Karine proposa à Johanna de finir son histoire sous la douche, elle ne s’était pas lavée depuis ses nombreux rapports de la veille et voulais se sentir propre pour faire ses adieux à Rex. La métisse accepta et les deux jeunes femmes se retrouvèrent ensemble dans la baignoire.
— Alors, t’as placé son sexe sur le tiens pour te faire caresser le bouton d’amour avec ?
— J’aime bien ta façon de le dire ! C’est exactement ça, je voulais pas qu’il me baise, j’avais seulement envie de sentir la taille de sa bite, mais le salaud allait profiter de moi ! Je faisais bien gaffe de garder les fesses et le cuisses bien serrées pour pas qu’il s’échappe et me saute par surprise, mais le fait de sentir un truc pareil si près de me baiser et la levrette étant ma position préférée, je me suis mise à mouiller beaucoup trop. Ton chien à senti qu’il pouvait passer par un vrai trou si il voulait, alors il s’est retiré d’un coup sec et est venu se planter droit dans ma chatte. Je devait avoir l’air conne avec mon string à peine baissé et Filou qui pompait comme un malade !
— Jaurai trop aimé voir ça !
Karine était à présent en train de frotter le corps de Johanna, sa main sattardait sur les fesses de la jeune fille et elle sentit un désir monter en elle. L’histoire qu’elle venait d’entendre l’avait excitée et les forme de la jeune fille qui partageait sa baignoire l’attiraient de plus en plus.
— Tu m’écoutes ou tu me tripotes ?
— Je t’écoute ma belle, continue.
— Bon, alors j’étais en train de me faire ramoner par ton chien ici même. A la base de sa bite, il y avait un énorme truc que je sentais cogner sur ma chatte et je pensais que c’était ses boules, je me suis dit qu’il allait vite se vider et qu’après une bonne douche, personne ne le saurait jamais. Mais Filou avait d’autres projets et après m’avoir baisé pendant une bonne vingtaine de minute, le gros truc que j’avais senti est passé à travers mon trou. J’ai cru que j’allais exploser ! Il est resté coincé pendant au moins une heure comme ça ! Et comme j’avais peur que tu rentres à l’improviste, je me suis carrément rhabillée avec le nud en moi !
— Quoi ?! Mais comment ?
— Et bien, j’ai remis mon string le plus en place possible, enfilé ma jupe par le haut, et j’ai remis mon sou-tif et mon débardeur comme si de rien n’était.
— Ça devait être beau à voir !
— T’as pas idée, j’étais complètement habillée, toujours à quatre pattes, cul à cul avec ton chien en train de me demander quelle excuse sortir si tu revenais. Au bout de cinq minutes, j’ai commencé à me rendre compte que la bite coincée dans ma chatte était toujours en train de gicler. Quand je me suis concentré dessus, chaque jet de sperme me faisait jouir. J’ai réussi à me libérer enfin, et j’ai pris une douche avant de retourner chez mon mec. Une semaine après, je le larguait parce qu’il ne faisait plus aucun effet au pieu.
Johanna avait fini son histoire et vit que Karine avait était fortement excitée par son récit.
— Je t’ai fait mouiller ?
— Un peu ouais, et ton corps est vraiment splendide.
— T’es pas mal non plus ! Tu permet que je te caresse un peu ?
— Seulement si je peux profiter de tes formes moi aussi…
Les deux jeunes femmes qui avait passé la nuit ensemble était à présent en train de caresser le corps l’une de l’autre. Karine avait une préférence pour les seins de Johanna sur laquelle elle fit passer ses lèvres à de nombreuses reprise. La métisse était en admiration devant la paire de fesses de la jeune maman qui semblait si accueillantes, elle regretta de ne pas avoir un pénis pour profiter de son orifice. N’ayant bénéficié que de très peu de préliminaires, elles décidèrent de s’occuper un peu de leurs corps afin de profiter d’autant plus des accouplements qu’elle allaient subir.
A suivre…