Jean fait du regard le tour du salon, cest parfait : le sofa, la table basse, le fauteuil, tout est en en place. De la boisson (des jus de fruits) remplit le réfrigérateur, il na plus quà attendre larrivée de ses Euh invités ? Oui cest ça, invités
15 heures 15, Jean relève les yeux de son livre. La jeune fille aurait-elle des scrupules ? Aurait-elle moins peur de ses parents quil ne se limaginait ? Lui qui se réjouissait dassister à leurs amours chez lui, devra-t-il se fier au hasard pour que le spectacle dun couple en action se renouvelle ? Quel dommage ! Un coup de sonnette interrompt sa rêverie. Il se précipite à la porte pour ouvrir. Camille est là avec son copain.
— Ah vous êtes là ! Jai cru un instant que vous ne viendraient pas. Cela membêtais tu sais, jaurais été obligé de parler de ce que jai vu.
Camille baisse la tête. Thomas entre, la traînant à sa suite.
— Excusez-nous monsieur pour le retard mais il y avait des encombrements.
— Ce nest rien, je suis content que vous ayez pu venir. Débarrassez-vous.
Les jeunes gens suspendent leur veste dans le vestibule. Jean les guide au salon et les invite à prendre place sur le sofa.
— Que voulez-vous boire ? Jai du jus de fruit au réfrigérateur.
— Ce sera parfait pour moi, dit le garçon. Ten veux aussi Camille ?
La jeune fille ne dit mot. Elle est inquiète, quest-ce que Jean compte faire ?
— Dis Jean, vous Vous restez ?
— Je serai discret, faites comme si je nétais pas là.
Cela ne rassure pas la jeune fille.
— Vous Vous ne me ferez rien, nest-ce pas ?
— Sois tranquille il nest pas dans mon intention de profiter de tes charmes.
Cette concession ne coûte guère à Jean car ses possibilités physiques sont limitées. Il sourit de constater que sa dernière réplique rassure Camille.
— Tout ce que je vous demande, poursuit-il, cest de vous aimer comme vous lavez fait lautre jour en forêt. Thomas Cest bien Thomas ton nom ? Embrasse ta copine Tu as peur ? De quoi ? Je ne vous mangerez pas, un peu de courage que diable !
Le garçon hésite, puis devant le regard insistant de Jean, prend Camille dans les bras.
— Allez, laisse-toi faire, lui murmure-t-il. Cest pas la mer à boire quil nous demande.
Elle détourne la figure, il insiste et parvient à poser la bouche sur les lèvres. La magie du baiser opère. Jean devine le ballet des langues. Il se carre dans le fauteuil et anticipe le plaisir quil espère du spectacle. Quand Thomas veut embrasser les seins quil a sortis du soutien-gorge, Camille saccroche à lui et réclame un autre baiser. Elle le laisse toucher son sexe, ôter sa culotte sans manifester quelconque plaisir. Tout en embrassant la jeune fille, Thomas sort une queue rigide, lenfonce dans la chatte qui ne se dérobe pas et entame la danse damour.
Jean est frustré, il ne retrouve pas le plaisir éprouvé le dimanche précédent. Les jeunes le déçoivent, surtout Camille qui se comporte comme une poupée de son. Il les interrompt.
— Non, non, non, ça ne va pas ! Vous étiez beaucoup plus convaincant lautre jour. On dirait que Thomas te force, Camille ! Il ne te viole pas que diable ! Cest vrai quil a oublié de te caresser avant de bêtement te faire lamour. Veux-tu que je te montre ce quil aurait du faire ?
— Sil vous plait, vous avez promis de ne pas me toucher Je vous en supplie.
Jean ne se souvient pas davoir fait cette promesse mais accepte de rester dans son rôle de voyeur.
— Bon daccord, cest Thomas qui te caressera sur mes instructions Tu es prêt Thomas ? Oui ? Commence par déboutonner son chemisier Oui, ôtes-le Caresse le galbe des seins Oui Dégrafe le soutien-gorge, enlève-le Cest ça Embrasse les tétins, excite-les des doigts Tu vois comme ils réagissent ? Suce-les à présent lautre sein, maintenant.
Camille ne peut sempêcher de gémir de plaisir sous la caresse.
— Tu vois que ça lui plait, poursuit Jean, continue Oui Défait la jupe maintenant Comme ça Promène ta langue sur le ventre Dans le nombril.
— Hiii ! Tu me chatouilles !
La jeune fille gît nue sur le sofa. Elle farfouille dans la tignasse de Thomas, oubliant la présence de Jean qui continue ses recommandations :
— Embrasse le sexe maintenant Si ! Cherche, il y a une petite excroissance Tu la trouves ? Décapuchonne-la.
— Mmmh !
— Tu vois que cela lui fait plaisir. Titille-la de tes lèvres Si ! Ce nest pas sale, tu nas rien à craindre.
— Aaah !
— Nest-ce pas Camille que tu aimes ce que Thomas te fait ?
— Aah ! Ouii !
— Continue jeune homme à grattouiller le clitoris, oui cest comme ça que ce petit bouton sappelle Embrasse les petites lèvres intimes Oui Introduit le bout de la langue dans lorifice du vagin, nest-ce pas que cest bon ?
— Aaaah ! Ouiiii ! Cest booon ! sexclame-t-elle.
— Cest bien Thomas, continue, fait la jouir.
Jean se carre de nouveau dans le fauteuil admirant la jeune fille les yeux fermés sur son plaisir et qui maintient la tête de son copain sur son sexe.
— Mmmmmmh !
— A présent que tu as su lui procurer un orgasme par tes caresses elle est prête à te recevoir. Déshabille-toi en vitesse et aime-la !
Le jeune homme quitte pantalon, slip et t-shirt, et complètement nu se présente entre les jambes de Camille qui lattire en elle.
« Cest vrai quil a une belle queue, plus longue que la mienne », soupire en silence Jean avant de déclarer à voix haute :
— Voilà comme il faut saimer les enfants.
Il admire Thomas donner des coups de rein pendant que Camille gémit sa jouissance. Le spectacle est aussi excitant que dans la forêt. Une douce chaleur envahit son bas ventre, il se retient de sortir et caresser son sexe de peur deffaroucher la jeune fille (« Une prochaine fois quand elle sera apprivoisée », se promet-il) Tout à coup, il se redresse.
— Camille tu prends la pilule ?
— Aaah ! No Non.
— Retire-toi vite Thomas !
Il prend le garçon aux épaules et larrache de la jeune fille. Il était temps : des gouttes de sperme jaillissent et viennent maculer le carrelage.
— Oh ! Pourquoi tu nous sépares, tes jaloux que tu veux pas quon jouisse ? rouspète Camille.
— Tu tiens tant que ça à tomber enceinte, tu veux un baby ?
— Euh Non.
— Tu vois que jai eu raison. Fais-toi prescrire la pilule à lavenir, tu seras tranquille.
— Mais mes parents voudront pas.
— Je connais un gynéco discret, avec lui tu nauras pas besoin de leur autorisation et ils nen sauront rien. Je tobtiens un rendez-vous pour mercredi après-midi, ça te va ? Maintenant les enfants habillez-vous. On se revoit samedi nest-ce pas ?
Il quitte la pièce mais tend loreille derrière la porte.
— Tu vois, ça cest pas si mal passé, déclare le garçon.
— Oh jai honte !
— De quoi ?
— Jean doit croire que jai aimé quil me regarde.
— Quil soit là tas pas empêché de jouir.
— Veux-tu te taire !
Jean se retire satisfait. Quelques minutes après les deux ados sortent du salon. Il interpelle Camille :
— Je te téléphone lheure du rendez-vous de mercredi, mais je te laisserai y aller seule, tu es assez grande pour te débrouiller avec lui. A samedi les enfants.
Il les raccompagne à la porte. Une fois refermé, il fonce aux toilettes se masturber un bon coup.
— Aaah ! Ça fait du bien !
Cela serait encore mieux si sétait Camille qui lavait fait Faudra lui suggérer
A suivre