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J'offre ma femme à notre fils – Chapitre 6

J'offre ma femme à notre fils - Chapitre 6



Lise avale sans rechigner la semence abondante qui coule dans sa gorge, elle se lèche les lèvres pour ne pas en perdre une goutte. Sa langue rapeuse, monte et descend sur ma hampe veineuse à la recherche du précieux nectar. Paul c’est écarté des cuisses de ma femme, retire rapidement son pantalon et son boxer. Un membre gros comme le poing d’un enfant se dresse entre ses cuisses musclées. Son engin volumineux, courbé comme une banane est impressionnant à voir, ma femme et subjuguée, elle écarquille les yeux pour bien voir le manche de chair.

— Jamais il entrera en moi il est énorme ?

— Ne t’inquiète pas maman ton vagin va s’habituer à lui crois- moi !

Paul le dirige contre le vulve dégoulinante et le frotte contre les lèvres entre ouvertes, ma femme soupire à chaque fois que le gland touche son clito hyper-gonflé.

Paul l’agace en faisant plusieurs pression de son gland contre le bouton d’amour. Il prend ma femme par les hanches et pousse lentement, elle grimace, le monstrueux pal s’enfonce sans interruption jusqu’à la garde. Notre fils prend place dans un fauteuil, et me fait un clin d’il complice, je lui souris, sa queue et comme la mienne tenues comme jamais, il la caresse pour qu’elle ne baisse pas la tête, je fais de même. Lise s’approche du duo, elle pose ses doigts fins sur les mamelons de ma femme, les roule entre ses pouces et ses index, les bougres prennent du volume, ils enflent à chaque pression.

Les doigts habiles ne cessent de les triturer, les bouts deviennent énorme, ma femme grogne comme un animal.

Paul fait de violents va-et-vient, à chaque enfoncement de son mandrin ma femme sursaute, le pieu monstrueux qui coulisse dans la gaine lubrifiée naturellement, prend de la vitesse. Les coups de butoir sont brutaux, ma femme râle de plus en plus. Lise gobe un mamelon le tète sauvagement, le titille longuement (la garce sait y faire), avec ses dents elle l’étire à la limite de la rupture. Elle fait subire le même traitement à l’autre téton, les bouts deviennent douloureux, ma femme grogne comme une bête blessée, mais cela à l’air de lui plaire, car elle agite son bassin sur le pal monstrueux, s’agrippe à Paul et commence à donner de violents coups de reins pour s’empaler plus profondément. Ryan encourage sa maman.

— Oui maman donne -toi à fond bouge bien sur la queue de Paul, oui comme ça ouah, prends ton pied maman chérie !

La queue luisante de cyprine démonte ma femme comme jamais elle ne l’a été. Lise délaisse les mamelons, et ouvre la petite mallette, elle en sort un vibromasseur de bon diamètre. Paul comprend ce qu’elle désir faire, il ressort sa queue de quelques centimètres.

Lise pose contre la vulve trempée l’arrondi de l’engin et l’autre extrémité contre le bas-ventre de son mari. Paul pousse doucement, les deux engins s’enfoncent lentement, ma femme grimace et souffle comme un animal prit au piège.

La progression est lente, ma femme ouvre la bouche mais aucun son n’en sort, ses yeux sont exorbités.

À mi-chemin Lise actionne la vibration, ma femme se cabre en poussant un ouah terrible. Son ventre et agité de soubresauts, Lise augmente la vibration. Ma femme s’accroche fortement à Paul qui commence à la démonter vigoureusement. Ryan se branle énergiquement tout en regardant la chatte distendue de sa maman. Il serre sa queue prête à exploser, il l’étrangle fortement pour que sa semence ne gicle pas.

La double queue qu’a sa maman a en elle, le rend fébrile, il ne perd rien du va-et-vient vigoureux. Il se lève subitement de son fauteuil et gicle sur le corps de sa maman en s’écriant :

— Maman maman tu me rends fou, je t’aime je t’aime maman chérie !

Moi je souris, je suis fier que Ryan adore sa maman, cela m’excite même.

Les assauts répétés de Paul viennent à bout de la résistance de ma femme, elle se cabre et pousse un hurlement de jouissance. Son corps est secoué de spasmes violents, elle halète comme un chienne en rut, c’est grognements rauques sont terribles. Ryan et en admiration devant sa maman, il ne peut s’empêcher de dire :

— Mon Dieu maman comme tu jouis bien !

Sa queue n’a pas débandée, elle a des soubresauts, on peut voir dans les veines gorgées de sang battre le pouls. Paul ne délaisse pas ma femme, il la défonce comme il se doit, ses coups de reins brutaux la font gémir. Remplit par les deux engins elle geint comme une dératée, elle divague:

— Oui non encore assez oui oui non non encore !

— Ryan Ryan mon chéri, je vais jouir !

Elle se raidit et explose pour la énième fois. Lise retire doucement le vibromasseur, et le passe plusieurs fois sur l’anus secoué de spasmes. Elle sourit, ma femme serre les dents, elle soupire, la queue qui la fore lui procure un bien intense, elle s’ouvre davantage, Lise appuie sur le vibromasseur, l’anneau anal avale lentement la bite factice.

Enfoncée un maximum dans le cratère en ébullition, l’engin de silicone fait couiner ma femme comme une truie, la vibration intense de l’engin la fait pâmer.

Lise s’évertue à lui frotter le clitoris, son bouton et hypertrophier lui donne un plaisir insoupçonné, elle râle comme une chienne en rut. Ryan offre sa queue gluante à sa maman. Lise l’en empêche, elle place sa bouche sur les lèvres de ma femme, sa langue cherche la sienne, elle se nouent, les salives se mêlent, le baiser dur un bon moment. Avec sa main, Lise étire un mamelon, ma femme pousse un cri de douleur, Paul en profite pour accélérer la cadence, il redouble ses coups de butoir.

Le vibromasseur et à la vitesse maximum, les vibrations terribles qu’il procure dans le rectum de ma femme, la font râler comme un animal. Brusquement elle se cabre, et pousse un cri de jouissance, sa cyprine gicle avec force sur les couilles de son baiseur qui maintient la cadence.

Elle halète, sa respiration est rapide, son souffle et court, son cur bat la chamade. Lise retire du fondement le gode, saisit la queue de son mari et la place contre l’anus ouvert. Paul donne un coup de reins, et s’enfonce aisément dans le rectum dilaté. Ma femme est aux anges, elle marmonne des mots inaudibles, bègue un peu.

— Oui oui encooore, mon Dieu, je suis une salope avide de sexe, Ryan mon amour fait quelque chose !

— Prends ton pied maman, jouis jouis à en mourir, après tu seras à moi !

Paul la ramone un bon moment, il se raidit et remplit de sa semence épaisse les entrailles de ma femme qui sarque-boute et jouit à son tour. Lise agite un gode hors norme, ma femme n’en croit ses yeux.

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