La vue depuis notre villa est splendide. Carthage est une ville extraordinaire : on y a une vue splendide sur au loin une montagne exploitée pour ces mines de plomb depuis que Rome en a pris possessions et plus près, de lautre côté du golfe, cette drôle de grande colline qui semble être un volcan. Dès que je me lève, je regarde par une embrasure le paysage. Il me plait de me faire caresser par le Dace, dès le matin. Je le préfère parce quil ne me pénètre, et encore uniquement par derrière, que quand je lordonne. Cest une bonne chose que lesclavage.
Jai prévu dinviter ma plus proche amie, Dionée pour laprès-midi. Le soir elle se doit à lorgie de son mari pour non pas participer, elle naime pas ça, mais pour veiller à ce que tout débordement reste dans les limites raisonnables. Dionée est une drôle de fille, fille dun exploitant agricole ancien légionnaire pendant 25 ans, il lui en reste des façons de voir les choses bizarres pour nous gens de la ville, pas de lurbs, simplement de Carthage.
Il me tarde quelle vienne, je sais quelle aime de faire mettre par un de ses esclave que je connais pour y avoir gouté : il est bien moins monté que le mien. Je lavais apprécié quand il me sodomisait, pas tellement quand il me baisait.
Je lui ferais gouter les enlacements avec la Nubienne qui est devenue une lesbienne particulièrement débauchée. Normalement une esclave suce sur commande avec mépris : elle le fait par gout simplement parce que je lui rends le plaisir. Jespère que Dionée sera satisfaite de mes offres. Sil le faut, elle pourra baiser avec les deux en même temps, comme jaime beaucoup faire depuis des mois. Je me contenterais avec mon morceau divoire que me mettra leunuque.
Elle arrive en chaise à porteur, comme toutes dames de qualité. Peu vêtue, pas plus que moi, nous nous embrassons sur la bouche comme deux amantes que nous sommes. Ma chambre est presque trop fraiche pour rester nues. Nous nous embrassons encore avant de nous mettre totalement nues.
— Si mon mari me voyait il en serait malade.
— Il ne ta jamais vu avec une autre femme ?
— Non, il pense que je me conduis comme une bonne matrone.
— Et alors, de nos jours ce nest pas un crime de baiser avec une autre femme.
— Il retarde, il pense que nous sommes encore sous César.
Nous parlons en nous caressant partout, elle mes seins et moi ses fesses. Jaime passer mes doigts dans sa raie. Elle aime bien que je la caresse derrière, je ne men prive pas. Mon doigt est vite dans son cul. Je lencule légèrement. Elle pose à nouveau sa bouche sur la mienne pour un long baiser.
— Tu veux que je te baise avec le godemiché en ivoire, tu en aura plein la pastille. Ou alors je demande à mes esclaves de venir nous baiser.
— Oh, je préfère les esclaves, tu ne me les as jamais montrés.
— Tu verras, jai un beau Dace, mieux monté que le tien, et une Nubienne, noire au possible qui excelle dans lart de Lesbos. Moi jaime avoir les deux.
— Je me fie à ton jugement.
Je fais venir les deux esclaves pour quelle les examine comme il convient. Elle fait comme moi quand jai choisis : elle prend la bite dace pour la faire bander. Elle soupèse les couilles. Pour la Nubienne elle ne fait que passer sa main dans toute la fente. Comme elle est déjà mouillée elle est satisfaite.
Elle veut une prestation particulière. La bite du Dace dans le con et la langue de la noire sur le cul du Dace. Cest une nouveauté pour les deux, surtout pour lui. Il se couche sur Dionée entièrement trempée. Il lembrasse un instant, lui caresse les seins particulièrement bien en insistant sur les tétons que je vois bien durcir.
Il entre très lentement dans le vagin à peine guidé par la Nubienne qui, dès quil est entré pour baiser, lui embrasse lanus en écartant les fesses. Il me semble que la bite en grossit encore plus. Je regarde de plus près en me branlant. Elle lèche le cul, elle durcit sa langue et entre facilement dans le cul masculin. Il prend bien la chose, il se retient pour ne pas jouir.
Moi je fais aller et venir mes doigts sur le clitoris. Je narrête même pas quand je jouis. Jaurais pu aller m’assoir sur le visage de Dionée : elle maurait léchée. Je ne sais pourquoi le Dace jouit en sortant sa bite, le sperme se perd sur le ventre de Dionée.
Elle en veut encore, elle demande à la Nubienne de venir lembrasser sur la bouche. Bien sûr elle ne peut refuser. Les deux bouches sembrasent longuement. Cest la noire qui, sachant quelle doit faire jouir sa partenaire, commence à passer sa main dans la fente. Dionée ne tient pas longtemps : elle se laisse aller dans un long orgasme. Je connais maintenant assez mon amante pour savoir quelle aurait bien aimé être caressée pour jouir.
Mais le Dace revient la queue bien droite. Il me demande une autorisation que je vais accepter :
— Maitresse, est-ce que je peux baiser.
— Bien sûr, avec qui ?
— Lautre esclave, je sais vous linterdisez, mais là, je vois quelle na pas jouit et en plus elle na pas eu de bite dans le con depuis que nous sommes là.
— Tu la veux comment ?
— Normalement, comme jaime le faire, elle à quatre pattes et moi derrière.
— Tu veux la lui mettre où.
— Dans le con, maitresse.
— Fais.
Ils ne se précipitent pas. Tout se passe comme si cétait la première fois pour le couple. On dirait une pucelle et son amoureux. Il commence par la caresser partout puis, la bouche embrasse tout ce quelle trouve. Sa bouche finit sur la figue. Je suis surprise quand jentends la noire gémir de plaisir. Finalement il la baise comme il me fait. Elle prend la queue pour le mener à son entrée. Les jambes autour de la taille, elle se donne complètement. Ils baisent presque mieux quavec moi. Dionée et moi regardons le couple en nous masturbant. La tige va-et-vient dans le fourreau. Pour une première fois, ils prennent leur plaisir ensemble. Il sort du ventre de la Nubienne, la queue tâchée de sperme et de cyprine. Dans un dernier mouvement, elle lui nettoie la queue.
Maintenant nous sommes privées de bite. Nous restons trois femmes assez chaudes pour baiser. Avec Dionée nous restons couchées lune près de lautre, La nubienne comprend ce quil faut quelle fasse. Elle pose ses mains sur nos abricots. Si au début elle ne caresse que les clitoris, elle finit en passant sur lentrée privée par nos culs. Et là elle est particulièrement efficace. Si elle caresse un peu lanus, elle entre les doigts au cul, pile comme jaime. Jai besoin dune bouche sur la mienne. Celle de Dionée suffit pour combler mon désir. Nous nous faisons baiser par une esclave qui connait bien son travail, même obligatoire. Après tout elle vient de se faire baiser comme il faut, comme elle aime bien certainement : je demande à leunuque de la branler avec la bite en ivoire.
Elle est comme nous, elle ne résiste jamais longtemps à ce genre dexercice.
Dionée doit revenir chez elle.
— Tu es absolument charmante dabord de mavoir sucée et ensuite de mavoir donné la bite de ton Dace et le corps de la Nubienne.
— Cest normal, je sais que tu aimes baiser, pourquoi ten priver ?
— Tu ne parles pas comme mon mari. Jespère que tu me les prêteras encore.
— Bien sûr.
Nous nous embrassons sur la bouche avant son départ. Et bien sûr que je lui prêterais encore les esclaves.
Je regarde encore une fois dehors, le soleil se couche sur le golfe. Ce soir je me ferais mettre par le Dace, sans la Nubienne.