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La bonne petite élève – Chapitre 2

La bonne petite élève - Chapitre 2



Quelques jours après, le week-end est là et comme toujours c’est l’occasion pour moi de faire le vide, m’aérer l’esprit et oublier un peu mes élèves. Comme tous les samedis matin je vais faire ma séance de sport, et c’est en retournant au vestiaire vers 11h que je découvre un e-mail sur mon téléphone.

Il provient de Myriam : « Monsieur, la date du concours approche, je stresse grave et on a pas cours jusqu’à mercredi prochain… Y a pas moyen qu’on se voit avant pour travailler ? Je vous paye bien sûr ! ». Hum, je n’ai rien de prévu cet après-midi, mais acceptera-t-elle de venir chez moi ? Car il n’est pas question que je me retrouve chez elle au milieu de ses parents et de ses frères et surs ! Je tente : « Mimi si tu veux on peut se voir cet après-midi, mais chez moi. Je te laisse mon numéro, si c’est bon pour toi envoi moi un SMS et je t’enverrai l’adresse en retour. Ah… dans ma résidence les survêtements sont interdits ! Je plaisante, tiens-moi au courant. 06……. ».

A peine le temps de prendre la douche et sa réponse était là, elle viendra à 14h et elle me précise qu’elle n’a que des survêts…

Je suis chez moi et 14h approche, j’ai préparé la table basse du salon pour que nous puissions travailler, à l’aise sur le canapé. L’alerte SMS de mon téléphone retentit, c’est elle qui est en bas, j’ouvre pour la faire monter. Quelques dizaines de secondes après elle est sur le seuil de mon appartement et en ouvrant la porte, quelle surprise ! Myriam a troqué sa traditionnelle tenue de sport contre une robe pull en grosse laine jaune-marron, une paire de collants noirs assez transparents et des bottines noires. Je prends le temps de la détailler et m’aperçois alors qu’elle a pris soin de bien peigner ses cheveux et a même souligné son regard d’un peu de mascara.

Quelle transformation, je peine à la reconnaître, mais tout cela éveille instantanément un vif désir, que je m’empresse de dissimuler en tournant les talons et filant vers ma cuisine.

— Tu veux boire quelque chose ?

— Non merci, je préfère qu’on se mette au travail de suite.

— Bien comme tu veux, installe-toi sur le canapé, j’arrive.

Dans ma tête c’est la panique ! Elle est là chez moi, belle comme jamais et sa seule envie est de travailler… Soit, mais je vais trouver quelque chose pour en profiter un peu quand même.

Je la rejoins sur le canapé, et je m’installe à quelques centimètres d’elle, sans la toucher. Après quelques dizaines de minutes de travail sérieux, mon esprit s’évade, du coin de l’il j’observe ses genoux et le peu de ses cuisses que sa robe me permet d’entrevoir, mes yeux remontent sur ses hanches, son bassin, son ventre à peine marqué et bien sur ses deux énormes seins mis encore plus en évidence par l’épaisseur de la laine. Mon Dieu, je bande furieusement à côté d’une de mes élèves… et la plus prude qui soit encore ! Ma queue me fait mal, serrée dans mon jean et dans cette position assis vers l’avant sur le canapé. Je n’en peux plus et je prends le risque ! Je me bascule en arrière pour que mon dos rejoigne le dossier du canapé et ainsi libérer mon membre. Ouf, ça va mieux mais elle qui est penchée vers l’avant n’a pas intérêt à tourner la tête ou elle verra ce que je lui réserve ! Heureusement elle est concentrée sur son travail, et je peux me permettre de rester ainsi, en profitant pour la regarder de dos.

Ses longs cheveux d’un brun profond, ses épaules musclées, ses reins très creusés et une paire de fesses hyper charnues qui s’écrase sur mon canapé. Mon sexe tressaute, et je vois son regard se déposer dessus… elle ne dit rien et retourne sa tête aussitôt. Impossible qu’elle n’ait pas remarqué ma protubérance tournée vers elle. Je mate à nouveau son cul, et instantanément ma queue s’affole, déclenchant un nouveau regard furtif suivi cette fois d’une accélération ostensible de sa respiration que je peux observer en jetant un il sur ses seins entre ses côtes et son bras.

Ce petit manège dure bien cinq minutes, sans mot dire et sans bouger. Puis j’ose autre chose, ma main se dirigeant sur ses cheveux que je caresse depuis son crâne jusqu’à leur pointe qui tombe au milieu du dos. 3 peut être 4 fois sans qu’elle ne dise rien, alors je romps le silence :

— Ils sont super beaux tes cheveux Mimi.

— Ah bon, je sais pas moi, je fais rien pour en tout cas.

— Ça t’embête si je continue un peu ?

— Non non ça va, j’aime bien quand on me les touche.

— Cool, et ça arrive souvent qu’on te les touche ?

— Non il n’y a que ma sur qui me fait ça.

— Et il y a d’autres endroits où tu aimes être caressée ?

— Non je suis pas trop du genre câline moi.

— OK donc si je propose de te masser comme l’autre jour ce sera non ?

— Si vous voulez, je veux bien, ça m’aide à me détendre, je travaille mieux après.

Je suis aux anges, je me relève, debout à côté d’elle ma queue bien visible en face de son visage, soit elle est aveugle soit elle ne sait pas ce que c’est !

Je lui ordonne de s’avancer bien au bord du canapé, et je m’assois derrière elle, mon entrejambe quasiment collé à son cul. Je rassemble ses cheveux et les fais passer par-dessus son épaule pour dégager son dos et sa nuque. Je l’entends respirer assez fort et je vois les mouvements de sa cage thoracique s’accélérer. Je commence à la masser voluptueusement, surtout le haut du dos, puis très vite je lui demande d’étendre sa tête sur la table qui est face à elle. Elle s’exécute et de cette façon ses fesses reculent sur mon sexe gonflé à bloc. A chacun de mes mouvements de massage je presse mon bassin contre ses masses charnues, puis j’abandonne ses épaules et le haut de son dos pour venir placer mes mains sur ses lombaires et quelques secondes après sur le haut de ses fesses. Elle ne proteste pas alors je continue, longtemps, intensément à pétrir une partie de ce cul qui me fait tant bander, la laine m’échauffe les doigts, ma queue se tord de douleur dans sa prison de tissus.

Myriam se redresse :

— Monsieur il va falloir que j’y aille.

Je suis déçu, j’inspire profondément pour reprendre mes esprits et marquer ma déception.

— Il faut que tu me payes avant de partir, pour le cours et pour le massage !

— Oui j’ai pris des sous à ma mère.

— Mais je ne veux pas que ce soit ta mère qui paye, je veux que ce soit toi !

— Mais Monsieur, je travaille pas, j’ai pas de sous moi ! Comment je peux faire pour vous payer ?

— On va s’arranger t’inquiète pas.

— Comment ?

— Tu sais moi j’adore te masser, alors si tu me laisses le faire comme je veux, quand je veux, ça payera tes cours.

— OK ça marche Monsieur. Je peux venir demain si vous voulez.

— Avec grand plaisir, je t’attends pour 9h.

Myriam s’en va et la journée défile. Vers 20h un SMS :

— Toujours OK pour demain 9h ?

Je lui réponds que bien entendu. Dans la foulée un nouveau message :

— Vous voulez que je mette quoi comme vêtement, car la laine c’est pas top 🙂

Hum c’est peut-être l’occasion de lui annoncer plus clairement la couleur :

— Myriam, peu importe ce que tu mets, pour ce massage-là tu n’auras pas besoin de tes vêtements.

Il est 23h, je me couche et elle n’a plus répondu. Peut-être mon empressement a-t-il tout gâché ? Ou peut-être me réserve-t-elle encore une surprise…

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