Nous sommes samedi veille du second tour des présidentielles et il fait plutôt beau, mon homme chéri est parti en début d’après-midi pour faire des courses perso, qu’il m’a dit, on verra bien à son retour, ce que cela voulait dire "perso"; enfin pour moi ce sera jardinage car j’ai la main verte !
je me suis donc changée dans notre chambre, afin d’être à l’aise pour cette activité d’extérieure; j’ai passée un body en coton côtelé gris à manches longues, mais sans soutien-gorge, j’aime bien avoir de temps en temps les seins "en liberté", puis un mini short taille haute, des jambières en coton côtelées noires qui m’arrivait à mi cuisse et puis enfin de vraies rangers de parade, que mon mari m’avait offertes pour son départ de l’armée, c’est un sacré coup de bol, car en trouver en taille 37 ça ne cours pas les rues !
Je me suis donc attelée à la tâche : taille des arbustes, plantations, semis, etc…puis j’ai commencée la tonte de la pelouse, car il faut dire que nous habitons en lisière de ville dans un ancien corps de ferme tout à fait charmant avec pour seuls voisins deux couple de retraités, donc super tranquille !
Vers 17h/18h, alors que je passais la tondeuse , j’ai eu la surprise de voir mon chéri qui me regardait faire depuis la terrasse en bois et il me fit signe de venir.
Je me suis précipitée dans ces bras, afin de lui donnée un langoureux baiser.
-ça fait longtemps que tu es rentré, mon chéri ?
-Oui, depuis une bonne 1/2 heure et ça fait 10 min que je t’observe dans ta tenue de jardinière sexy !
je n’ai qu’une envie c’est de te prendre ici et maintenant, ma chérie, tu me fait bander comme c’est pas permis !
-Voyons, nous n’allons pas faire ça ici, les voisins vont nous entendre !
-Ecoute, c’est aussi leur tondeuse que l’on entend, donc ce n’est pas un problème !
Heu…c’est que je ne suis pas très présentable, je n’ai pas pris de douche, j’ai transpirée et…
— Chérie, c’est tout de suite !
Je lui caressa le pantalon qui était fortement bombé à la braguette !
J’entrepris de lui sortir sa queue et à ma grande surprise il n’avait rien sous son pantalon !
-Tu ne portes rien, mon chéri, tu es sorti comme ça ?
-Non, je l’ai retiré, lorsque je t’ai vu si bandante, à tondre la pelouse, que je n’en pouvais plus de rester comprimé dans mon string, alors que ma femme en jardinière si sexy pouvait me soulager !
Je n’ai pas eu le temps de répondre que les cinq boutons de mon mini short étaient défait et il l’avait fait descendre jusqu’à mes chevilles, il c’est mis a genoux pour me dégrafer le body à l’entre jambe et dans un geste il me retourna.
-A genoux ma chérie, ou plutôt me petite salope préféré !
Je me suis donc retrouvé à genoux et ses paroles m’ont fait un effet que je ne saurais décrire comme quelque chose entre excitation et une envie d’être sa soumise, être sa salope parfaite et de l’être au mieux pour qu’il soit satisfait lorsqu’il me videra tout le contenu de ses abricots par son membre viril.
Il est venu au dessus de moi comme s’il était à cheval, il me malaxa les seins au travers du coton du body, pinça mes tétons, je commençais à ressentir le désir et l’excitation monter en moi.
Il recula un peu et me sera la taille de ses mains vigoureuses, puis délicatement, comme mon mari chéri, c’est si bien le faire, il pénétra doucement mon intimité déjà largement humide.
Chaque terminaison nerveuse des parois de mon puis d’amour me transmettaient la sensation extrêmement agréable de se faire remplir par une queue ferme, bien raide, bien veineuse et de sentir tout au fond de moi, ce beau gland turgescent qui se fraye un chemin en de vigoureux va et viens.
-Que c’est bon d’être en toi, ma chérie, je n’en pouvait plus, je t’aime et je veux te défoncé ta chatounette, et que tu hurles de plaisir avec ce que je vais te mettre, ma petite femme salope !
— Oui, vas-y fait moi plaisir, baise moi, baise moi, baise moi foooort !!!
par de violant coup de reins il me pilonnait, me percutait le cul, heureusement qu’il me tenait ferma par la taille, car je partais en avant à chaque coup de queue qu’il m’infligeait.
J’éprouvais un réel bonheur à me faire prendre de la sorte, il redoublait d’effort pour me faire sentir son gland au plus profond de ma chatounette, qui absorbait littéralement son gourdin bien ferme.
Ses coups devenaient de plus en plus puissants, j’étais comme un jument qui se faisait saillir par un beau et vigoureux étalon, je me retenais pour ne pas jouir trop vite, mais je n’en pouvait plus du bien qu’il me procurait :
-mon chéri, vas-y encore plus fort, ça viens, c’est bon de sentir ta belle queue en moi, je vais jouir, vas-yyyyyy….. Aaaahhhhh, ooooooooooooouuuuuiiiiiiiiiiii, plus fort foooooooort, c’est booonnnn….ouiouioooooui……uiiiii….vide…tout daaaaans…….taaaa salooope…..OUIOUIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!
Il déchargea tout son jus dans un puissant râle de plaisir, j’étais toute fébrile, ma chatounette était incandescente de douleur et de plaisir, je n’avais jamais connu un plaisir aussi intense en levrette. Après de longues minutes pour se remettre de nos émotion, mon mari sorti sa belle queue de mon intimité et rentra son artillerie dans son pantalon, puis il m’aida à retirer mes rangers. J’étais tétanisée, je ne bougeais plus, submerger par ce que je ressentais dans mon fort intérieur, il me souleva comme une feuille d’automne et je me suis blottie dans ses bras et il me porta jusqu’à la salle de bain, délicatement me déposa et m’embrassa tendrement pendant un long moment, doucement à l’oreille il me susurra :
-Tu es la plus formidable des femmes, que je pouvait épouser, tu es aussi une très belle salope et je ne regrette pas de t’avoir rien que pour moi, ma chérie !
-Je suis heureuse d’être ton épouse et d’être ta salope, j’aime beaucoup l’être pour vivre, ce que nous avons fait à l’instant, et ta queue….c’est un vrai bonheur de la sentir remplir mon intérieur quand tu me baises comme ça, je t’aime mon chéri !
-Allez va prendre soin de toi et te remettre de tes émotions, je vais terminer ton travail !
A suivre