Nous sommes sorties. Je garde mes bras devant la poitrine, même s’il n’y a personne. L’eau a mouillé mon haut et il est devenu un peu trop transparent à mon goût. Sandrine me demande
Alors ? Pas trop choquée par ces trois mâles nus en chaleur ?
Ca va… Je crois que je ne suis pas lesbienne finalement
Et je me mets à rire bêtement, honteuse d’avoir osé me confier ainsi. Amusée, elle me demande "T’es pas entrain de jouer la pucelle en chaleur ?". Je lui réponds "Je crois que si". Elle rit aussi, me prend la main et me dit "viens". Je la laisse me guider un peu plus profondément dans le parc. A l’abri des regards, elle me plaque contre un arbre. Surprise, je lui demande
Qu’est-ce que tu fais ?
Heureusement que nous ne sommes pas restées avec eux. Ils en auraient profité et adieu ta virginité.
Oui… Ce n’est pas comme ça que j’imagine la perdre.
Alors laisse-moi te calmer.
Elle m’embrasse… J’aime autant que la première fois. Elle ouvre mon pantalon, je me contracte. Elle glisse sa main entre mes cuisses, je me contracte encore plus… Elle est entrain de toucher mon minou… Je la laisse continuer, je devrai l’arrêter, mais je n’en ai aucune envie. Cest doux, agréable. Et elle masturbe mon bouton d’amour tendrement, délicatement. Je me mets à gémir doucement. Elle continue, accélère, et je me mets à jouir, ses lèvres toujours contre les miennes.
Elle retire sa main, se lèche les doigts en ayant un air d’aimer ça. Je n’ai jamais tenté de me goûter, je trouvais ça un peu dégoûtant. Pas elle visiblement Je sens que jai bien plus à apprendre dans cette école que je le pensais
Et bien, c’était une grosse envie. Ca n’a pas duré longtemps. Ca va mieux ?
Oui.
Viens, on se lève tôt demain, faut aller se coucher. Je te conseille de prendre ta douche le soir, ça va être la cohue demain matin. Je n’aimerai pas devoir noter tes retards.
Nous passons tout de même par la cantine pour vérifier son état. La salle est propre, pas nickel, mais ça va. Je vais au dortoir. Il y en a déjà qui dorment, dont Anna que je n’avais pas revu depuis le matin. Je me demande ce qu’elle a à faire. En tout cas, je remarque qu’on nous a installé un réveil. Je prends un pyjama, ma trousse de toilettes et je vais aux douches.
Je surprends un garçon nu entrain de se laver. Je détourne le regard aussitôt, et m’excuse. Mais, j’ai reconnu celui de mon groupe, celui qui avait enlevé son slip.
Je pensais que tout le monde dormait déjà.
Moi aussi. J’ai presque fini et je te libère la place.
Je crois que je suis trop fatiguée pour attendre. Je…
Ok, je ne regarde pas, promis.
Je me déshabille et vais sous la douche en l’observant pour vérifier qu’il a les yeux qui fixent ailleurs. Mais, je vois aussi son sexe tout dur… Je détourne l’attention en lui disant
Tu t’appelles Henry, c’est ça ?
Oui… Toi t’es Emilie, la pu… Pardon.
Oui, la pucelle. Je crois que tout le monde est au courant maintenant.
Moi aussi, je suis puceau… Enfin, pas vraiment, je l’ai fait qu’une fois, mais ça ne compte vraiment pas.
J’aimerai que ma première fois compte… Je ne voulais pas voir, mais tu… Enfin… Si t’as envie de te…
Ha… Pour dire vrai… Comme, je pensais être seul… J’avais déjà un peu… C’est con, on n’arrive pas à finir nos phrases.
Nous rions tous les deux. Je tourne ma tête vers lui, et je remarque qu’il regardait mon dos… ou peut-être plus bas. Je fixe à nouveau le mur devant moi, toute gênée, toute émoustillée aussi. D’un ton très hésitant, il me demande
C’est vrai ? Ca ne te dérange pas si…
Non, je ne dirai rien de toute façon. Et l’eau camoufle les bruits.
Ok, merci… Si t’as envie aussi… Pareil, je ne dirai rien.
Non, ça va pour moi… Tu… Enfin… Tu as envie pourquoi ?
Je préfère ne pas te répondre. Tu vas me prendre pour un pervers.
C’est parce que tu as vu mes seins ?
Oui… Et aussi sous ta jupe lorsque tu te massais les pieds.
Ce n’était pas volontaire… Je n’y ai plus du tout pensé que j’avais retiré ma culotte… Et…
Oui, ne t’inquiète pas. J’avais bien compris… Si je peux me permettre, c’était très joli à regarder.
Je ne réponds pas, il ne parle plus. A nouveau, je tourne la tête vers lui. Je vois son bras bouger, mais ne voit rien d’autre que ses fesses se contracter. Il pose une main sur le mur, je me décale un petit peu. J’aperçois alors un jet de sperme sortir, puis un autre. Il continue à se masturber, je penche ma tête sur le côté et commence à découvrir son gland d’où sortent d’autres petits jets. Je me sens dans un état pas possible.
Henry m’annonce alors
J’ai fini… Je me rince et je te laisse tranquille.
Même si c’était un peu bizarre, merci d’avoir partagé cette douche avec moi… C’était sympa.
Oui, je suis d’accord. Bon… Je vais aller me coucher. Bonne nuit.
Bonne nuit.
J’attends qu’il parte, et je vais à l’endroit où il était, laissant une envie incontrôlable me guider. Il a nettoyé, mais j’ai tout de même l’impression de sentir encore l’odeur qui s’est dégagée lorsqu’il a éjaculé. Je suis dans un état d’excitation extrême, comme je n’ai jamais connu. Et je me mets à me masturber. Comme avec Sandrine, je jouis rapidement, mais bien plus intensément.
Totalement honteuse de ce que je venais de faire, dans un endroit où j’aurai pu être surprise, je finis ma douche rapidement, je mets mon pyjama et parts me coucher en réglant l’heure du réveil à 5h00.