Salut, c’est votre folle de lycra
Dans le chapitre précédent, je vous racontais mon aventure avec ma femme Coralie et sa nouvelle amie Élodie. Nous avions fait connaissance d’Elodie à la crèche ; elle y déposait son petit Léo et nous notre Lucas. Les 2 femmes se ressemblaient énormément et avaient de nombreux points communs ; anniversaires d’elles et leurs enfants très proches. La maman de Léo s’était fait planter par le père avant la naissance du petit et il avait complètement disparu ; même pas reconnu son fiston. Par-dessus ça, elle avait des horaires de merde car elle bossait dans la distribution, d’où des complications pour récupérer Léo. Les deux étaient très belles, le savaient et savaient surtout se mettre en valeur… Ma femme avait réussi à me convaincre à ce que sa nouvelle amie vienne vivre avec nous, dans une de nos chambres disponibles… Lucas et Léo faisaient chambre commune, on les entendait souvent gazouiller le soir ; nous en sourions. Puis Coralie a poussé son amie dans notre lit conjugal ; c’est ainsi que je me retrouvai avec deux femmes dans notre lit, deux femmes à honorer.
Elodie venait de faire du cheval sur mon sexe et je commençais à lui brouter le minou ; sur invitation de ma femme. Tout comme celle de Coralie, la friandise de ma partenaire me plaisait énormément, taillée de la même façon, même forme, même longueur ; seul le goût différait, mais aussi bon. J’en arrivais à soupçonner les deux femmes de s’entretenir les minous ensemble ; déjà qu’elles s’échangeaient leur culotte pendant la journée… J’étais en train de promener ma langue de son petit trou jusqu’à son clito ; j’y serais resté des heures tant cela sentait bon et avait bon goût. Elodie avait l’air de bien aimer ma prestation linguale, mais ma femme est venue tout casser au bout de dix minutes ; c’est elle qui est venue prendre le relais pour ce cunnilingus. Bien qu’ayant de forts soupçons depuis quelque temps, je découvrais que ma femme était gougnotte à ses heures. Coralie a nettoyé le minou de son amie jusque dans les moindres recoins et je pense qu’elle n’a pas laissé une trace de ma liqueur.
J’étais un homme comblé désormais, j’avais une femme formidable et une amie de cette dernière qui létait tout autant. Après que ma femme ait donné du plaisir à Élodie, nous nous sommes endormis tous les trois dans le même lit ; moi au milieu de ces deux femmes fort désirables. Une fois cachés sous les draps cela m’a fait tout drôle que Élodie me caresse en toute indépendance comme si j’étais son homme. Elle caressait l’intégralité de mon corps et surtout les parties les plus sensibles, il lui arrivait fréquemment de rencontrer les mains de ma femme sur mon corps ; mais à ces occasions, elles en profitaient pour se caresser mutuellement. Ce soir cela me faisait tout drôle aussi quand j’allais embrasser ma femme d’y sentir le minou d’Élodie. En m’endormant, j’étais en train de réaliser que j’allais me mettre à vivre une bigamie dont je n’étais pas l’origine. Je ne sais pas si c’était le contexte ou la fatigue mais je peux vous garantir que j’ai fait de beaux rêves cette nuit-là.
Quand je me suis réveillé le lendemain matin, cela sentait toujours très bon la femme sous les draps ; mais ces dernières n’étaient plus là. Les deux copines étaient parties s’occuper des enfants, car ces derniers ont une petite tendance à se réveiller tôt ; pour ma part cela m’arrangeait bien. Quand je me suis levé pour aller prendre mon petit-déjeuner les deux amis étaient en train de jouer avec les enfants. Je suis passé tout près d’Élodie, et j’ai eu le droit à une main au cul sous les yeux amusés de ma femme ; bien évidemment les enfants n’ont rien vu. Cette relation n’était pas pour me déplaire mais dans la tête je peux vous garantir que cela travaille énormément. Je regardais le petit Léo comme si c’était mon fiston, bref comme si c’était le frère de Lucas ; je suis ensuite parti dans le garage bricoler un peu. L’après-midi nous sommes partis tous les 5 au cinéma et nous nous sommes installés dans la salle ; moi au milieu les deux mamans de chaque côté et chacune avec son fiston à côté.
Cela me faisait tout drôle car pendant la séance je tenais les mains de chacune et les mamans celle des enfants. Régulièrement j’avais un enfant sur les épaules et l’autre dans les bras ou sur le dos ; je ne faisais plus aucune différence entre eux. Le soir une fois que les enfants furent couchés, que le repas était fini, que nous étions tous les trois devant la télé ; ma femme m’a suggéré une chose qui m’a laissé un peu sur les fesses. Coralie m’a en effet suggéré que je reconnaisse le petit Léo pour qu’il ait enfin un papa ; au fond de moi je me disais mais jusqu’où allons-nous aller dans ce trip à trois. La maman de mon fils m’a dit qu’il n’y verrait aucun inconvénient bien au contraire ; cela souderait nouvelle famille. J’étais tellement perturbé que je suis monté me coucher tout seul, à ma grande surprise c’est Élodie qui m’a rejoint. Compte tenu du fait que maintenant c’était devenu aussi son lit conjugal, elle est venue se coller à mes côtés. Dans la minute qui a suivi, mon sexe était dans une érection que je ne le connaissais pas.
La maman de Léo m’a expliqué que c’était une idée de ma femme que de reconnaître son fils ; j’étais impressionné par l’ouverture d’esprit de mon épouse. Puis la belle s’est mise à m’embrasser, tout en venant me caresser le sexe ; elle m’a expliqué qu’elle avait l’impression de vivre un conte de fées contemporain. Je lui ai répondu que pour ma part, c’était aussi le rêve que tout homme que de vivre avec deux femmes. Quelques minutes lui ont suffi pour venir se mettre sur moi, et caresser son minou sur la pointe de mon sexe. Durant de longues minutes, elle s’est fait du bien ainsi avant de venir littéralement s’empaler sur mon pieu. Manifestement Élodie avait l’air de beaucoup aimer faire l’amour et surtout dans cette position, elle commençait à bien maîtriser mon corps ; et le caresser là où il fallait. Au moment où j’étais en train de la retourner pour prendre le dessus femme est arrivé avec le sourire en nous disant que l’on ne s’ennuie pas.
Coralie est venue s’allonger à côté de son amie, j’ai donc pris l’initiative de la pénétrer à son tour. Nous avons tiré les draps pour ne pas avoir froid mais aussi pour profiter des odeurs féminine et masculine quelque part sont un peu enivrantes. À chaque fois que je changeais de partenaire, celle qui était en repos venait embrasser l’autre ; et la caresser partout où cela faisait du bien. Il m’arrivait de réussir à embrasser une d’entre elles et c’était vraiment divin, la femme qui était en repos, si je puis dire, en profitait aussi pour me caresser les fesses ; chose qui jusqu’alors ne venait pas à l’idée de ma femme. Je ne sais pas si c’est sous l’effet de mon sexe, ou de leurs caresses mutuelles mais les deux femmes ont pratiquement pris leurs pieds en même temps. Il n’y a pas à dire elles faisaient tout ensemble. Les odeurs de femmes sous les draps, les caresses de mes femmes et leur pénétration en alternance ; firent quau bout de vingt minutes, je n’ai pas pu me retenir d’éjaculer dans Élodie. Ma femme vigilante part me récupérer pour que je lui mette les dernières saccades de liqueur dans son vagin. Elles étaient vraiment magnifiques pendant qu’elles s’embrassaient, pendant qu’elles se remettaient de leurs émotions.
Le weekend commençait à prendre fin et tous les trois étions épuisés par cette partie de jambes en l’air avant de s’endormir. Le lendemain matin, Élodie est partie travailler un peu avant nous ; et Coralie et moi nous sommes chargés de déposer les enfants à la crèche. Après avoir déposé les enfants, ma femme a remis le sujet sur la table au sujet de la reconnaissance de Léo ; elle m’a dit que si j’étais d’accord elle s’occuperait de tous les papiers à remplir avec Élodie. Quand je l’entendais j’avais vraiment l’impression que cela lui ferait plaisir que par l’intermédiaire de Léo ; Élodie rentre dans la famille. Puis nous sommes partis bosser chacun de notre côté avant de nous retrouver tous les trois ce soir en amoureux. Ma vie avec mes deux femmes commençait à s’installer en toute quiétude et surtout en toute harmonie ; cela ne choquait pas les enfants ; et que Léo ait gardé le nom de sa maman cela n’attirait l’attention de personnes. Mes femmes ne m’épuisaient pas car il a leur arrivait souvent de faire des folies juste toutes les deux ; je prenais grand plaisir à les regarder s’envoyer en l’air entre femmes.
Je me doute bien que dans notre dos les voisins devaient commérer, peut-être y avait-il de la jalousie ou un comportement à l’encontre de leurs idées ; toujours est-il que rien ne nous arrivait aux oreilles. Le comble c’est que mes deux femmes, si je puis dire, étaient indisposées à la même période maintenant ; il n’y en avait même pas une pour remplacer l’autre à ces moments-là. Ma femme avait fait de moi un homme on ne peut plus comblé avec son amie. Une dizaine de jours avant l’anniversaire de ma femme c’était celui d’Élodie, en plus elle avait le même âge ; je suis tombé sur le cul quand j’ai vu le cadeau qu’offrait Coralie à Élodie. En effet ma femme passait la bague au doigt à son amie et la bague était exactement la même que notre alliance de mariage. Ma femme voulait ma bénédiction de telle sorte à ce que nous soyons mariés tous les trois dans la tête ; il y avait nos trois prénoms gravés à l’intérieur de la bague.
Décidément ma femme réussissait toujours à m’impressionner. Nous nous sommes embrassés tous les trois amoureusement ; je trouvais ça vraiment très sympa que nous ne formions qu’un seul couple et non un trio. Un samedi matin mes deux femmes sont venues me voir pour me demander une faveur, je me suis demandé ce que j’allais me demander ce coup-ci ; je m’attendais au pire. En fait elles m’ont demandé à ce que je porte leurs culottes usagées de la veille pendant la journée, sur le coup j’ai trouvé ça original mais au fond de moi très excitant. Elles m’ont argumenté que quelque part elles étaient un peu à moi, et qu’il fallait que je sois aussi un peu à elles ; les propos se défendaient. N’y voyant rien à redire, même si ma masculinité allait en prendre un coup ; j’ai fini par accepter. Voilà comment en un peu plus d’un an, je m’étais mis à vivre maritalement avec deux femmes, à coucher avec deux femmes, et maintenant je portais leurs culottes ; le problème c’est que mine de rien, cela me filait la Gaule pendant la journée au boulot.
Puis un jour patatras… Élodie et Coralie me font une surprise au petit déjeuner en me montrant un test de grossesse chacune. Mes deux femmes du même âge, avec des enfants du même âge, se retrouvaient enceintes au même moment ; ce qui allait nous donner des bébés du même âge. Je peux vous garantir que ce matin-là quand je suis parti bosser, j’avais un peu la tête ailleurs ; j’étais en train de réaliser que je ne contrôlais plus vraiment ma vie de couple. En même temps j’étais vraiment très heureux car ces bébés étaient des bébés de l’amour, au fond de moi je les désirais depuis quelque temps. Par cet événement je constatais que les femmes les désiraient encore plus que moi. Au niveau de la maison n’y avait pas de problème nous avions de la place, peut-être allions-nous être pris au dépourvu au niveau véhicule ; mais depuis quelque temps je surveillais un modèle allemand, une Caravelle. Le weekend d’après nous avons invité des beaux-parents pour leur annoncer la nouvelle. Jusqu’à maintenant ces derniers prenaient notre vie dans le péché avec beaucoup de recul ; cela ne les empêchait pas de passer régulièrement déjeuner le dimanche midi.
En espérant que cette suite vous ait plu
Bisous à vous