— Oh mon dieu ! ! !.. Elle est plus grosse que celle de Filou !
— Veinarde !
Karine avait du mal à encaisser les assauts de Rex, le membre du chien était effectivement beaucoup plus gros que celui du labrador, en raison notamment de la rivalité qu’il devait honorer. Il était hors de question pour Rex de laisser une femelle porter la semence d’un autre mâle, Johanna l’avait compris et elle se fit rapidement prendre par le chien de Karine pour pouvoir profiter elle aussi de la virulence du berger allemand. Alors que la maîtresse des lieux était encore en pleine action avec Rex, Johanna avait écourté son coït en bloquant le noeud de Filou avec sa main pour se prendre la semence du chien dans la bouche et entre ses cuisses. Elle désirait uniquement se faire couvrir de l’odeur du mâle pour pouvoir narguer ce nouvel amant et le pousser à un accouplement frénétique.
Karine n’avait aucunement besoin de motiver le berger allemand, elle était déjà en train de se faire copieusement remplir et le noeud de son amant venait de prendre place dans ses entrailles.
— Laisse-en un peu pour moi !
— Parce que tu crois que je contrôle quelque chose là ?
En effet, Karine n’était plus qu’un trou pour Rex, le seul but du chien était d’appliquer sa semence par dessus celle de son rival. La jeune femme se laissa littéralement sauter une fois de plus par un mâle qui ne faisait que peu de cas de ses sentiments. Le nouvel amant arrêta ses va-et-vient et Karine ressenti dans son bas-ventre les contractions de l’énorme membre canin ainsi que les saccades de liquide qui lui tapissait l’intérieur du vagin. Lorsque le chien se retira enfin, la jeune maman sentit le contenu de son sexe lui couler sur les cuisses. Johanna brûlait de désir pour le berger allemand, et dès qu’il ne fut plus soudé à Karine, elle se jeta sur lui pour le rapprocher du canapé et commencer sa phase de dressage. Après s’être fait chevaucher sauvagement, Karine était incapable de bouger. Suivant du regard le déplacement de Johanna et de son amant, elle ne s’aperçut pas que Filou se rapprochait d’elle par derrière. Même si elle avait presque été violée par un chien, son orifice avait tout de même lubrifié le sexe qu’elle venait de laisser s’échapper et le labrador était particulièrement réceptif à cette odeur. A quatre pattes, le vagin encore rempli du mélange de deux spermes de chiens, Karine pensait prendre une peu de repos, mais Filou ne l’entendait pas de cette oreille et la jeune femme fut obligée une fois de plus de se laisser docilement couvrir par l’animal.
— Pourquoi il veut encore me monter ? Tu ne l’avais pas dressé à te pénétrer en missionnaire ?
— Si, mais là il en veut à ton petit trou, tu vas devoir lui offrir ton cul encore une fois !
— Quoi ? Hors de question ! Je voulais juste me faire lécher et c’est la troisième fois qu’un chien me gicle dans le corps ! Je suis pas une prostituée ! J’aimerais bien en avoir le contrôle !
— S’il te plaît, laisses-toi enculer encore une fois, ça me laissera le temps de profiter un peu de Rex, après je te promets de t’apprendre comment lui faire réaliser tous tes désirs.
— Bon d’accord, mais c’est bien parce que j’en ai un peu envie aussi.
Karine avait effectivement envie de se faire sodomiser encore une fois. La pénétration qu’elle venait de subir l’avait tout de même excité et un orgasme anal serait le bienvenu. Par ailleurs, Filou était déjà entrain d’entamer ses va-et-vient et le frottement du sexe de l’animal entre les fesses de la jeune femme la motivait à poursuivre l’acte. Karine envoya sa main pour retirer complètement son string, mais à peine avait-elle réussi à le faire descendre jusqu’en haut de ses cuisses qu’elle sentit le membre du chien s’immiscer dans son petit trou. Encore vêtue de son sous-vêtement, la jeune femme prit la position de soumission qu’attendait le chien, et se laissa sodomiser pour la deuxième fois de la journée par son labrador. L’insertion d’un membre dans son petit trou fit pression sur sa chatte qui laissa s’échapper un partie du liquide qu’elle contenait, le sperme coula de plus belle le long de ses cuisses, ajoutant du plaisir à la perversion.
A suivre…