et je crus deviner quil était en train dévaluer son degré dhumidité. Pauline se redressa vite et se tourna vers lui pour lembrasser à pleine bouche. Ils ne restèrent pas plus longtemps à cette endroit et se dirigèrent rapidement vers la sortie sans achats. Ma femme avait abandonné son caddie et je me fis un devoir de le récupérer. Comme elle y avait laissé sa liste, je pus compléter les courses. En approchant des caisses, je reçus enfin un SMS mannonçant quelle était chez nous avec ces trois types. Elle précisa que je nétais pas obligé de poireauter dans la rue car elle les avait prévenus que je pourrais arriver mais que je ne les dérangerai pas.

Le temps dattente à la caisse me parut interminable et jétais vraiment pressé de payer. Jétais en train de finir de charger mon chariot de courses quand un nouveau SMS de Pauline arriva sur mon téléphone : « Ils sont OK pour que tu mates ». Le SMS était accompagné dune photo où je pouvais voir ma femme de haut à genoux sous trois bites énormes, dont les glands se touchaient, et quelle tenait de ses deux mains au dessus de sa langue tirée. Lobscénité de la mise en scène et le regard coquin de Pauline mexcitèrent instantanément. Il nétait plus question de perdre du temps et jai sans doute battu mon record de vitesse pour revenir du supermarché à chez nous. Dans lentrée de notre appartement trainaient les habits et les chaussures de ma femme et des trois types quelle venait de ramener. Jemportai vite les courses dans la cuisine et me précipita vers les chambres. Alors que je mattendais à les trouver dans la chambre damis, jeu la surprise de voir que celle-ci était vide et que ça se passait dans notre chambre. Pauline allait se faire sauter dans notre lit ce qui ne faisait pas partie des scénarios que je lui avais proposé. Je retirai mes chaussures et approchant tout doucement de notre chambre, jentendis de plus en plus nettement des bruits de succion. Les trois lascars me tournaient le dos et je pus admirer leurs carrures athlétiques. Javais sous les yeux trois dos de noirs superbes, impeccablement musclés ; ils étaient grands et costauds, sans doutes très sportifs et Pauline accroupie devant eux les pompait alternativement.

— Ouai, cest ça, suce bien, Salope ! Dit lun deux. Jai limpression que tes une bonne teupu !

— Jespère que ton mec va apprécier le spectacle parce quon va te farcir, putain ! Rajouta un deuxième qui lui malaxait les seins. Putain, mâtez ces nibars !

— Ouai, jaurai une meuf pareille, jcrois pas que jla laisserai toute seule Ouai, prends ma queue salope !

— Elles te plaisent nos barres de chocolat, demanda le premier. Taime ça les bonnes grosses teubs de blacks, pas vrai ?

— Mmm ! Mmm ! Acquiesça Pauline la bouche pleine

— Jsuis sûr que ça te change de ton mari. Ajouta-t-il en se tournant vers moi. Et quand on parle du loup Approche, le cocu, nai pas peur on va pas te bouffer ; on va juste niquer ta meuf.

— Ouai, confirma le plus petit des trois, jpeux te garantir quelle va déguster. Fous toi là-bas, ajouta-t-il en me désignant un vieux fauteuil qui nous sert en déco. Tu sras mieux pour mâter et tu sras pas dans nos pattes.

Ce type me donnait des ordres et, bien que choqué, jobéis sans louvrir et massis dans le fauteuil. Ma femme continua de faire durcir leurs grosses bites pendant encore dix bonnes minutes. Ensuite, ils linstallèrent sur le lit et le plus grand dentre eux lui bouffa la chatte tandis que les deux autres soccupèrent de ses seins et de sa bouche. Pauline était chaude comme la braise et exprimait son plaisir de plus en plus bruyamment. Elle voulait être prise tout de suite mais les trois types la firent attendre encore un peu. Ils la caressèrent, la sucèrent, lembrassèrent et se relayèrent entre ses cuisses pour goûter à ses deux orifices et pour les préparer à leurs assauts à venir.

— Putain ce cul, dit celui qui se trouvait entre ses cuisses, jy ai foutu trois doigts et il souvre encore ! Tu vas te faire dilater a rondelle, ma salope ! Timagines même pas.

— Oooh ! Oh oui ! Baisez moi, baisez ma chatte et mon cul ! Remplissez moi, salops, jen peux plus ! Baisez moi ; jveux vos queues, putain ! Aaaah

— Tinquiète, ça vient. Reprit le plus grand en lui attrapant les jambes pour la positionner comme il faut au milieu du lit.

Pauline était visiblement hyper excitée et elle regarda lénorme bite noire qui sapprocha de sa chatte humide. Dans mon fauteuil, je retins mon souffle ; enfin jallais la voir se faire défoncer. Jétais toujours habillé et ma bite était coincée dans mon jean. La chatte de Pauline était tellement trempée que le sexe du gars neut aucune difficulté à la pénétrer. En une seule poussée, il senfonça en elle jusquà la garde. Pauline gémit, elle tenait les deux autres queues dans chacune de ses mains et les masturbait ou les suçait tant bien que mal tandis que le grand black lui ramonait la chatte. Son premier orgasme vint rapidement et après ce ne fut plus quune succession de râles de jouissance qui devaient sentendre dans tout limmeuble. Ces types savaient y faire et évitaient soigneusement datteindre le point de non retour. A chaque fois que celui qui la baisait, sentait monter son jus, il laissait sa place à lun ou lautre de ses potes. Après un quart dheure de ce régime, ils la mirent à quatre pattes et cest son cul qui dégusta leurs grosses bites bien gonflées. Là encore ils se relayèrent tranquillement. Ils paraissaient ne jamais vouloir jouir tandis que moi, même si je bandais encore, javais déjà abondamment mouillé mon slip.

Jassistai à une sorte de ronde ; quand un type sortait de son cul, il lui faisait sucer sa bite et comme un autre lavait remplacé dans son conduit anal, chaque coup de rein lenvoyait se faire baiser la gorge.

— Putain de salope ! Tes vraiment une grosse truie, dit celui quelle suçait, Tu sens lgoût dton cul sur ma teub ? Tas lair daimer ça !

— Ah ! Putain ce cul ! Sécria son enculeur. Il est trop bon ton cul de grosse pute !

— Cest un vrai garage à bites, cte meuf ! Dit le troisième qui mâtait en se branlant. Comment veux-tu quelle prenne son pied avec lautre pédé qui nous mâte ! hein, lcocu ? Ça te plait le spectacle ? Tas vu comme on la fait couiner ta meuf ?

— Euh, oui oui, répondis-je en bredouillant.

— Ben tas encore rien vu, mon pote !

Disant cela, il sallongea à côté du trio en action et les deux autres, arrêtant leur action, installèrent Pauline sur lui, face à moi. Elle se laissa empaler le cul sur sa queue et celui quelle suçait juste avant se glissa face à elle entre ses cuisses. Pauline allait subir son premier sandwich. Je jetai un coup dil au réveil, il était bientôt de 13h et jétais rentré des courses à 11h30. Cela faisait une heure et demie que Pauline baisait avec ces trois lascars. Et maintenant, elle prenait encore son pied avec une bite dans la chatte et une autre dans le cul. Celui sur lequel elle était allongée ne bougeait pas mais lautre sactivait de plus en plus vite. Me disant que le spectacle nallait sans doute pas durer, je décidai enfin de me déshabiller. Ma bite tendue me faisait mal mais il était hors de question pour moi de la toucher. Une fois à poil, je me sentis mieux et vis le type qui lui baisait la chatte, se cambrer et senfoncer au maximum. Il resta tétanisé en elle quelques instants ; ses grosses couilles semblaient se contracter, ce mec était le premier, moi mis à part, à jouir au fond du vagin de ma femme. Il prit son temps pour sortir sa verge quil essora bien en même temps et quand il laissa la place je pus voir son sperme déborder du trou béant quil laissait. Le troisième, dont la bite devait encore être crasseuse du cul de Pauline, le remplaça vite et sactiva lui aussi dans son chaud conduit crémeux. Les même causes produisant les mêmes effets, il apporta rapidement sa contribution. Lui aussi fit ce quil fallait pour bien laisser toute sa semence à lintérieur de son vagin. Quand il se dégagea, celui qui était sous Pauline la retourna et la prit une dernière fois en missionnaire pendant un long moment jusquà rajouter son foutre à celui des deux autre. Je pensais alors que tout était fini et quils allaient partir mais ils me réservaient une surprise.

— Alors le cocu, cétait bon ? Ça ta plu ?

— Oui, super ! Dis-je réellement heureux.

— Viens là ! Comme tas été bien sage, tas le droit à un petit quelque chose. Viens là, je te dis ! Mordonna celui qui mavait traité de pédé.

Sans réfléchir, mais un peu inquiet quand même, je me suis approché. Ils mallongèrent de force sur mon lit en me disant quil fallait que jadmire leur travail de plus près. Une fois que je fus dans la position quils attendaient, ils demandèrent à Pauline de saccroupir au dessus de ma bouche et dexpulser leur jus. Ma femme me regarda avec tendresse et fit ce quils demandaient. Elle enjamba mon visage et approcha son vagin crasseux de mes lèvres. Il suintait déjà mais, lorsquelle se mit à pousser, un épais filet de sperme en sortit et je le reçus dans ma bouche ouverte et sur ma langue. Alors, dans une dernière envie lubrique, Pauline appuya sa vulve sur ma bouche et se masturba dessus tandis que je la léchai sans retenue. Je bandais comme un taureau, ma bite me faisait mal et subitement, je sentis une main lempoigner fermement. Lun des amants gars me branlait énergiquement et je ne fus pas long à venir. Dans un râle étouffé par la chatte de Pauline, je répandis mon sperme sur mon ventre dans lhilarité générale. Pauline se redressa et me regarda dans les yeux.

— Alors mon chéri, je suis assez salope, maintenant ?

— Tu tu es parfaite, dis-je encore étonné de ce qui venait de se passer. Tu as été sublime ; je taime.

— Moi aussi, je taime, mon amour et, puisque tu maimes salope, je te promets de lêtre sans limite et tous les jours.

Puis elle se tourna vers les trois lascars et elle sadressa à eux avec son sourire le plus destructeur.

— Messieurs, je ne vous retiens pas plus, vous avez été admirables, jai été ravie dêtre votre vide couilles, ou votre sac à foutre, en cette fin de matinée. Si vous me laissez un numéro de téléphone, je vous rappellerai, sans doute, pour une autre partie de baise.

— Tant que tu veux, ma belle et si tu veux, on reviendra avec des potes ; on peut même temmener avec nous à téci, dit le plus grand, on a des caves bien aménagées et une teupu comme toi ça se partage !

— Cest aussi ce que dit mon mari, cest pour ça que je vous ai fait venir mais maintenant, il est lheure pour vous de partir. Nous attendons des amis qui ne vont plus trop tarder et jai besoin dune bonne douche avant. Je laisse Bruno vous raccompagner.

Toujours à poil, je raccompagnai les trois hommes jusquà lentrée où ils se rhabillèrent et ce faisant je pris leur coordonnées téléphoniques pour Pauline. Comme ils me demandèrent comment nous en étions arrivés là, Pauline et moi, je leur expliquai que cela faisait plusieurs mois que je lui avais demandé de devenir une salope et quelle sy était finalement décidée pour notre plus grand plaisir. Ils me remercièrent, non sans se moquer un peu, pour ma grande générosité et mon sens du partage et prirent aussitôt congé. Je regardai lheure, il ne me restait pas plus de 10 minutes pour me laver et me rhabiller avant que Jérôme, Bastien et Maxime ne débarquent.

Je rejoignis Pauline dans la salle de bain où elle prenait sa douche.

— Ça va ma Chérie ? Demandai-je, pas trop fatiguée ?

— Non, mon amour, ça va bien, très bien même ! Ces trois gars mont vraiment sautée comme des dieux

— Cest vrai que cétait incroyable En tout cas, depuis hier soir, tas pas perdu de temps. 80 pipes et trois amants en moins de 24 heures, cest plutôt pas mal pour une femme qui ne voulait pas entendre parlé de ça il y a deux mois

— Y a un problème ? Tes jaloux ? Ça tennuie ?

— Non, aucun, je juste je ne pensais pas que ça irait si vite.

— Et bien moi non plus, mais je nai pas eu limpression que ça ta fait du mal. Tas pris ton pied aussi, non ?

— Oh, non, javoue, jai joui trois fois, deux fois dans mon slip et la troisième quand lautre ma branlé pendant que je te léchais.

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