Je la suis jusquà chez elle. Elle a complètement redécoré la maison qui est maintenant une superbe demeure très confortable. Nous nous installons dans le salon. Josette me sert un verre de soda et monte à létage.
-Un instant, je vais me changer.
Au bout de quelques instants, elle redescend habillée dune djellaba transparente qui ne cache rien de sa nudité. Elle est magnifique.
-Cest un vrais appel au viol.
-jai enfilé ça pour pouvoir sortir de la maison et aller dans la grange, je ne supporte pas les vêtements, je suis toujours à poil chez moi.
-Décidément, nous étions fait pour nous entendre, moi aussi je ne supporte pas les vêtements, je suis naturiste.
-Je nai jamais essayé, je pense que ça me plairait.
-Jen suis sûre.
-Tu te rappelle de Prospère.
-Prospère ?
-Oui, lâne de ma mère.
-A oui, mais il ne peut être encore vivant, il aurait plus de cinquante ans.
-Non, lui il est mort, mais il a eu des petits et jai actuellement son arrière-petit-fils. Il est dans la grange et il est dressé comme flic.
-Tu veux dire que tu tenvoies en lair avec lui ?
-Oui, comme avec Prospère et tous ses descendants dailleurs, et si tu veux, je peux le mettre à ta disposition.
-Cest un autres de mes grands fantasmes, me faire enculer par un âne ou un cheval. Je viens dessayer le chien et ça ma plu, je suis prêt pour une autre expérience.
— Suis-moi, je vais te présenter Jules, mais dabord, jai un coup de fil à passer.
Elle remonte dans sa chambre, je lentends sans la comprendre, mais elle a lair dinsister auprès de son interlocuteur. Elle redescend au bout de quelques minutes.
Nous nous dirigeons vers la grange suive de Flic. Dans un box, Jules est là, il mange un peu dherbe dans sa mangeoire. En voyant arriver Josette, il vient vers elle pour se faire caresser. Josette dit à Flic de se coucher, ce quil fait sans hésiter.
-Approches toi doucement, quil fasse ta connaissance. Viens le caresser.
Je mapproche de lâne qui me parait très calme. Je le caresse sur le cou et le dos. Josette le caresse sur le côté, sur le torse et sous le ventre. Est-ce un message de Josette à son âne, mais je remarque quil réagit et que son sexe sort de son fourreau. Il pend en sallongeant à presque toucher le sol. Cest un membre magnifique, au moins six à sept centimètres de diamètre et cinquante de long. Josette le prend en main et masturbe son âne. Sa bite se redresse petit à petit.
-Il adore ça, si tu veux tu peux aussi le masturber.
Je tends la main et me saisit de cet énorme sexe. Cest le plus gros que je nai jamais eu en main de ma vie. Je le caresse et je vois que je lui produis le même effet. Sa queue est maintenant raide et droite.
-Tu veux essayer maintenant ?
-Pourquoi pas ? Tu crois que je peux.
-Sans problème, ton cul supportera ce diamètre je lai constaté en te préparant tout à lheure, je ferme la grange, déshabille toi.
Je me déshabille et repends mes caresses de Jules. Je le masturbe doucement, ce quil a lair dapprécier vraiment vu la rigidité de son sexe. Je magenouille pour lui lécher la bite. Jessaye de lui gober, mais elle est trop grosse et je narrive quà lui mordiller le bout du sexe.
Josette amène un banc assez haut, qui va faire en sorte quune fois allongé dessus, je sois juste à la bonne hauteur pour Jules. Elle enlève sa djellaba.
-Jai faits ce banc moi-même, je ne voulais pas quon me demande à quoi un banc si haut pouvait servir.
-Je comprends parfaitement, cela maurait aussi intrigué.
Josette attache Jules et glisse le banc sous son ventre en angle pour que je ne sois pas entre ses pattes avant. Je me badigeonne le cul de graisse spéciale fist pour bien faciliter la dilatation de mon fion.
-Mets-toi sur le dos, les jambes de chaque côté du banc.
Je me glisse sous Jules, son ventre touche mon ventre, ce qui a pour effet de mélectriser. Je nai jamais eu une telle sensation de sensualité, mon corps a un énorme frisson.
-Tu as froid ?
-Non, pas du tout, cest simplement le contact avec Jules qui me fait cet effet.
-Tu es un grand sensible toi.
-Oui.
-Lèves les jambes de chaque côté de Jules.
Josette fait avancer Jules jusquà ce que sa bite touche ma rondelle. Elle se saisi de son chibre et le positionne bien. Jules donne un coup de rein mais il narrive pas à me pénétrer car je recule sur le banc.
-Accroches toi au banc.
Je magrippe au banc, Jules avance encore un peu en donnant des coups de reins. Josette le stoppe pour quil ne me défonce pas complètement le fion. Sa bite force mon sphincter qui souvre un peu. Au bout de trois ou quatre coup de butoir, mon sphincter laisse le passage à cet énorme engin qui, contre toute attente, glisse en douceur dans mon conduit anal. Jules me pistonne frénétiquement, Josette le maintien à bonne distance pour que la moitié seulement de son sexe me pénètre. Je suis rempli de ce gigantesque membre, mais je ne ressens aucune douleur, mon cul est habitué aux gros diamètres avec le gode gonflable que jutilise régulièrement.
Je sens la pression monter de plus en plus, mes pieds sélectrisent, mes jambes salourdissent, mon ventre se crispe et mon cerveau explose dans une gigantesque jouissance. Tout mon corps est secoué de spasmes, mon ventre se noue à en avoir une crampe, je me vide sur moi-même sans avoir touché mon sexe une seule fois depuis que Jules mencule. Jules continu ses va et vient, mais je nen peux plus, cela devient un peu pénible. Josette le fait reculer doucement. Il me libère, toujours en forme. Il donne toujours des coups de rein et se met à hennir.
-Il veut jouir, cest à mon tour de lui faire plaisir.
Je me lève, elle prend ma place et se glisse toute seule sous Jules. Elle sait exactement ce quelle a à faire, elle a lhabitude. Elle se saisi du sexe de Jules et lamène vers le sien. Jules avance en donnant des coups de rein. Son sexe fini par pénétrer dans la vulve de Josette. Il donne des coups de rein de plus en plus rapide et fini par hennir une nouvelle fois.
-Il joui, il me remplit la chatte. Que cest bon, aaaahhhahhhhahhh je le suis, je joui, je joui.
Josette est secouée de spasmes, elle se raidi sur le banc, soulève son ventre pour senfoncer cet énorme sexe encore plus profond dans la chatte. Je magenouille à côté de Josette et me penche pour bien voir le sexe de Josette. Je constate quun liquide blanchâtre en sort. Je me penche encore un peu vers ce sexe défoncé quand je sens un souffle sur ma rondelle. Cest Flic qui me renifle le fion. Josette est aux abonnés absents et je ne veux pas brusquer Flic, ne connaissant pas ses réactions. Je le laisse faire, il en profite pour me grimper sur le dos et tente de me pénétrer en donnant de grands coups de rein. Ny tenant plus, je réussi à me saisir de sa bite pour bien lorienter vers mon cul. Un grand coup de rein et il est en moi. Il me pistonne comme un fou, je sens son bulbe me cogner sur les fesses. Mon sphincter se dilate de plus en plus si bien quil finit par me lenfoncer dans le fion. Je suis complètement pris. Je sens son bulbe se dilater en moi et son sperme couler à flot dans mes entrailles.
Pendant ce temps, Jules continu de défoncer la vulve de Josette cinq bonnes minutes puis se calme et recule dun pas. Sa bite sort de la chatte de Josette et pend sous son ventre. Il a débandé instantanément. Josette reste étendue sur le banc, le souffle court, les yeux fermés. Son visage resplendi de bonheur. Jules sécarte, libérant Josette. Flic ne bouge plus et continu de se vider en moi. Je me penche sur elle lui embrasse les seins, le ventre, le pubis et le sexe. Je le lui lèche pour effacer les traces de sperme de Jules. Je suis étonné que son goût ne soit pas plus fort. Des mains appuient légèrement sur ma tête pour me maintenir sur son sexe. Je titille le clitoris avec ma langue, le mordille doucement, laspire.
-Oui, continu, je vais prendre de nouveau mon pied, lèche moi, suce moi, fais-moi jouir.
Je continu de plus belle, mais Josette vient de jouir, et sachant très bien quelle peut avoir plusieurs orgasmes de suite, je sais aussi que cest de plus en plus long de la faire partir. Ma langue se déchaine sur sa vulve, ses petites lèvres et son clitoris. Il me faut bien cinq minutes pour la sentir se raidir et jouir dans un grand cri. Heureusement que sa maison est isolée.
Jai toujours Flic en moi, il na pas bougé pendant toute la séance. Je me mets à quatre pattes ce qui a pour effet de faciliter le dégagement de Flic qui me libère dans un grand chploc. Josette me regarde un peu étonnée.
-Tu peux te redresser, car je nen peux plus, aides moi à me lever.
Je me lève, lui prends les mains et la tire pour quelle se redresse. Elle reste assise sur le banc, les jambes ouvertes, le sexe exposé. Elle me regarde en me souriant.
-Quel dommage que nous nayons jamais pu vivre ensemble, je crois que nous nous serions complètement éclaté de sexe.
-Oui, mais tu sais très bien quau bout dun temps plus ou moins long, la libido se calme et que les relations deviennent plus ordinaires.
-Tu as raison, mais je peux dire que jadore nos retrouvailles. Entrons à la maison, il commence à se faire tard et nous avons besoin dune douche.
Il est maintenant plus de dix-neuf heures et nous retournons nus à la maison suivis de Flic. Je suis surpris par une odeur de cuisine.
-Cest quoi cette odeur.
-Juste lodeur du repas de ce soir, il est tard et tu vas rester ici passer la nuit. Je te garde.
-Cela nexplique pas cette odeur, la cuisine ne se fait pas toute seule. Il faut quelquun aux commandes.
-Tu as raison.
Elle se tourne vers la cuisine et cri.
-Police, sortez de la cuisine immédiatement.
Une jeune femme sencadre dans le chambranle de la porte, elle est assez grande pour une femme, blonde avec de très longs cheveux qui atteignent les fesses, une belle poitrine sous un tee shirt blanc et des fesses adorables moulées dans un short très petit.
-Je te présente Andrée, ma copine occasionnelle. Nous nous faisons du bien de temps en temps. Elle nous a préparé un petit repas et va passer la soirée avec nous. Andrée, je te présente Jean.
Andrée sapproche de Josette et lembrasse fougueusement puis vient vers moi pour me déposer un léger baiser sur la bouche.
-Enchantée de faire ta connaissance.
Elle fait demi-tour et regagne la cuisine en faisant onduler ses fesses dans son micro short. Rien que de la voir évoluer ainsi, ma bite a une légère réaction.
-Cest pas le moment, à la douche.
-Dis donc, je ne comprenais pas pourquoi tu mavais dit « je nai pas dhomme », tu aurais pu préciser que tu avais une femme.
-En fait, je nai pas de femme, nous avons une relation très libre, nous somme toutes les deux bisexuelles, mais nous aimons plus les hommes que les femmes. Cest pourquoi nous nous considérons comme libres.
-Tu aime quand même bien les femmes.
-Oui, surtout elle. Depuis que je lai rencontré, ma sexualité a un peu évolué. Je prends de plus en plus de plaisir avec les femmes, je crois que nous nous sommes mutuellement attachées lune à lautre. Jéprouve un drôle de sentiment pour elle, elle ne quitte pas mon esprit.
-Ok, je comprends mieux.
Nous montons à létage pour aller nous doucher. La salle de bain est grande, comme toutes les pièces de cette maison, avec une grande baignoire et une grande douche à litalienne. Josette règle leau et je me glisse avec plaisir sous cette cascade chaude. Nous nous lavons mutuellement sans oublier de se caresser un peu, mais nous restons assez calmes. Une fois séchés, nous descendons, toujours dans le costume dAdan et Eve. Une fois dans le salon, je minstalle dans un divan recouvert dune grande couverture, comme chez moi, pour protéger le cuir de la transpiration. Josette sort des verres et des bouteilles pour lapéritif.
A suivre
