Ce récit est la suite de l’histoire "Ma petite Kathleen" que j’ai publié il y a quelques mois.
2 ans se sont écoulés depuis cette folle nuit avec Kathleen, 2 ans que j’y repense tous les jours, tous les soirs, toutes les nuits. Oui mais voilà, depuis 2 ans, il ne s’est plus rien passé..
Peu de temps après notre affaire, Kathleen a dû déménager après avoir trouvé du travail bien loin d’ici. Évidemment, nous avons gardé contact. Les appels, les sms et surtout les photos sexy faisait partie du quotidien mais, plus le temps passait, plus les appels se faisaient rare, les sms étaient de plus en plus courts et de moins en moins fréquent et plus aucune photo pendant 6 mois.
Je commençais à me dire que Kathleen avait refait sa vie et m’avait tout simplement mis de côté.
Puis un jour, elle m’appelle.
« J’ai deux semaines de libre et j’ai vraiment envie de te revoir ! Tu pourrais m’héberger ?
-Bien sûr quoi oui, ce sera l’occasion pour toi de découvrir mon nouvel appart’ !
-Super ! J’arrive demain, à 14h à la gare, t’as intérêt à être la !»
-Tu avais déjà réservé les billets ?
-Je savais que tu ne dirais pas non à ta coquine préféré.
-Bien vu ! »
Pas de risques que je rate le rendez-vous ! La simple idée de la revoir me faisait durcir l’entre-jambe. Le temps sembla très long jusqu’à demain et j’en profitais pour me faire un petit plaisir solitaire sur les centaines de photos de Kathleen que j’avais en réserve.
Le lendemain, à 14h, j’étais à la gare comme prévu, le train venait d’arriver, les portes s’ouvraient et les premiers passagers commençaient à descendre, puis elle apparut, le rayon de soleil de ma vie, mon fantasme de toujours, avançait vers moi, un immense sourire fixé sur son visage me dévoilait sa parfaite dentition blanche sous un rouge à lèvres d’un rouge vif.
Kathleen avait coupé ses cheveux qui lui arrivaient maintenant aux épaules, elle était vêtue de hauts talons noirs qui affinaient ses jambes, d’une petite jupe courte noire et d’un chemisier blanc qui laissait clairement apparaitre le fait qu’elle ne portait aucun soutien-gorge. Elle était aussi ravissante que sexy, j’étais complètement sous le charme.
Elle arriva à ma hauteur, lâcha sa valise et sauta dans mes bras.
"Tu m’as manquééé !" me cria-t-elle "j’avais vraiment besoin de tes bras"
Puis elle s’accrocha à mon cou et, tout bas, ajouta
"Et de ta bite.." tout en caressant discrètement mon engin du bout des ongles à travers mon jean. Et bien voilà qui me rassure, on ne va pas s’ennuyer.
Je ramène donc Kathleen à mon appartement, que je loue depuis moins d’un an et lui fait une visite rapide des lieux. Puis, je me retourne vers elle pour constater qu’elle est déjà en train de déboutonner son chemisier en me regardant, un sourire au coin des lèvres.
« Tu comptes garder tes fringues ? Lança-t-elle
— t’es en feu aujourd’hui répondis-je
-J’ai pas vu une bite depuis 2 ans, j’ai eu personne la bas, t’as intérêt à être motiver ! » Dit-elle en finissant de déboutonner son chemisier, me laissant apparaitre sa sublime poitrine ronde et ferme, ainsi qu’un tatouage dont j’ignorais l’existence. Deux grandes ailes passaient sous ses seins pour se rejoindre entre ces deux ci. Absolument divin et sexy.
« C’est nouveau ça ! Dis-je en venant caresser son corps et empoigner son sein droit.
-J’ai fait ça il y a quelques mois, tu aimes ? » Susurra-t-elle
Je pris sa main et la fit glisser jusqu’à mon sexe, dur comme jamais.
« Je vais prendre ça pour un oui » conclut-elle avec un sourire et un clin d’il.
Puis elle s’agenouilla devant moi, déboutonna mon pantalon et le fit glisser, ainsi que mon boxer, le long de mes jambes, dévoilant mon sexe raide juste devant son visage.
« Ahh fit-elle d’un air satisfait, en empoignant ma bite ce monstre m’a manqué ! »
Elle lubrifia ma verge d’un crachat, la branla lentement d’une main tendre pendant quelques secondes puis, d’un coup sec, enfonça son l’intégralité au fond de sa gorge, m’arrachant un cri de plaisir intense.
Elle commença par de très lent va et vient sur toute la longueur de mon sexe, tout en me caressant les couilles du bout des doigts. La sensation de sa gorge se resserrant autour de ma bite associée à ses caresses étaient magique. Si je ne m’étais pas masturbé avant son arrivée, j’aurais probablement déjà craqué.
Elle accéléra le rythme petit à petit, alternant les gorges profondes et les coups de langues sur mon gland. Elle ne caressait plus mes boules, elle les malaxait, maintenant, allègrement, à pleine main.
Les bruits de sa gorge qui s’empalait sur mon sexe me rendaient fou, il était temps de passer aux choses sérieuses.
Elle continuait ses rapides mouvements de tête sur l’intégralité de ma bite, venant écraser son nez sur mon bas ventre à chaque mouvement avant de remonter jusqu’à mon gland.
C’était parfait mais, il était temps pour moi de prendre les choses en main. Je saisis donc sa tête à deux mains et commença à lui baiser la gorge. J’allais le plus profond possible, avec des mouvements de bassins secs et rapides. Kathleen était agrippée à mes fesses, comme si elle essayait de me pousser encore plus loin dans sa gorge. Je la plaquais contre un mur situé derrière nous pour l’empêcher de reculer sous mes coups de queue. Son visage entier venait se coller contre mon ventre quand j’enfonçais ma bite dans sa petite bouche de salope.
Tandis que je continuais à lui défoncer la bouche, je regardais vers elle. La vision de cette petite salope, ma bite dans la gorge, les larmes faisant couler son maquillage sur ses joues mêlés aux bruits de gorge, de salive et de succions, eurent raison de mon endurance. Je sentais l’éjaculation venir. J’accélérais une dernière fois, me retira de sa bouche pour lui claquer plusieurs fois le visage avec ma queue puis j’enfonçais une dernière fois, intégralement, ma bite dans la gorge de ma soumise et déchargeais mon foutre directement au fond avant de me retirer.
Kathleen inspira un grand coup puis recracha un peu de ma semence qui coula le long de sa bouche puis sur son corps. Elle était rouge, les yeux pleins de larmes, le maquillage de ses yeux avait complètement coulé sur son visage, son rouge à lèvre s’était étalé autour de sa bouche et elle était couverte de sperme.
Elle était en transe.
« Putain c’est bon! dit-elle, toujours à bout de souffle – Fait de moi ta pute, je veux que tu me baises comme la petite chienne que je suis ! »
Il était temps de s’occuper de cette petite chatte rose et épilée.