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Jenifer: J'apprends à être coquine – Chapitre 7

Jenifer: J'apprends à être coquine - Chapitre 7



J’étais vraiment déçue de la tournure des événements avec Mustapha. Je me suis dit que j’avais trop vite projeté mes rêves de vie de couple avec lui, que je m’étais enflammée toute seule et qu’il fallait éviter que cela se reproduise.

La jour après notre rupture, je me suis sentie minable et la quinzaine suivante a passé avec une affligeante monotonie; Heureusement, j’ai dû aller à Madrid pour le travail la semaine d’après et cela m’a un peu changé les idées. En revenant le jeudi, j’ai regardé mon agenda et j’ai vu que 8 jours plus tard, nous avions une soirée entre anciens de l’IUT. Je n’y allais jamais d’habitude mais cette fois j’ai immédiatement pensé à Mickaël, mon fantasme pendant les deux ans où je l’avais côtoyé… et l’homme à qui je pensais un peu trop régulièrement en jouant avec mes godes.

Cette fois j’irai à la soirée ! J’ai pensé à Mickaël en m’endormant et aussi en me réveillant le lendemain matin. Une question me taraudait: et si c’était lui mon prince charmant ?

Je me trouvais idiote: Je recommençais les mêmes bêtises qu’avec Mustapha et j’allais sans doute encore être déçue; Je ne voulais pas me faire de films mais c’était plus fort que moi. J’ai essayé de me dire qu’il était sans doute marié et qu’il avait peut-être même des enfants… mais j’ai vérifié sur facebook: pas de femme, pas de gamins et un alléchant statut de célibataire. Mon cerveau a tourné a mille à l’heure toute la semaine, j’étais en boucle: je ne pensais qu’à lui. Mes sex toys ont fini la semaine épuisés et j’ai du recommander du lubrifiant.

Le vendredi soir a tout de même fini par arriver. Enfin ! J’ai mis un tailleur pantalon avec un petit top qui mettait mes seins en valeur et je suis partie pour le lieu de rendez-vous. J’ai eu un peu de mal à trouver mais je suis malgré tout arrivée à bon port. Je suis entrée dans la salle de lhôtel qui devait nous accueillir, j’ai salué ceux que je reconnaissais et j’ai cherché Mickaël du regard; Il n’était pas encore arrivé.

Je suis allée prendre un verre au bar, un petit cocktail bleu avec un parasol et un shamallow transpercé par un cure dent plongé dedans. C’était très alcoolisé pour moi qui boit rarement mais j’avais besoin de me donner du courage.

J’ai attendu, attendu et encore attendu. Il était 20h30 alors que le rendez-vous était à 18h30 et Mickaël n’était toujours pas là. J’ai pris un troisième cocktail "parasol" et j’ai commencé à déprimer: me séparer de Mehdi m’avait plus affecté que je ne le croyais, Mustapha m’avait jeté comme la dernière des traînées et Mickaël, sur qui je projetais tous mes espoirs, n’était même pas venu à ce qui devait être nos retrouvailles et peut-être le début de mon conte de fées.

Je me suis dit que mon fameux plan n’était qu’une farce, que j’étais simplement devenue une pouffiasse qui se faisait tringler tous les week-ends. J’avais envie de pleurer mais il y avait trop de monde, j’ai préféré retourner chercher deux cocktails bleus pour me consoler.

Ma tête tournait franchement, je n’entendais plus les conversations mais seulement un brouhaha désagréable, je suis allée masseoir dans un des canapés en prenant un nouveau verre bleu au passage. J’avais sans doute trop bu, je voyais presque le sol bouger.

Un peu plus tard, j’ai été tirée de mes rêveries par une voix que je connaissais:

"Excusez-moi je suis en retard. Je ne sais que ça ne se fait pas d’arriver si tard mais j’avais envie de vous revoir".

Mon cur s’est emballé, j’ai ouvert mes yeux, c’était bien Mickaël: brun, 1m75, pas un gramme de plus qu’il y a 3 ans, seulement une élégance indéniable et une assurance encore renforcée. Il était encore plus séduisant que dans mes souvenirs et mes fantasmes.

Je me suis levée difficilement, j’ai repris un cocktail que j’ai bu d’un trait et je me suis dirigé vers lui.

… Et puis plus rien.

Je me suis réveillée le lendemain matin dans mon lit et j’ai paniqué immédiatement en me rendant compte que je ne savais pas comment j’étais arrivée là. J’ai vérifié qu’il n’y avait personne à côté de moi et j’ai passé mes mains sur mon corps pour voir comment j’étais habillée; J’étais en culotte avec mon top de la veille et ma tenue était pliée soigneusement sur le fauteuil en face du lit.

J’ai regardé l’heure: 10H20, il était temps de se lever. J’avais un léger mal de crâne mais je m’en sortais plutôt bien vu la soirée de la veille. J’ai marché jusqu’au salon et je me suis figée sur place en voyant Mickaël allongé dans mon canapé. J’avais du faire du bruit; il a ouvert les yeux.

— Mickaël: "Bonjour Jenifer".

Qu’est-ce qu’il foutait là ?! J’ai baissé les yeux vers ma culotte, inquiète de ce qu’il avait pu me faire cette nuit. Mickaël a compris les questions que je me posais.

— Mickaël: "Non ne n’inquiète pas. Je t’ai ramenée parce que tu étais fatiguée; Ton pantalon et ta veste étaient un peu tachés, je te les ai enlevés pour que tu sois bien. Je n’aurais peut-être pas du, je suis désolé".

Il a répété: "Je voulais juste que tu sois bien".

J’étais à ce point ivre morte la veille qu’il avait dû me coucher. J’avais honte et je ne savais pas trop quoi dire.

— Mickaël: "Je suis resté pour être sûr que tu n’avais pas de problème, je vais te laisser maintenant".

Il s’est levé joignant le geste à la parole.

— Moi: "Attends, je vais te faire un café".

Je me suis dirigée vers la cuisine en oubliant que j’étais en petite culotte et je lui ai dit que j’étais désolée qu’il m’ait vue dans un tel état. J’ai ajouté que ne buvais quasiment jamais.

— Mickaël: "Je veux bien te croire: en plus tu es un peu bavarde quand tu as bu".

A ces mots, tout m’est revenu. Je l’avais accaparé à la soirée des anciens et malgré ses conseils j’avais continué à boire en le tenant par le bras et en ne laissant personne d’autre l’approcher. Je m’étais donnée en spectacle mais il avait géré avec humour s’occupant de moi afin de m’éviter d’être ridicule face à nos anciens camarades. Vu mon état, il avait dû finir me ramener.

Une fois chez moi, j’avais fait n’importe quoi, je lui avais tout déballé: mes échecs sentimentaux, mon fameux plans, les sex toys que j’utilisais en pensant à lui, mes rencontres en boîte pour les travaux pratiques, mon coach hardeur et même la catastrophe avec Mustapha ! Je n’étais plus tout à fait sûre mais je pense que j’avais terminé en lui proposant de me baiser en m’attachant les mains dans le dos. J’avais dû m’endormir dans le couloir en allant chercher le matériel nécessaire dans la cachette de mes jouets pour adultes.

Comment pouvais-je être aussi conne ?

Je me suis assise par terre et j’ai pleuré le visage entre les mains. Mickaël a fini par se rendre compte que quelque chose n’allait pas et il est venu me rejoindre dans la cuisine. J’ai hurlé: " Va-t-en, je ne veux pas te voir, j’ai trop honte".

Malgré mes protestations, il m’a relevée et prise dans ses bras et j’ai pleuré contre lui pendant qu’il essayait de me réconforter.

— Mickaël: "Je ne parlerai de ça à personne si c’est ça qui t’inquiète"

— Mickaël: "Tu es juste malheureuse en ce moment. Ça passera, tu verras".

Je suis restée blottie dans ses bras jusqu’à ce que j’arrive à me ressaisir puis j’ai fini par le lâcher et je suis allée m’habiller. Je suis revenue quinze minutes plus tard aussi fraîche que possible et j’ai invité Mickaël au restaurant pour déjeuner et le remercier d’avoir pris soin de moi.

Je me sentais bien en sa compagnie et je crois que lui aussi; nous avons passé tout le week-end ensemble, il a même dormi une seconde nuit sur mon canapé. J’avais honte de lui avoir avouer toutes mes cochonneries mais il n’y a pas fait allusion une seule fois. J’essayais de me dire qu’il y avait des chances pour qu’il croit que j’avais déliré. Il se comportait comme un vieux pote prévenant, ne se laissant aller à aucun sous-entendu. C’était exactement ce dont j’avais besoin à ce moment là.

Le dimanche soir, il m’a laissée chez moi vers 20H. En le voyant partir, je lui ai dit: "On pourrait peut-être se revoir ?". C’était la première allusion à une possible relation amoureuse que l’un de nous deux faisait depuis le samedi matin.

"Normalement tu n’aurais même pas eu à me le demander, c’est moi qui te l’aurais proposé mais je pars en Chine dans 3 semaines. Tu sais, c’est le projet que j’avais déjà il y a 4 ans. Cette fois ça y est, je pars, sans doute définitivement".

La vie me détestait j’en étais certaine.

Cela m’est revenu: effectivement, déjà à l’IUT il avait fait des présentations et des dossiers sur son futur départ pour l’Asie.

J’ai fait mon sourire coquin:

" Cela nous laisse quelques soirées"

Il m’a embrassé sur le front.

"Ce n’est pas ce rôle là que je veux dans ta vie. Nous deux, ça ne peut pas être jusque quelques soirs. Moi aussi j’ai beaucoup pensé à toi depuis l’IUT".

Il s’est dirigé vers l’ascenseur, j’ai cru voir son armure briller: c’était bien lui mon prince charmant et le destin me l’arrachait.

Malgré ce que nous avions décidé, nous avons continué à nous voir presque tous les jours. Je l’aidais à préparer son départ, lui me faisait rire et me remontait le moral; C’était totalement platonique, amical même. Il n’y avait aucun geste équivoque, nous étions juste prévenants et attentionnés l’un envers l’autre; c’était assez très étrange. De temps en temps, je me blottissais tout de même dans ses bras mais c’était le seul écart que nous nous autorisions… j’adorais ces moments.

Les deux semaines ont passé trop vite, bientôt le jour où nous devions nous dire adieu est arrivé. Pour gagner quelques minutes supplémentaires, je l’ai même accompagné à l’aéroport, il avait l’air d’un condamné allant à l’abattoir alors que ce départ était sensé être le rêve de sa vie. J’avais l’impression qu’il n’attendait qu’une chose, que je lui demande de rester. Je n’ai pas osé, je ne pouvais pas lui faire ça: Nous n’étions même pas ensemble.

L’avion a fini par décoller, je n’ai pas eu le coeur de regarder.

Malgré ces adieux, nous ne nous sommes pas vraiment quittés. Deux jours après son arrivée, Mickaël avait déjà fait installer une connexion internet dans son appartement à Pékin; Nous avons parlé près de 4 heures sur skype dès ce jour là sans même nous en rendre compte.

Nous avons dû nous organiser à cause du décalage horaire: Je me levais à l’heure de sa pause déjeuner pour avoir 30 minutes "ensemble" puis il veillait tard pour que nous discutions au moins deux heures après la fin de ma journée au bureau, le week-end c’était pire. Parfois nous laissions skype tourner en continu et nous zonions tous les deux dans nos appartements respectifs en pyjamas et avec un micro-casque sur la tête. Tels de vrais geeks, nous limitions les sorties au maximums.

Nous étions fous amoureux l’un de l’autre, nous ne nous l’étions jamais dit mais vu ce que nous nous imposions, il n’y avait aucun doute. Il ne profitais absolument pas de son départ pour l’autre bout de monde et moi je ne faisais plus rien à part, travailler, dormir et passer le plus de temps virtuel possible avec lui.

Nous avons tenus deux mois sans jamais aborder le sujet de nos sentiments ou nos envies. Mais un jour c’est lui qui a rebattu les cartes.

C’était un week-end, j’étais en short et brassière devant mon PC.

— Mickaël: "Je ne t’ai demandé: les trucs que tu m’as dit le jour ou je t’ai ramenée de la soirée des anciens élèves… C’étaient des conneries ou alors il y avait un fonds de vérité ?"

Je ne m’y attendais pas du tout et je suis devenue instantanément rouge écarlate, j’ai caché mon visage avec les mains.

"T’es méchant ! J’ai trop honte de t’avoir déballé tout ça ce jour là et tu le sais"

Il a rigolé.

— Mickaël: "On va dire que je ne saurai jamais la part de vérité dans ce que j’ai entendu ce soir là. C’est pas plus mal comme ça. Ça me permet d’imaginer".

— Moi: "Arrête !"

— Mickaël: "Bon, puisque ça te gêne, je vais te dire des trucs honteux sur moi. Comme ça, on sera à égalité. D’accord ?"

— Moi: "Oui, je t’écoute. Que ce ne soit pas toujours moi qui ait la honte "

— Mickaël: " Finalement ce n’est pas si facile que cela".

— Moi: "Allez! Courage"

— Mickaël: " Parfois lorsqu’on est en chat, je prends des captures d’écran quand tu te penches ou que tu te lèves et que la webcam est à hauteur de tes fesses".

— Moi: "Petit vicieux ! Et tu en fais quoi ?"

J’ai rigolé et trémoussé mes seins devant la webcam pour lui montrer que je ne m’offusquais pas.

— Mickaël: " Et bien disons que cela m’est utile dans certaines situations, par exemple le soir lorsque nous coupons Skype. Comme tu as pu la remarquer, je n’ai aucune vie sociale ni aucune vie sexuelle".

Nous avons rigolé tous les deux. Cette fois, c’était lui qui rougissait.

— Moi: "Moi, je t’ai raconté bien pire que cela… Tu peux faire mieux !"

— Mickaël: "Tu es sûre ?"

— Moi: "Oui ! J’attends !".

Mickaël a joué le jeu, il m’a dit que lui aussi n’avait gardé personne très longtemps. Il avait peur de ma réaction mais il m’a expliqué pourquoi. Il ne savait pas d’où cela lui venait mais il était très différent dans sa vie sexuelle en comparaison de son comportement habituel. Il avait de gros besoins sexuels, en quantité mais surtout en intensité.

La plupart de ses ex avaient essayé de le suivre quelques temps sur ce terrain mais elles avaient toutes finies par abandonner. Il avait même suivi une thérapie mais sans grand succès.

— Mickaël: "Tu vois, je suis loin d’être un prince charmant".

J’avais envie de lui crier que je saurais le rendre heureux, que moi je m’en foutais, qu’il pouvait me menotter et me baiser à 4 pattes en me tirant les cheveux: Je le laisserais faire et en plus, il y aurait de grandes chances pour que ça me plaise !

J’ai préféré une réponse plus neutre:

— " Peut-être que tu ne dois pas changer, juste trouver quelqu’un qui soit compatible avec tes fantasmes".

— "Tu es drôlement tolérante. Je vais couper pour ce soir, je suis un peu gêné de t’avoir raconté tout ça".

J’allais lui dire qu’il ne fallait pas mais il a fermé skype avant que je puisse parler.

Les jours suivants nous avons repris nos habitudes sans revenir sur ses confidences. Cela ne m’avait pas refroidie, au contraire; J’étais encore plus persuadée que j’étais parfaite pour lui et inversement.

Une dizaine de jours plus tard, alors que nous allions couper skype, il m’a dit:

-"Il faut que j’arrête de t’appeler. Tu ne fais plus rien, tu ne sors plus. C’est égoïste de te retenir enfermé dans notre truc auquel je ne sais même pas donner un nom"

-"Ce n’est pas à toi de choisir pour moi. Pour l’instant, ne plus avoir ces moments avec toi tous les jours, ça me briserait le coeur. C’est ça que tu veux ?"

-"Bien sûr que non"

— "Mais tu vois bien que ça ne peut pas durer comme ça éternellement ?"

J’ai baissé les yeux.

— "Oui".

— Moi: "Vivons le au jour le jour"

— Mickaël: "Tout ce que tu voudras"

Nous avons coupé le chat: Pour la première fois après un appel ensemble, j’étais triste.

Le lendemain, nous avions le blues tous les deux mais le jour d’après Mickaël a commencé à être étonnamment enjoué. Il a raté quelques sessions me laissant seule et abandonnée devant mon PC,

j’ai pensé qu’il reprenait sa vie en main et recommençait à sortir.

Il a fini par me dire qu’il ne se connecterai pas pendant trois jours: il y avait sans doute une femme là-dessous. Comment le lui reprocher ? De toute façon, nous n’étions même pas ensemble.

Il m’a manqué horriblement et je me suis rendue compte à quel point toute ma vie ne tournait plus qu’autour d’un homme qui n’était même pas mon petit ami et habitait à l’autre bout du monde.

Le troisième soir de ce sevrage forcé, je me suis endormie à 5 heures du matin après avoir tourné dans mon lit pendant des heures. Heureusement, j’avais posé des congés pour les deux jours suivants.

J’ai été réveillée quelques heures plus tard par la sonnette de ma porte; Je maudissait déjà l’abruti qui ruinait ma grâce matinée mais j’ai changé d’idée quand j’ai vu Mickaël qui me tendait un bouquet de rose et tout un tas de paquets. Je les ai attrapé par le bras et je lui ai dis: "Ha Mickaël, c’est toi. Rentre".

J’étais tellement dans le gaz que j’ai eu besoin de 10 secondes pour réaliser.

J’ai laissé tomber les paquets et je me suis jeté dans ses bras.

— Moi: "Qu’est-ce que tu fais là ?"

— Mickaël: " Je n’en pouvais plus d’être loin de toi".

J’avais l’impression d’être dans un film romantique, j’attendais la musique du générique de fin; J’ai tendu l’oreille mais il n’y avait que quelques bruits de circulation provenant de la rue, c’était bien ma vie qui, enfin, semblait vouloir tourner dans le bon sens.

— Moi: "Mais ton rêve de vivre là-bas ? Ton travail et tout le reste ?"

— Mickaël: "Fini tout ça, j’ai d’autres projets"

Il m’a expliqué qu’il avait contacté des sociétés en France depuis Pékin et qu’il avait trouvé un poste dans une société qui travaille avec la Chine et qui était ravie de mettre la main sur un jeune cadre parlant Mandarin et ayant des contacts sur place.

Il avait également déjà loué un appart’à trois rues de chez moi dont il devait récupérer les clefs l’après-midi. Il avait mis tout cela en place ces derniers jours, je comprenais maintenant pourquoi il était si enjoué et moins disponibles depuis quelques temps.

Nous avions beaucoup de chose à (enfin) nous dire mais avec le voyage il n’avait pas dormi depuis 36 heures. Je l’ai laissé s’allonger dans mon lit et je suis venue à côté de lui ouvrir les cadeaux qu’il m’avait ramené: Des fleurs, une robe d’une boutique de luxe, un collier fantaisie, une paire de chaussures dont je lui avait parlé et une bague en or ainsi que des chocolats.

Je l’ai regardé interloquée.

— Mickaël: "C’était important, je ne voulais pas me tromper… Alors j’ai tout pris"

Je l’ai embrassé sur les lèvres en lui disant "je t’aime" et je l’ai laissé s’assoupir.

J’ai regardé Mickaël dormir quelques minutes, j’avais du mal à croire que ce qui se passait était réel: C’était vraiment en train de m’arriver !

Après ce moment de calme, j’ai pensé à tout ce que je voulais faire avant qu’il se réveille et je me suis levée puis mise à courir dans tous les sens.

En premier, j’ai appelé mon esthéticienne pour la supplier de me prendre en urgence et d’éradiquer tout poil qui aurait la mauvaise idée de se trouver entre le sol et mon joli petit nez. Par miracle elle a accepté si j’arrivais dans les10 minutes suivantes. J’ai fait le même cirque à mon coiffeur, la chance était enfin de mon côté; il a cédé également.

Cela m’a pris près de deux heures puis une fois revenue, j’ai un peu nettoyé l’appart’ et je me suis habillée avec un short en jean ultra court, des petites bottes marrons pas très hautes et un haut beige fluide qui donnait envie de regarder mes seins par les échancrures sous les bras ou le décolleté. J’avais mis de la lingerie beige également: un shorty et un soutien-gorge très pigeonnant. Je me sentais "à croquer", j’avais hâte que Mickaël me voit.

Je m’étais préparée pendant un an pour ce moment mais je ne savais pas vraiment quoi faire. J’ai pensé réveiller Mickaël en le suçant mais je me suis ravisée: c’était trop trash et de toute façon si je me référait à ce qu’il m’avait avoué, ce n’était pas la capacité d’initiative qui l’attirait chez une femme mais plutôt le fait qu’elle soit docile. Pour nos premiers câlins, il allait sans doute avoir envie de me prendre quand et comment il le déciderait; Lui enlever ce plaisir n’était pas une bonne idée.

Je n’ai pas eu le temps de plus réfléchir, j’ai entendu la douche couler signe que mon homme était réveillé. J’ai attendu dans le salon qu’il vienne me retrouver en essayant plusieurs postures, d’abord assise sur un fauteuil, puis debout, puis jambes croisées assise sur une chaise pour qu’il me voit de côté en arrivant. J’ai aussi essayé les tabourets hauts de la cuisine et finalement je me suis remise debout: C’était une torture !

Heureusement Mickaël est arrivé avant que je ne devienne définitivement cinglée. Il avait mis un pantalon de costume, des chaussures élégantes et un t-shirt gris à col en V plutôt moulant. Je l’ai trouvé trop beau avec ses cheveux pas tout à fait secs.

J’ai senti son regard me parcourir des pieds à la tête puis il s’est approché de moi, il m’a prise par la taille et il m’a serrée contre lui. Il a eu l’air satisfait de me sentir toute fine entre ses grandes mains.

— Mickaël: "Qu’est-ce que t’es belle"

J’ai levé mon menton et fermé les yeux, sa langue a pris possession de ma bouche, c’était exquis. Il m’a fouillé sans ménagement mais en me faisant tout de même ressentir une certaine douceur. Normalement cela aurait été trop intrusif pour un premier baiser mais c’était exactement ce dont j’avais envie.

J’ai poussé quelques gémissements et je me suis frottée contre lui pour lui faire comprendre que ça me convenait très bien, Mickaël a fait glisser une main vers le haut sur mes côtes et l’autre dans mon dos jusqu’à la plonger dans mes cheveux et légèrement tirer ma crinière en arrière.

Tous mes compteurs ont instantanément grimpé dans le rouge, je me suis sentie saliver malgré le ballet de nos langues, mes tétons ont durci jusqu’à me faire mal et ma petite chatte s’est ouverte et humidifiée. Je n’étais pas la seule à apprécier: la bosse que je sentais dans le pantalon de Mickaël contre mon short avait pris un sacré volume.

Mon prince charmant m’a amené jusqu’à la chaise la plus proche, il s’est assis et m’a placée à califourchon sur lui. J’ai senti ses mains sous mon t-shirt, mon dos est devenu une zone érogène tellement j’aimais le contact de mon amant sur ma peau. Nous nous sommes embrassés comme cela longtemps, je me frottais sur lui pour tenter de stimuler mon clitoris et mes seins qui en avaient tant envie; C’était hyper chaud. J’aurais dû avoir honte de ne pas savoir me tenir à ce point mais je m’en moquais: Nous méritions ce moment et je ne voulais pas me cacher, je mourrais d’envie qu’il me fasse tout ce qui lui passait par la tête.

J’avais envie de lui montrer dès ce premier baiser que j’avais compris ce dont il avait besoin et que je n’aurais pas de difficultés à l’assumer. Je lui laissais totalement l’initiative: je ne faisais que m’offrir et montrer que j’aimais tout ce qu’il pouvait me faire.

Je ne m’étais pas trompée, c’était bien la bonne méthode: Mickaël était bouillant contre moi. J’ai commencé à penser à sa verge, je me suis imaginée la sucer, la sentir écarter mes petites lèvres ou même mon cul s’il en avait envie. J’ai mouillé encore plus et malgré moi j’ai ondulé mon bassin plus intensément contre mon homme enfin retrouvé.

De nouveau, Mickaël a saisi mes cheveux et avec son autre main, il m’a serrée plus fort contre lui. J’ai adoré cela, tout mon corps s’ouvrait, je me suis mise à souffler et à pousser des gémissements coquins. Mickaël visitait toujours ma cavité buccale sans retenue, j’ai sentie ma tête tourner sans trop savoir si c’était l’excitation ou la privation d’oxygène qui me provoquait cela.

Mon homme a fini par me libérer; Ce premier baiser était le plus long que je n’ai jamais donné. Ma relation avec Mickaël serait différente de toutes celles que j’avais connu, c’était une évidence. J’espérais que lui aussi avait ce sentiment.

J’étais toute chamboulée, je sentais ma sueur couler entre mes seins et j’étais bonne pour changer de culotte… ou pour l’enlever si Mickaël avait envie de me faire l’amour.

D’un coup, il a regardé sa montre.

— Mickaël: "Bordel, je suis déjà en retard pour récupérer les clés de mon appart’. Tu viens avec moi ?"

J’ai filé sans la chambre changer de sous-vêtements et nous sommes sortis mains dans la main.

L’appartement de Mickaël était vraiment tout près du miens, nous sommes arrivés en moins de 5 minutes. Le propriétaire m’a regardé avec envie; il est vrai que ma tenue était un peu limite pour se promener dans la rue: tant pis !

Mickaël avait choisi un trois pièces assez grand et déjà meublé. La déco et les meubles étaient clairement haut de gamme: je me voyais très bien me faire attraper un peu partout dans ces 90 mètres carrés.

Une fois les papiers signés, j’ai senti le propriétaire laisser trainer une nouvelle fois ses yeux sur mes seins et mes fesses. Je l’ai fixé alors qu’il remontait jusqu’à mes lèvres, il a vu qu’il s’était fait gaulé et ne savait pas quoi dire. J’ai écarté mes bras et j’ai pivoté doucement sur moi-même en posant un doigt sur ma bouche.

— Moi: "C’est bon ? Vous avez fini ou il faut que je continue de tourner pour que vous puissiez tout voir ?"

Mickaël a rigolé puis il a montré la porte au vieux vicieux.

Une fois seuls, il m’a agrippée par les hanches et m’a de nouveau fourré sa langue dans la bouche. J’ai miaulé et défait le bouton de mon short, Mickaël l’a fait descendre et a fait glisser ses mains sous ma culotte pour m’empoigner les fesses.

Enfin ! Nous sommes tombés en arrière sur le fauteuil, j’ai enlevé mon t-shirt et le sien. Quand il a vu mes seins, il les a fait jaillir de ma lingerie pour les lécher goulûment et dans le même mouvement, il a enfoncé sa main dans ma culotte par l’arrière pour directement faire glisser deux phalanges de son majeur dans ma chatte toute humide.

J’ai fermé les yeux pour me concentrer sur la sensation d’aspiration qui alternait sur chacun de mes tétons et sur le doigt de mon homme que je sentais glisser avec délice en moi. J’étais au Paradis; Et dire que ce n’était qu’un simple préliminaire.

Je me suis abandonnée comme je ne l’avais jamais fait. Mes sensations m’ont surprise, c’était tellement bon que je me suis presque sentie m’évanouir. Quelques instants plus tard, tirée de mes rêves, j’avais l’impression d’avoir joui des seins. Etait-ce seulement possible ? J’ai repris mes esprits: j’avais dû jouir en me faisant doigter et reporter la perception sur les sensations divines que je ressentais sur ma poitrine.

Mickaël m’a enlevé mes vêtements et m’a installée au bord du canapé avant de me relever les jambes et de me dire: "Tiens tes cuisses bien écartées". J’ai obtempéré immédiatement, il était comme je le pensais: je n’avais qu’à obéir et jouir ou serrer les dents… et parfois les deux en même temps. Tout cela m’allait très bien.

Je me suis tout de même dit que j’avais bien fait de me préparer pour cette rencontre malgré tout ce que cela avait pu me coûter.

J’ai maintenue mes jambes repliées ramenées de chaque côté de mon ventre, j’étais offerte autant qu’on peut l’être, je ne cachais absolument rien… j’avais bien fait de passer chez l’esthéticienne.

Cette pensée m’a fait sourire mais au même moment Mickaël a posé ses lèvres contre mon clitoris, il m’a léchée doucement puis plus vite alternant les degrés de pression sur mon corps en feu. J’ai tout adoré. Il s’est reculé au bout de quelques instants et a craché plusieurs fois sur ma petite chatte.

J’ai sursauté puis j’ai fermé les yeux en respirant plus fort; C’était complètement dingue de me faire un truc pareil lors d’une première fois ! Cela aurait du me refroidir mais au contraire, cela m’a troiublée encore un peu plus. Le mélange de sa salive et de mes sécrétions a coulé entre mes fesses barbouillant ma rosette. Je n’avais plus qu’une envie, qu’il joue avec mon petit cul également.

Mickaël n’en a pourtant rien fait, il a continué à électriser ma chatte, mes lèvres et mon clitoris; J’ai joui à deux reprises, une fois lorsqu’il a aspiré mon bouton et une seconde lorsque j’ai eu l’impression qu’il me baisait plus loin avec ses langue que certains de mes premiers amants avec leur verge.

A ce second signal, mon amant m’a allongée sur le dos sur le large canapé. C’est là que j’ai vu sa queue, je n’ai pas retenu un petit sourire. Il était aussi long que Mehdi et sans doute un peu plus large.

Mickaël s’est allongé sur moi, j’ai instinctivement remonté mes jambes pour serrer ses hanches avec mes genoux.

— Moi: "J’ai tout aimé. Tu me fais mourir de plaisir. Je veux que tu kiffes autant que moi".

Il m’a embrassée et m’a rassurée en me disant qu’il m’aimait et que je ne devais pas me mettre de pression. Ce soir, nous ne faisions que nous retrouver, nous aurions tous les jours que nous voulions pour nous combler l’un l’autre.

De nouveau, j’ai fermé les yeux et laissé le plaisir m’arracher soupirs et gémissements en sentant mon homme lentement progresser en moi. Il me baisait avec une grande douceur et malgré sa queue aux proportions envahissantes, je ne ressentais pas du tout sa présence dans mon ventre comme une agression. J’avais une impression de plénitude, comme si son sexe en moi était ce qu’il m’avait toujours manqué.

Je crois que j’ai joui de nouveau mais mes sensations étaient confuses, j’aimais tellement ce que Mickaël me faisait et j’étais tellement heureuse d’enfin faire l’amour avec lui que j’avais l’impression que ce moment tout entier était une sorte de long extase.

Je crois que Mickaël sentais que j’étais dans un état second; Il m’a embrassé fougueusement à nouveau, je l’ai sérré aussi fort que je pouvais tout en ouvrant grand la bouche et j’ai de nouveau eu la tête qui tournait.

J’ai senti que Mickaël me prenait un peu plus fort et vraiment jusqu’à la garde cette fois. Sa langue me fouillait toujours, c’était meilleur que jamais. Puis enfin, je l’ai senti se raidir, j’ai senti les contractions de son sexe en moi. Mes petites lèvres devaient s’écarter autour de lui à chaque spasme, j’ai adoré ressentir cela même si je ne suis pas certaine que ce soit vraiment avouable.

Mickaël s’est extrait de mon ventre et m’a mise dans la position de la cuillère, il s’est collé contre moi et m’a serrée dans ses bras bienveillants: Je me suis sentie merveilleusement bien. Mon amant m’a embrassé dans le coup et félicité d’être aussi belle.

Je me suis assoupie blottie contre lui malgré sa semence qui s’écoulait entre mes cuisses.

J’ai rouvert les yeux une trentaine de minutes plus tard. Mickaël avait mis une main entre mes seins, il me serrait contre lui et m’embrassait toujours dans la nuque. J’ai sentie ses doigts presser un peu plus mon sein droit et sa verge se tendre contre mes fesses. J’ai repensé à notre première fois et j’ai poussé un soupir en me sentant mouiller de nouveau.

Mickaël a dû sentir mon trouble; Il a saisi sa queue redevenue raide, il l’a amenée contre ma fente et j’ai senti qu’il replaçait ses doigts sur ma hanche.

— Mickaël: "Empale toi sur ma queue"

J’ai ondulé mon bassin puis j’ai poussé mes fesses en arrière en sentant le gland de mon homme aligné sur mon vagin. Je me suis "empalée" comme il l’avait demandé: en une seule fois et jusqu’aux couilles. Il m’a tellement remplie que je ne pouvais plus parler.

J’ai essayé de gigoter sur sa queue au fond de mon ventre mais j’étais comme bloquée par ce pieu dans mes entrailles. Comprenant mes difficultés, mon homme a ressorti sa verge presque en totalité.

— Mickaël: "Reprends tes esprits mon amour"

J’ai respiré 4 ou 5 fois, j’allais lui dire merci mais il a réinvesti mon intimité en totalité. J’ai poussé un soupir larmoyant puis crié un "oui, oui, oui" en le sentant cogner au fonds de moi.

— Mickaël: "Reste comme ça".

De nouveau, j’étais prise jusqu’à la garde. J’ai respiré lentement puis j’ai commencé à faire rouler mes hanches et à dandiner mon postérieur. J’apprivoisais la sensation d’être ainsi remplie et c’était de plus en plus agréable. Je me sentais lubrifier la queue de mon homme de l’intérieur en gigotant autour; J’ai commencé à miauler de plaisir, finalement j’adorais cela.

Mickaël a laissé l’intensité monter quelques minutes puis il a posé un doigt sur mon clitoris. J’étais hypersensible vu ce que nous faisions déjà et j’ai couiné dès le premier contact. Il m’a caressé doucement alors que je massais toujours sa queue avec mes muqueuses, c’était incroyable.

— Mickaël: "Serre tes tétons avec tes doigts"

Je n’ai même pas cherché à comprendre, j’ai juste fait ce qu’il disait. Mon homme avait raison, la sensation s’est couplée aux autres dans un plaisir que je n’avais pas encore expérimenté.

— Mickaël: "Serre plus fort"

J’ai serré mes pauvres bouts roses, deux décharges m’ont parcouru les seins mais j’ai maintenu la pression comme il me le demandait. Je n’ai pas pu m’empêcher de crier. Mon amant à activé ses doigts sur mon clitoris, cela m’a fait me tordre sur sa colonne plantée dans mon ventre. J’ai eu l’impression de jouir de partout en même temps.

En revenant sur terre, j’ai senti une seconde fois les spasmes dans la queue de Mickaël, signe qu’il crachait de nouveau sa semence en moi. Cela avait été vraiment intense mais aussi très troublant. Malgré tout ce que je ressentais pour Mickaël, il m’en demandait déjà beaucoup pour un premier soir.

Je me suis blottie dans ses bras en gardant la même position, serrée contre mon amant. Il a senti ma gêne et lu en moi comme dans un livre ouvert.

— Mickaël: "Je sais que j’en demande beaucoup mais je ne veux pas te mentir ou faire semblant. Je suis comme ça et je le serai toujours".

Au moins, il était honnête. J’ai respiré quelques secondes puis j’ai relativisé: je venais d’avoir deux des meilleurs orgasmes de ma vie, j’étais folle de lui et je m’étais préparée avec Mehdi et mes amants des 12 derniers mois pour gérer la tornade de sensations que Mickaël allait me proposer. Il n’y avait pas de quoi paniquer au contraire. J’étais faite pour lui !

— Moi: "J’ai adoré, ne t’inquiète pas. C’était troublant, C’est tout."

Je l’ai embrassé sur la main et je me suis fait toute petite dans ses bras.

Nous étions toujours en cuillère, la queue de mon chéri contre mes fesses. Je sentais qu’il caressait doucement mes seins avec sa main droite, tout cela était très agréable.

40 minutes avaient passé depuis mon dernier orgasme et le temps s’était comme arrêté. Je me sentais toute poisseuse de ma ciprine et des deux éjaculations de Mickaël qui s’écoulaient encore de ma chatte. Je m’étais remise de mes émotions et j’étais maintenant totalement sous le charme de ses retrouvailles. Toute mon intimité était ouverte et souple, comme si mon corps se préparait à un nouvel assaut. Même mon petit cul que mon homme n’avait pourtant pas encore touché me semblait prêt, ramolli comme après un anulingus et baveux de sécrétions.

Sans trop y réfléchir, cette idée m’a amené à doucement onduler mes fesses. Je sentais la chaleur du corps de Mickaël, c’était bon comme de danser un slow torse nus avec son amoureux. Mickaël m’a embrassée dans le cou, j’ai baissé ma tête vers l’avant pour qu’il continue et j’ai gémi tout en continuant de rouler mes hanches.

J’ai senti mon amant passer sa langue dans ma nuque. Cela m’a envoyé une petite décharge et je me suis cambrée en ronronnant mais c’est là que j’ai senti contre mon postérieur l’imposante virilité que j’avais réveillée.

Mickaël s’est un peu décollé de moi, j’ai senti qu’il bavait sur ses doigts et qu’il les amenait près de mes fesses. J’ai avalé ma salive doucement réalisant d’un coup que mon amant ne jouait plus.

— Mickaël: "Cambre toi bien"

— Mickaël: "Oui, comme ça. C’est bien"

Il a commencé à masser le tour de mon anus mais j’étais déjà "molle" et humide à souhait.

— Mickaël: "Ouvre bien"

C’était incroyablement grossier ! … Mais j’ai obtempéré avec docilité tendant mon cul pour l’offrir à mon amoureux.

Il a poussé ses deux doigts en moi, la sensation de pénétration a été très douce, à peine douloureuse mais tendre et intense à la fois. Il n’a fait que quelques aller-retours, j’étais prête autant qu’on peut l’être.

Mickaël s’est collé contre moi, il a fait glisser son gland contre mes grandes lèvres et il ramené une partie du mélange de liquides entre mes cuisses vers ma rosette puis il a fait tourner sa pointe contre ma petite porte. Je l’ai ressenti comme une caresse et j’ai miaulé langoureusement puis il a recommencé. J’ai pensé à mon cul lubrifié par un mélange de salive, de mon jus et de son foutre: C’était un peu la honte de le laisser me mettre dans un état pareil !

Je n’ai pas eu le temps de plus y penser, j’ai senti le gland de Mickaël commencer à écarter ma corolle et cela a occupé tout mon esprit. Il a fait de petits cercles suivis de premiers peu intrusifs vas et viens pour aider ma corolle à accepter sa queue.

Il s’y prenait divinement, ma rosette s’est écartée quasiment sans douleur finissant après quelques minutes par entourer son gland entièrement enfoncé.

Il a continué à progresser en moi tout aussi tendrement en me serrant contre lui et en n’embrassant sur l’épaule. Je me laissais aller, aussi ouverte que possible en fermant les yeux et en ouvrant la bouche. Je soupirais à chaque pénétration: malgré cette imposante présence dans mon fondement, je n’aurais échangé ma place pour rien au monde.

Je ressentais sa taille avec mon cul encore mieux qu’avec mon vagin quelques minutes plus tôt, c’était bien la queue la plus large que je n’ai jamais accueilli. Pourtant, grâce à sa douceur et à mon rectum souillé de nos sécrétions, elle glissait en moi avec une certaine facilité dans un contact aussi moelleux qu’humide.

J’étais submergée par une multitude de sentiments et de sensations contradictoires. Mickaël m’enculait pour notre premier soir ce qui n’est pas très romantique mais en même temps cette sodomie m’apparaissait comme le rapport sexuel le plus tendre que j’ai vécu.

J’ai continué à m’offrir en gémissant, c’était intense mais je n’avais aucune envie que cela s’arrête. Il avait maintenant envahi mes entrailles dilatées comme rarement mais je sentais qu’il ne me prenait pas tout à fait à fonds. Il gardait quelques centimètres de sa virilité en dehors de mes petites fesses, je crois qu’il me sentait apprécier ce moment et qu’il ne voulait pas non plus trop en faire pour cette première fois.

J’ai continué à soupirer lascivement, montrant à mon amant que je serai celle qui le satisferait comme aucune autre. Puis à un moment, il a très légèrement basculé ma hanche vers l’arrière tout en ralentissant le rythme de ses pénétrations.

J’ai senti mes joues devenir rouges et mon anus s’ouvrir encore un peu plus. Mes sensations étaient parfaites, c’était un équilibre instable mais je n’avais jamais autant eu de plaisir en sentant un sexe en moi que ce soit devant ou derrière.

J’ai gémi et dit Mickaël ce que je ressentais; Il s’est appliqué à me garder sur la crête de mon plaisir en me conservant exactement dans la même position et en appliquant un rythme de métronome entre mes fesses. Je me suis sentie baver, j’ai serré les mains de mon homme puis j’ai été emportée toute entière par mon premier véritable orgasme anal. J’ai crié et ma corolle s’est contractée par spasmes autour de la verge qui l’avait tant satisfaite. Mickaël n’a pas résisté et il m’a abondamment éjaculé dans l’anus.

Quand je suis revenue sur terre, j’ai sentie qu’il continuait quelques vas et viens, faisant ressortir son sperme chaud entre mes fesses à chaque pénétration. C’était aussi bon que dégoutant mais je n’en étais plus là; j’ai tendu mon cul pour profiter quelques instants encore de sa délicieuse présence en moi.

Il aurait mérité que je

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