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Jeune et salope, une autostopeuse comme je les aime – Chapitre 1

Jeune et salope, une autostopeuse comme je les aime - Chapitre 1



Suite de mes aventures avec Anne-laure, ma jeune coiffeuse.

On vient de passer un long week-end très chaud chez son oncle, et nous voilà sur le retour.

On a quitté tonton depuis dix minutes que l’on arrive à l’entrée de l’autoroute pour un long trajet de plus de 700 bornes.

On est au péage, deux voitures devant nous, et j’aperçois une minette qui fait du stop juste après les barrières. Elle est en short et tee-shirt, les bras levés tenant une pancarte avec sa destination. Elle me fait de l’effet et je ne manque de le dire à ma petite copine:

— Ouah, la salope, dommage que tu sois là, je l’aurais bien embarquée. Je suis sûr qu’elle cherche cette pute.

— Mais si voulez la prendre, ne vous gênez pas. J’ai partagé votre queue avec tonton, je peux la partager avec elle.

Les voitures devant moi défilent et je prie pour qu’aucune ne s’arrête à sa portée. Je passe enfin et elle est toujours là. Son panneau indique une ville de la côte, à 50 kilomètres de chez nous, et elle est toute heureuse de monter dans la voiture.

Anne-laure entame la conversation et se présente comme ma nièce Patricia, celle dont je lui ai parlé et que j’aimerais bien me faire. Elle la fait parler et je sais qu’elle se prénomme Camille et qu’elle a 22 ans. On roule depuis quelques minutes que ma compagne me demande de m’arrêter à la prochaine aire pour faire pipi. Camille l’accompagne et elles reviennent en discutant et rigolant comme deux bonnes copines. Je reprends la route et elles entament une conversation pour le moins coquine:

— Tu es toujours dans cette tenue pour faire du stop?

— Oui, pourquoi? Elle est correcte, non!

— Oui, si on veut. Il me semble que ça fait un peu allumeuse.

— Oui c’est vrai, mais j’ai plus de chance d’être prise.

— Et tu n’as pas peur de tomber sur un vicieux qui te fasse des propositions.

— Ca m’est arrivé, mais ce n’est pas un problème.

— Attends, tu veux dire que tu es prête à baiser pour voyager!

— C’est rare d’aller jusque là, ça ne m’est arrivé qu’une fois. En général ils se contentent d’une bonne petite pipe.

— Et si c’est un vieux, tu le suces aussi?

— Oui, c’est ceux que je préfère. L’idéal c’est un vicieux de 60 ans avec une grosse queue.

— 60 ans et une grosse queue! Hé, mais c’est le portait de mon tonton que tu fais.

Je n’ai rien dis jusque là, mais j’interviens:

— A quoi vous jouez les filles? Et toi comment tu peux savoir si j’ai une grosse queue ou pas?

— Je ne sais pas, mais je sais que tu bandes quand tu me reluques de ton il cochon, et c’est comme cela que je l’imagine. Et puis je lui ai dit ce que tu pensais d’elle au péage.

— Mais qu’est-ce que tu racontes, je t’ai juste dit qu’elle était jolie.

— Te fatigues pas tonton, tu m’as dit que c’était une pute, une salope, et elle semble d’accord avec toi. Et comme tu l’as entendu je crois qu’elle aimerait bien te sucer.

Je demande à Camille ce qu’elle en pense, et elle confirme les propos de ma soi-disant nièce.

Je m’arrête sur un espace téléphone secours, et je demande à Anne-laure de prendre le volant. Je récupère une serviette dans le coffre et la fixe à la fenêtre arrière, côté chauffeur, pour ne pas être vu par ceux qui nous doubleront. Je monte à l’arrière à côté de Camille, et on repart.

Je défais mon pantalon, le baisse aux chevilles ainsi que mon slip, puis dégage une jambe pour pouvoir écarter mes cuisses et offrir mon paquet à notre passagère. Elle se met en place, et m’embouche sans hésitation. Elle me suce, me branle, me fait vite bander:

— Tu avais raison Patricia, elle est grosse la bite de ton oncle. Il ne te l’a jamais offerte?

— Non, il n’ose pas, mais je sais qu’il ne pense qu’à çà.

— Et tu serais prête à le sucer?

— Oui et même plus, surtout que tu me dis qu’il a une grosse queue.

— Plus! Ca veut dire quoi?

— Je sais qu’il mâte mon cul sans arrêt, qu’il doit fantasmer dessus, et je pourrais lui offrir s’il veut.

J’interviens à nouveau:

— Bon, ça suffit vos conneries. Patricia, ma nièce chérie, tu la fermes, tu te concentres sur ta conduite et tu nous laisses tranquille Camille et moi. On discutera ce soir tous les deux.

Elle la met en veilleuse et Camille reprend sa turlutte experte:

— Humm, tu suces bien petite salope; tu permets que je te dise salope?

— Oui, j’ai l’habitude, et si ça t’aide à bander ne te gênes pas.

— Ok, ça marche. Tu suces à fonds?

— Oui, bien sûr, tu peux jouir dans ma bouche, je prends tout ce que l’on me donne. Mais ne jouis pas trop vite, on a tout le temps, elle est belle ta queue et j’ai envie de sucer longtemps.

— Tu es une petite coquine, toi. Rassures toi on va prendre le temps, et quand tu m’auras bien pompé je te boufferais la chatte si tu veux bien.

Elle cesse de parler et me suce avec application, tandis que je lui balance des obscénités:

— C’est bon ça madame, c’est de la bonne petite vicieuse qui aime la bite des vieux. Oh tu pompes bien salope, j’aime comme tu la prends toute……………………oui, lèche moi les couilles, c’est bon ça aussi, bouffe les, putain…………………………….

Elle me suce pendant une bonne heure, et je vais décharger. Je la préviens et elle s’applique à tout recevoir et tout avaler. Elle me regarde et me demande si ça m’a plu. Bien sûr que j’ai aimé, j’ai adoré, elle est très douée. Je lui demande si elle embrasse et on se roule une pelle.

Comme je lui ai déjà proposé, je vais maintenant lui bouffer la chatte. On change de place pour être protégé par la serviette, et je défais son short que j’enlève, suivi de sa culotte. Elle a les cuisses grandes ouvertes et je plonge ma gueule vorace. Elle est de suite réceptive à ma langue, et j’ai à peine fini de laper sa mouille qui a coulé quand elle me suçait, qu’elle a un premier orgasme qui inonde sa fente. Je lèche tout avec des ssllupp bruyants:

— C’est bon vieux cochon, mais quand tu parlais de me bouffer c’était vraiment au premier degré.

— Ne t’inquiètes pas je ne lui veut que du bien à ta chounette. Ca te plait?

— Oui, tu n’as pas la délicatesse d’une femme, mais tu es aussi efficace. Tu vois j’ai déjà jouis une fois, et si tu continues comme ça je vais jouir à la chaîne.

— Ne t’en prives pas, je peux te lécher aussi longtemps que tu veux, elle est trop bonne ta mouille.

Je la lèche, je la bouffe, je la broute, je la bois. Elle enchaîne orgasme sur orgasme, elle gueule à chaque fois sans retenue puisque personne ne peut l’entendre. Elle m’encourage, me félicite, et me balance quelques petites insultes: vieux cochon, vicieux, gros porc, salaud…………………………….

Je ne compte plus le nombre de fois où elle m’a offert sa délicieuse liqueur, lorsque Anne-laure sort de son silence pour nous dire qu’il serait peut-être temps de s’arrêter pour déjeuner, et qu’il y a une aire de repos à dix kilomètres. En effet il est 12h25 et on n’a pas vu le temps passer. Camille se rhabille après s’être bien essuyée et mis des mouchoirs sans sa culotte pour ne pas tâcher son short serré.

On est attablé à la cafétéria, à l’écart de tout le monde, et on peut discuter tranquillement. Je dis à Camille qu’elle très jolie, très bonne, et lui fait une proposition: on termine la soirée chez moi tous les deux, et puis je l’emmène à sa destination. Mieux encore, si elle n’est pas pressée on peut passer la nuit ensemble, et je la conduis le lendemain. Elle n’a pas le temps de répondre qu’Anne-laure se rebelle:

— Ah non tonton, ce soir c’est à mon tour de m’amuser, tu me l’as promis.

— Mais pas du tout, je t’ai juste dis que l’on devait discuter.

— Oui, mais tu m’as dis ce soir, et j’imaginais déjà comment ça allait finir.

— Désolé Patricia, mais on aura d’autres occasions, tandis que Camille je n’ai que cette chance et je serais bien con de me passer d’une aussi bonne petite salope.

— Eh bien non, tu n’auras pas une autre occasion. Si tu me veux, si tu veux le joli cul de ta nièce Patricia, c’est ce soir ou jamais. Tu as compris?

Camille sent que ça s’envenime, se sent un peu fautive alors qu’elle n’y est pour rien, et propose une solution: une baise à trois. Je trouve l’idée excellente, ma soi-disant nièce un peu moins n’ayant jamais pratiqué les femmes. Camille use de tout son charme pour la persuader et lui propose même une première initiation à l’arrière de la voiture tandis que je conduirais. On tombe d’accord.

On a fini de manger, Camille va aux toilettes et je suis seul avec Anne-laure, ma coiffeuse:

— C’est quoi cette histoire d’oncle et nièce que tu as inventée?

— Vous nous avez dit que vous enviez d’elle, alors j’ai pensé jouer son rôle pour vous faire plaisir.

— Et quand on baisera ce soir ça ne te fait rien que je pense à elle, et pas à toi,?

— Non, j’aurais votre queue, c’est tout ce qui compte, surtout que vous serez sans doute bien excité à l’idée de vous faire votre pute de nièce. Et puis moi je penserais à mon vrai tonton.

— Ok, tu vas prendre pour elle, je vais me défouler sur toi, ça peut-être intéressant. Mais il ne faudra pas se mélanger les pinceaux devant Camille.

— On s’en est sorti jusque là, vous avez bien vu! Et puis si on se plante c’est pas grave, elle en a rien faire de nos liens, ce qui l’intéresse c’est de baiser avec nous.

Camille revient et on repart à la voiture.

Je prends le volant et les filles s’installent à l’arrière. Camille entreprend sans tarder des caresses et des baisers en s’adressant gentiment à sa partenaire pour lui dire de se détendre, de se laisser faire. Elle a du lui ôter la culotte si j’en juge par leurs paroles (elles parlent à voix haute pour que je suive leurs ébats):

— Elle est belle ta chatte, ouvre bien tes cuisses et détends toi. Elle sent bon, j’en ai trop envie…………………..

.humm c’est bon ma langue dans ta fente, tu aimes?

— Ouiiii, tu me fais du bien, je n’aurais jamais cru prendre du plaisir avec une fille.

— Attends, ça ne fait que commencer, je vais te lécher mieux qu’aucun homme ne l’a jamais fait. Ils sont tous mauvais par rapport à nous les femmes, sauf ton oncle, c’est vrai qu’il lèche bien ce salaud.

— Ouiiii, ouiii, tu me fais jouir, elle est bonne ta bouche……..oui, bois moi, tu l’aimes ma mouilles?

— Elle est délicieuse, je pense que ce soir il y a un tonton qui va se régaler.

J’interviens:

— Je m’en fous de sa chatte, je te la laisse. C’est son cul que je veux, son cul et sa bouche. Et si elle est bien sage je verrais pour sa choune. En attendant continue à lui brouter le minou, et n’oublie pas de lui offrir le tien ensuite. Je veux qu’elle apprenne à lécher, je veux vous voir vous gouiner ce soir.

Elle continue son cunnilingus tout en discutant pour que je suive: je sais qu’elle s’occupe bien de sa fente, mais aussi de ses lèvres, et surtout de son clito. Elle l’a bien décapuchonné, fait bandé comme une petite bite, le masturbe, le lèche, le suce, et cette salope d’Anne-laure hurle de plaisir en ne jurant que par les femmes.

Elle finit par demander grâce, n’en peux plus, et elle vont inverser les rôles.

La séance se répète à l’identique, et il semble que ma petite copine inexpérimentée soit très douée, mais surtout y prenne beaucoup de plaisir. Quant à Camille, et après tout ce qu’elle a dégouliné quand je l’ai léché, sa cyprine est toujours aussi généreuse, inépuisable, une vraie fontaine à mouille.

On approche du péage, et elles se rhabillent et enlèvent la serviette de la vitre.

A suivre…

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