C’est un joli lac serti de collines verdoyantes, tout rond, avec un joli chemin de halage ombragé de peupliers. Le vent fait chanter les feuilles qui vous rafraîchissent de leur douce mélopée naturelle. C’est désert en toutes saisons, quelques baigneurs et pêcheurs seulement.
J’aime m’ y promener, me baigner nue, espérant être surprise par une belle femme ou un beau mec qui viendra me rejoindre. Au fil du chemin, derrière un talus, j’espère y trouver une femme en tenue d’Eve qui bronze et qui sera accueillante.
Mais ça n’arrive jamais ; les saisons passent et j’en ai parcouru 100 fois le tour et je n’ai jamais fait de rencontres… Ah si ! une année ma boulangère, une femme mature très bien charpentée qui se baignait… Quelle beauté … inaccessible ! Gros cul, gros nichons, beau visage, le rêve…
Les Français sont prudes … et n’aiment pas la Nature.
Ce soir d’août, le temps est beau et chaud, le soleil doré descend doucement dans son alcôve derrière les collines moutonnées. Je marche sur le chemin de halage, le bétail frémit derrière les haies, les feuilles sont en mode crécelles sous le joug du vent. Tout est limpide et clair. La marche est aisée, le spectacle est fabuleux, le soleil soudain rouge se reflète dans le lac.
Inattendu, dans une anse abritée par des tamaris, un pécheur d’un type nouveau traque le brochet nu dans ses wadders, un baudrier en latex enserre son buste, ses seins développés et son sexe en érection et divise ses fesses, en une invitation sans ambiguïté ! IMBERBE UN PEU BEDONNANT ONCTUEUX tel que je les aime. Voir une personne nue quand on ne s’ y attend pas est une chose magique, troublante, déstabilisante … mon cur bat à 100 à l’heure, mais l’ occasion de ma vie est là. Le mec insiste, sa bite est à l’ invite. Je me déshabille du peu que j’avais et je nage telle une loutre affamée, attirée par l’hameçon. Mes fesses fendent l’eau et ma quille déployée équilibre mon corps et attiré vers le fond par mes grosses prothèses mammaires.
Pas de présentation, nous savons ce que nous voulons, je m’approche, je reprends pied, l’eau ruisselle sur mon corps et ma poitrine de 135 TP. L’homme s’avance vers moi, sa densité physique m’impressionne, il ruisselle aussi, le latex qui ceint son buste m’excite, son sexe sort de l’eau tel un périscope, il m’embrasse, sa langue fouille la mienne, sa main rude tord mon clito de travesti. Je me retiens pour ne pas éjaculer, il m’enfonce sous l’eau et je dois lui sucer la bite et l’anus. Pas facile, je bois la tasse, mais la situation est singulière. Il essaye de m’enculer, mais je me dérobe tant mon orifice est fermé.
Nous nous dirigeons vers son cabanon sur pilotis perdu dans les ajoncs, il troque ses wadders pour des cuissardes, passe des bas et une cagoule. Je me retrouve attachée, les jambes écartées au pied de l’escalier, attachée par les chevilles à chaque rebord de la 1ere marche et les poignets attachés au plafond de la véranda.
L’ homme monte sur les marches supérieures, sa bite et son anus sont à la hauteur de ma bouche… Puis il redescend et passe derrière moi pour me défoncer. Il se cambre brusquement, mes cris résonnent dans la nuit tombante. Le martinet me flagelle pendant que je pompe son dard. Il alterne les ateliers selon qu’il est en haut des marches ou pas… J’ai perdu le bon sens, j’ai perdu mes sens, je suis perdue dans la douce nuit d’été. L’ Homme imberbe est beau, son vit appétissant et féminin ainsi que ses fesses. Du sperme jaillit dans ma bouche, le goût est acre, j’avale quand même, le reste coule dans mes fesses.
Il m’attache à un arbre dans la nuit noire, puis un faisceau lumineux éclaire ma féminité. Mes gros seins me fatiguent, je suis aveuglée par les flashs, j’ entends des voix qui s’approchent des moteurs qui s’éteignent sur la route du haut. Puis plus rien.
Soudain, une femme blonde du nom de Laetitia en cuissardes blanches descend le petit chemin qui se fraye un passage dans les ajoncs serrés. Les grenouilles coassent, les grillons stridulent, au loin, on entend les poissons sauter puis replonger, gavés d’insectes nocturnes.
Laetitia a un accent belge et vient du village VVF pas loin. L’homme l’a déjà rencontrée et domptée. Il l’attache aussi à un arbre et commence à la sodomiser. Laetitia commence à gémir puis crier. Sa voix d’homme atteste que c’est aussi un travelo, mais dans la nuit, je ne distingue rien entre ses cuisses qui puisse le confirmer.
Sauf qu’après cet épisode, l’homme nous réunit face à face et nous ligote. Alors, je sens sa bite embrasser la mienne et ses prothèses mammaires percuter les miennes. Il nous oblige à nous embrasser pendant qu’il nous sodomise tour à tour. Ensuite, il nous attelle comme des juments à un petit sulky, nous équipe de mors et de plumeaux sur nos têtes, enfonce dans nos anus des plugs queue-de-cheval et nous voilà parties autour du lac promener notre maître. Nous tirons sur nos harnais qui emprisonnent nos couilles. Le fouet cingle nos fesses. Nous ruisselons sous la lune pleine. L’homme est fou tant nous pourrions rencontrer quelqu’un… Mais le coin est désert en ce mois d’été, tant les gens ont migré en bord de mer, délaissant ce pays à vaches et à ploucs… seuls des Hollandais naturistes sont en vacances dans ce coin de verdure…
Revenus au bungalow, il nous oblige à nous sucer et nous gouiner en 69, la première de nous deux qui perdra son sang froid se verra infliger un gage …
Laetitia est belle, plus belle qu’une femme…
Je n’ai jamais rencontré dans ma vie telle femme du 3eme sexe. Mon sperme ruisselle déjà sur sa perruque blonde. L’homme devient dirigiste et me punit du martinet, menottée que je suis dans le dos… puis il me tire vers la plage, m’attache à son bateau par le cou. Laetitia est debout sur le pont en cuissardes, blonde, majestueuse, au clair de lune, son sexe brille encore humide. Le moteur démarre, je suis traînée sur la plage à genoux, puis dans le sillage du bateau qui prend de la vitesse. Menottée, étranglée, je respire comme je peux, je hurle, je crie, mes gros nibards freinent et font remonter encore plus d’écume…
L’homme baise Laetitia, le pilote automatique nous amène droit vers le VVF. L’eau est douce, heureusement, le bateau se réfugie dans un crique pour me permettre de reprendre haleine. Tout est silencieux, je m’agrippe au bateau, des poissons passent entre mes cuisses et effleurent mon sexe, c’est inquiétant, mais voluptueux. L’homme jette Laetitia dans l’eau qui s’agrippe à l’échelle en duo avec moi… nos visions s’accommodent du clair de lune et ainsi, nous voyons comme en plein jour. Nos cuissardes remplies d’eau, nos gros nichons nous empêchent de remonter à bord.
L’homme alors braque un luminaire sur nous et crie un slogan vers la rive !! En Flamand ? Allemand ? Je ne saurai dire, seule Laetitia a compris … Je regarde mon maître, hébétée, au loin, dans la nuit, des hommes arrivent en nageant vers nous… Je ne comprends plus rien, l’homme nous fait avaler des pilules qui gonflent nos verges et dilatent nos anus … Les brasses d’eaux se rapprochent… soudain, un homme blond m’agrippe par le cou, m’embrasse et enfonce sous l’eau sa bite énorme dans mon cul, je me débats ; un autre monte sur l’échelle et me donne sa verge à sucer en arrière. D’autres hommes arrivent tels des envahisseurs, des Hollandais probablement. Mon maître qui est une tapette se fait également prendre par un éphèbe batave … qui lui-même est pris par un compatriote au drapeau orange ceint autour de la taille.
Nous sommes prises dans l’eau par au moins 6 hommes qui se lâchent en nous. De la folie pure ! Laetitia ne se pose pas les mêmes questions et suce et branle à tour de bras. Une main s’enfonce même dans son caecum !! C’est une partouze aquatique de fin d’été sublime.
Revenue au bungalow, la femme de l’homme nous attend, jambes écartées, vulve offerte… Je n’aime pas lécher une femme, mais l’homme me plonge brutalement entre les cuisses de sa femme et me sodomise pendant ce léchage bien ordonné. Puis il enfonce la culotte de sa femme dans mon cul puis la retire violemment, ce qui me fait hurler puis me l’enfonce dans la bouche pour me faire taire puis replonge sa bite dans mon cul en feu !!!
Le sperme coule sur mes fesses et cuisses. Je ne sais plus quel est le mien…
Fourbue, penaude, je rejoins Laetitia dans la cage qui est au bord de l’ eau… L’homme nous arrose avec un jet puissant pour nous laver de toutes ces souillures. Seule Laetitia qui est une grosse salope apprécie. Moi je regarde la lune plonger dans le lac pour éviter de me regarder tant je suis songeuse par rapport à cette rencontre invraisemblable, mais tant désirée…