Histoires de sexe lesbien Histoires de sexe mobiles

Kisme, notre petite bonne asiate – Chapitre 1

Kisme, notre petite bonne asiate - Chapitre 1



Je ne vais pas vous raconter ma vie, toujours est-il qu’à un peu moins de quarante ans ma femme s’est tirée avec mon meilleur pote et nos deux gosses. Aussi, quand ma boîte m’a proposé un poste à responsabilité dans la capitale d’un grand pays d’Asie du Sud-est, j’ai sauté sur l’occasion.

Là-bas, je ne suis pas resté longtemps célibataire. Vous pensez bien, un occidental bien conservé, disponible et blindé de thunes avec son salaire international dix-sept fois supérieur au salaire moyen du pays, il y en avait plus d’une que ça ne laissait pas indifférente. J’ai donc enchainé les conquêtes pendant deux trois ans avant de me mettre à la colle avec Joy, une ancienne présentatrice devenue propriétaire de plusieurs magasins de fringues. Nous nous sommes mariés à l’église, comme le veut la coutume. Puis nous nous sommes installés dans une belle baraque, dans un quartier résidentiel à l’américaine, dans les faubourgs de la ville.

Une fille un peu fantasque Joy. Pas toujours facile à vivre mais superbe et chaude au lit. Elle avait déjà couché avec des blancs avant moi, trois en tout prétendait-elle. Mais je pense qu’il y en a eu plus et qu’elle a surtout peur que je la prenne pour une fille facile alors qu’une nana qui profite c’est vraiment quelque chose qui ne me gêne pas.

Elle a du sang yankee la jolie Joy. Son grand-père était Ricain. Elle doit à ces origines de dépasser ses compatriotes d’une bonne demi-tête, d’avoir la peau blanche, les yeux clairs et une sacrée paire de nichons pour une asiate. Elle a beau avoir trente-trois ans elle se fait souvent draguer par des jeunes branleurs qui auraient encore l’âge d’être à la fac.

Comme notre emploi du temps à tous les deux est assez chargé, nous avons embauché des gens pour s’occuper des tâches ménagères. Une cuisinière, une bonne à tout faire, un jardinier et un chauffeur. Il n’y a que la bonne qui dort sur place, dans une petite chambre prévue à cet effet, derrière la cuisine. Jusqu’à présent, nous n’avions fait travailler que des femmes d’un certain âge. Mais Joy en a eu marre des histoires avec le mari et les gosses. La dernière se barrait au moins une fois par mois pour s’occuper des uns et des autres. Enfin c’est ce qu’elle disait. Joy a fini par la foutre à la porte et par embaucher une jeunette d’à peine vingt ans, Kisme (qui se prononce Kiss me ), une gamine d’un village du sud, issue d’une famille très pauvre.

Elle n’était pas forcément jolie avec son nez épaté et sa peau très brune de fille des rizières. Une petite nana parmi tant d’autres que les garçons ne remarquaient pas vraiment. Je lui trouvais pourtant un petit quelque chose d’indéfinissable, d’exotique. Elle était très foncée de peau, certes, mais lumineuse en même temps. Et elle avait de très belles lèvres, assez pulpeuses, très roses et toujours humides. Et son cul était bien fait, rond et étonnamment rebondi pour une jeune fille si frêle. Elle avait aussi pour elle un joli sourire et des grands yeux sombres qui pouvaient s’illuminer d’une lueur incroyablement coquine. Mais ça, j’ai mis du temps avant de m’en rendre compte, car au tout début, elle n’osait pas me regarder et encore moins me lancer des sourires. Elle baissait la tête en ma présence et quand elle ne pouvait pas faire autrement que de me parler sa jolie voix chantante devenait presque inaudible…

J’ai tout de suite fait des efforts pour la mettre à l’aise, pour qu’elle se sente bien, car j’avais un peu pitié d’elle. Joy avait des nièces et des cousines de cet âge. Aucune d’entre elles ne travaillait. Elles avaient des petits copains et se destinaient à des années d’insouciance à l’université. Kisme, elle, passait les plus beaux moments de sa vie chez des étrangers, loin des siens, à repasser et à laver la vaisselle pour un salaire médiocre. Joy avait d’ailleurs été intraitable à ce sujet. Ce que nous donnions à notre petite bonne était largement suffisant. Si nous l’augmentions, alors il faudrait aussi le faire pour tous les autres employés et nous ne nous en sortirions plus…

J’essayais donc d’être le plus gentil possible avec Kisme. Quand nous étions seuls, je la faisais parler de ses proches, de ses amis et de son village dans les montagnes même si en réalité ça ne m’intéressait pas beaucoup de savoir que son père avait telle ou telle plantation. Mais nous avons commencé à nous apprécier et je n’ai pas mis longtemps à la trouver finalement très séduisante. Je me suis surpris plus d’une fois à regarder ses fesses ou ses seins par l’encolure de ses tee-shirts ou à bander pour elle le matin dans mon lit. Je n’aurais pas été contre qu’elle entre à ce moment-là pour s’inquiéter de mon bien-être.

— Ah non ma belle, ça ne va pas vraiment : regarde, mon pénis est en érection depuis dix minutes au moins… Il commence à me faire mal et je crois bien que ça ne va pas passer tout seul…

Et Kisme de prendre mon sexe dans sa bouche toute chaude et de me le sucer consciencieusement, comme une gentille petite bonne, adorable et dévouée… J’avais tout un tas d’autres fantasmes du même genre : Kisme me sert un verre, renverse un peu d’eau sur mon pantalon en toile, s’agenouille pour m’essuyer et finit par sortir ma bite de mon slip… Kisme lave le sol à quatre pattes, je lui soulève sa jupe et la baise vite fait pendant qu’elle continue son travail, indifférente, totalement soumise à mon bon plaisir… Bref, des fantasmes classiques de vieux saligaud. Il n’était pas à l’ordre du jour de les réaliser. Je n’allais tout de même pas abuser de Kisme… La pauvre, quelle horreur…

Mais elle ne me facilitait pas la tâche. Désormais, plus une heure ne s’écoulait sans qu’elle ne me gratifie d’une petite attention craquante. Elle m’accompagnait à la porte lorsque je partais au bureau, elle m’accueillait à mon retour, me débarrassait de mon attaché-case, m’apportait à boire en me faisant voir son soutien-gorge quand elle se penchait pour me servir… J’ai fini par me branler en pensant à elle. Une fois de temps en temps d’abord, puis de plus en plus souvent, puis tous les jours y compris dans mon bureau en regardant ses photos sur son compte Facebook. Et j’ai même été jusqu’à faire des choses qui ne me ressemblent pas et qui me font vraiment honte, comme entrer dans sa chambre pour sentir ses petites culottes sales…

Et c’est à partir de là que notre relation a commencé à devenir vraiment bizarre. Kisme s’est rendue compte qu’elle ne me laissait pas indifférent, à ma façon de lui parler sans doute, de la regarder, de la bichonner en lui facilitant le travail le plus possible. Et ses regards et ses sourires se sont faits moins innocents… Mais de mon côté, il n’était pas question de tenter de la séduire. Je ne voulais pas m’embarquer dans ce genre de liaison. Joy était le type de femme à m’arracher les yeux. Un de ses cousins était gangster, ses oncles flics. Dans son pays, cela revenait au même. Si je me foutais d’elle, elle avait vraiment les moyens de me pourrir la vie… Alors les rôles se sont inversés et je me suis retrouvé dans la peau d’un puceau timide et rougissant. Et Kisme s’est mise à m’allumer de plus belle…

Un dimanche son jour de repos, elle est allée en ville se faire lisser les cheveux et s’acheter du rouge à lèvres, du mascara et des nouvelles fringues : quelques petites jupes et des hauts bien échancrés, qu’elle a commencé à porter dès le lendemain, en prenant bien soin d’attendre le départ de Joy… Pendant un mois, elle est venue me foutre ses nichons et ses cuisses sous le nez toutes les cinq minutes, au moindre prétexte, en me regardant avec un air coquin jusqu’à ce que je baisse les yeux. Et elle a commencé a me demander de l’argent, pour que son petit frère go to school ou pour que sa mère go to hospital … Un petit billet de temps en temps, jamais des sommes folles. Mais elle avait fait de moi son toutou…

Et tout s’est arrêté brutalement. Une urgence en province. Un collègue qui déconne. J’ai dû aller là-bas et passer un mois sur place… Joy est venue me rendre visite deux fois. J’ai soigneusement évité de demander des nouvelles du petit personnel.

Je n’avais pas fait la connerie de filer mon numéro de portable à Kisme. J’ai donc eu la paix. Mais je me suis paluché tous les jours en pensant à elle et en matant ses photos sur son compte instagram. Des selfies d’allumeuse. Avec sa jolie petite gueule au premier plan mais qui s’arrange quand même pour montrer la naissance de ses seins et ses belles cuisses.

Quand je suis rentré, elle était toujours là, fidèle au poste, habillée et coiffée comme au début : tee-shirt informe, short pas terrible, les cheveux attachés avec des chouchous. Elle s’est tenue tranquille quelques jours avant de recommencer à me tourner autour, sapée sexy et maquillée, quand Joy n’était pas à la maison bien sûr. J’ai mieux résisté cette fois-là parce que je trouvais que ce petit jeu devenait vraiment malsain. Et je savais que ça ne pouvait que très mal finir.

Alors elle est passée à la vitesse supérieure : les petites sandales à talons, les seins à l’air sous ses chemisettes et les mains baladeuses sur mes épaules et dans mon dos. J’ai tenu trois jours avant de lui sauter dessus…

Je me souviens parfaitement des circonstances dans lesquelles j’ai craqué. Kisme est venue me demander un peu d’argent, pour l’anniversaire de sa petite sur. Elle s’est accoudée à mon bureau, penchée vers moi. Elle m’a souri quand j’ai louché sur ses seins. J’ai sorti mon portefeuille de ma poche et lui ai donné d’une main tremblante ce qu’elle voulait. Elle s’est redressée, a plié le billet pour le glisser dans une des poches de sa minijupe en jean. Elle s’est approchée de moi et a déposé un baiser sur ma jouer. Elle m’a caressé la nuque et a murmuré thank you dans le creux de mon oreille, en soufflant doucement à l’intérieur. Et c’est à ce moment-là que j’ai complètement perdu pied. J’ai pris sa tête entre mes mains et commencé à lui rouler des pelles. Elle a sorti sa langue et m’a rendu mes baisers. J’ai fini par me lever, par foutre en l’air ma chaise et par la retourner. Elle s’est cramponnée comme elle a pu au bureau. Je lui ai baissé sa petite culotte noire, en la lui arrachant presque.

Elle s’est laissée faire. J’ai ouvert ma braguette et fait jaillir ma queue. Puis je l’ai prise par les hanches et je l’ai enfilée. Sans capote. Avec la cuisinière en bas et Joy qui n’allait pas tarder à rentrer. Du grand n’importe quoi.

Elle a tenu le choc Kisme. Ce qui est étonnant étant donné la position dans laquelle nous l’avons fait et la férocité avec laquelle je l’ai tringlée. Je n’ai pas duré longtemps par contre. J’ai juté sur ses fesses couleur café au lait. Une belle tartine. Elle s’est dégagée, a récupéré son petit slip, elle s’est essuyée avec et l’a remis, en faisant une petite moue adorable. Elle est sortie de la pièce sans me regarder, en tordant du cul, comme pour m’enfoncer dans la tête l’idée d’un deuxième round.

Evidemment, nous avons recommencé à baiser. Dès le lendemain matin, dans sa chambre. J’étais allé lui expliquer que ce qui s’était passé la veille était une erreur, une folie. Elle m’a écouté en souriant d’un air moqueur. Quand je lui ai demandé son avis à elle, elle a fait un pas dans ma direction et a pris ma bite dans sa main, en guise de réponse. Nous avons fait ça à lhorizontale cette fois, sur son lit, toujours sans protection… Je l’ai ramonée comme un sauvage, quelque chose de bien. Elle a eu l’air d’aimer. Les fois d’après, nous l’avons fait sur le tapis de la salle de bains. J’avais acheté des préservatifs, mais ce n’était pas pratique. Il fallait bien les cacher, avant et après.

Kisme a continué à me demander de l’argent, de plus en plus. Un jour, j’en ai eu assez, je l’ai envoyée promener. Elle m’a pris par la main et m’a entrainé dans les chiottes. Elle s’est mise à genoux et elle m’a sucé. Elle a tout avalé et elle a eu son fric.

Elle m’a fait le coup deux autres fois. Des pipes inoubliables. Avec ce regard innocent qui vous observe en train de perdre la boule… La troisième fois, j’en ai eu marre. Joy et moi avions baisé toute la nuit. Les couilles à sec, j’étais en condition pour repousser ses avances. Quand elle a compris qu’elle ne m’aurait pas, elle s’est en allée en boudant.

Elle m’a laissé mariner pendant quelques jours. Polie mais sans plus. Et puis je me suis mis à avoir trop envie d’elle. Un soir, je l’ai enlacée par-derrière pendant qu’elle pliait du linge dans le salon. Je lui ai papouillé les bras en l’embrassant sur la joue puis dans le cou. Elle a continué son travail un moment puis elle s’est mise à minauder. Quand j’ai pris ses petits seins dans mes mains, elle m’a pincé très fort en me rappelant sèchement que le jardinier était de l’autre côté de la fenêtre. Je me suis senti un peu bête à me faire balader ainsi par une gamine de cet âge. Je suis resté debout à me gratter la tête et elle s’est éloignée sans rien dire. Mais quand je suis passé devant la salle de bains pour remonter dans mon bureau, elle a surgi et m’a pris par le bras. Elle m’a fait entrer et m’a demandé si Joy rentrait bientôt. J’ai répondu que je ne savais pas trop. Elle a hésité un instant et elle a finalement fermé la porte a clé. Nous avons baisé par terre, comme des animaux et comme des cons parce qu’encore une fois sans capote.

Le lendemain matin, elle a osé un truc qu’elle n’avait encore jamais fait. Joy venait de partir et il ne fallait pas que je traîne trop non plus. Quand je suis sorti de la salle de bains, j’ai entendu Kisme m’appeler depuis ma chambre à coucher. Elle m’y attendait, à poil dans le lit, ses beaux petits nibards au-dessus des draps. Je n’ai pas résisté et pour une fois c’est elle qui a pris son pied la première. Elle a eu un gros orgasme silencieux, en enfonçant ses ongles dans ma peau… Elle est venue me demander du fric juste avant que je m’en aille, sur le pas de la porte. Quand je le lui ai donné, elle a embrassé les billets, subitement toute joyeuse, comme un gosse à l’entrée d’un manège. Et elle m’a sauté au cou et m’a roulé un patin en me disant je t’aime…

Je ne sais pas comment cette histoire aurait pu se terminer. Aurait-elle été jusqu’à me faire chanter ? Ou bien pire encore par tomber enceinte ? Nous avons été vus par la cuisinière en train d’échanger un baiser. Nous ne nous en sommes pas rendus compte sur le coup car elle n’a pas fait d’esclandre. C’est au jardinier qu’elle en a parlé en premier. Lequel en a parlé à son tour au chauffeur et ainsi de suite jusqu’à ce que la nouvelle arrive aux oreilles d’une voisine, puis à celles de Joy.

C’est moi qu’elle a attaqué en premier. Elle m’a pris totalement au dépourvu, un soir dans notre chambre, alors que je me déshabillais en la regardant d’un air lubrique, excité par sa jolie nuisette en dentelles :

— Tu ne préférerais pas aller baiser la bonne ? M’a-t-elle balancé.

Un coup de genou dans les burnes ne m’aurait pas fait moins d’effet.

— La bonne ? Ah non ! (rire forcé) Mais pourquoi dis-tu ça ? (limite avec une auréole au-dessus du crâne)

— On m’a dit que vous vous embrassiez sur la bouche.

— Qui t’a dit ça ? Ah les salauds, ah les menteurs ! (air indigné)

— Arrête ton cinéma.

— Mais Joy… (et tu crois ce qu’on raconte ? Tu me fais de la peine ma chérie…)

— Tu l’as baisée ?

— Mais…

— Tu l’as baisée ?

C’est quand j’ai baissé la tête qu’elle en a profité pour m’envoyer le réveil en plein dans la poitrine.

— Aie ! Mais tu es folle ?

— Dégage espèce de con ! A-t-elle braillé.

Je suis allé dormir dans mon bureau, sur le canapé, en me disant qu’il fallait bien que ça finisse par arriver, que Joy allait me foutre à la porte, que j’allais tout perdre, que je l’avais bien mérité, que j’étais une belle merde, un véritable imbécile…

Joy a viré Kisme le lendemain à l’aube. Je l’ai entendue crier et la petite se mettre à chialer, puis des bruits de coups et celui de la porte d’entrée qui claque si fort qu’un cadre est tombé par terre et s’est cassé. J’ai regardé par la fenêtre, bien planqué. Kisme s’en allait, sa valise à la main et l’air un peu perdue. Elle boitait la pauvre. Elle était toute décoiffée et mal fagotée. Sa robe était déchirée, elle avait le dos a l’air, on voyait la bretelle de son soutien-gorge. Le jardinier lui a ouvert le portail, la mine réjouie, comme un bon gros salopard. Kisme est sortie dans la rue. Elle est partie sans se retourner…

Joy ne m’a pas adressé la parole pendant une semaine. Puis elle a engagé une autre domestique. Cesario, un jeune garçon un peu efféminé. Et nous avons fini par faire la paix…

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire