Il y a quelques jours, j’ai reçu un petit mot de Nathalie, me disant que son mari André, agent immobilier, partait en déplacement pour deux jours en province, et qu’elle était libre pour toute une nuit. La connaissant maintenant bien depuis notre dernière sortie à Pigalle (cf. chapitre 41 « Kidnapping à Pigalle »), j’ai vite lu entre les lignes qu’elle souhaitait profiter de l’absence de son mari, qui ne s’occupe plus d’elle, pour s’offrir une nuit de débauche.
Ma copine, ayant un penchant, pour ne pas dire plus, pour les jeunes beurs et blacks un peu racailles, je me suis dit que mon maître Coulibadou saurait très certainement imaginer un beau scénario pour apaiser les folles envies de mon amie. Je lui adresse donc le SMS suivant : « Cher maître, une excellente amie est disponible toute la nuit de mercredi à jeudi. Elle rêve de pluralité exotique. Je l’accompagnerai, mais je ne pourrai pas rester trop longtemps. »
Le lendemain, je reçois une réponse de mon marabout : « rendez-vous mercredi, 19h00, métro, porte de la Chapelle ». Je m’empresse de communiquer ces éléments à mon amie Nathalie qui me répond aussitôt : « Vivement demain soir ».
Le lendemain, Nathalie et moi, nous retrouvons vers 18h15 à la sortie de mon travail, et c’est ensemble que nous prenons la route pour le rendez-vous. Nous sommes un peu en avance et je mets un SMS à maître Coulibadou pour lui donner le nom du bar où nous nous asseyons pour prendre un café. Il est finalement 19h05 lorsque mon marabout nous rejoint. Je lui présente Nathalie qu’il n’avait encore jamais rencontrée et il semble apprécier mon amie. Il a surtout flashé sur sa poitrine et il lui dit :
Nathalie, vous avez une superbe poitrine, il serait souhaitable de mieux la mettre en valeur. Allez aux toilettes, retirez votre robe et ne portez que votre imperméable par-dessus votre lingerie.
Mon amie me regarde, un peu intimidée, mais d’un sourire complice, je lui fais comprendre qu’elle doit s’exécuter. Lorsqu’elle revient s’asseoir entre moi et le marabout, ce dernier tend la main vers ses cuisses pour l’obliger à écarter les pans de son imperméable. Nathalie apparaît avec de petites bottines et les jambes gainées de bas noirs. La main remonte entre les jambes de la belle, l’obligeant à les écarter. Un ravissant petit string blanc se dévoile, ainsi que de larges jarretières assorties retenant les bas. Il passe sa main sur le tissu du string, effleure ainsi la chatte de Nathalie, puis porte la main à ses narines en fermant les yeux. Il hume le parfum intime de mon amie; puis, satisfait de l’examen, déclare :
Voilà une odeur de femelle que je reconnais bien, le parfum de la bourgeoise en manque. N’est-ce pas Nathalie ?
Toute penaude, mon amie lui répond :
Oui, Monsieur Coulibadou, mon mari ne s’occupe plus de moi et je suis terriblement en manque. Il me faut de la queue sinon je vais devenir folle.
Avec un grand sourire, le marabout lui rétorque :
Venez, là où nous allons, vos envies vont être satisfaites !
Il se lève et nous lui emboîtons le pas en remontant le boulevard Ney.
Ce quartier en bordure du périphérique n’est vraiment pas très reluisant, et heureusement que nous sommes accompagnées de maître Coulibadou sinon nous n’en mènerions pas large. Au bout de cinq minutes, nous tournons à droite dans une toute petite rue, puis moins de 50 mètres après, nous entrons dans un immeuble plutôt délabré. Notre guide nous fait monter au deuxième étage et là, nous arrivons dans une immense pièce où sont installés de nombreux lits de camp sur lesquels dorment, papotent ou jouent aux cartes des jeunes blacks et beurs. Monsieur Coulibadou nous explique alors :
Nous sommes ici dans un lieu d’hébergement de jeunes immigrés africains sans papiers. C’est des amis à moi qui gèrent le lieu.
La plupart des jeunes se sont aperçus de notre arrivée et nous observent. Mon marabout nous fait traverser une grande salle et nous entrons dans une plus petite où un vieil Africain regarde une petite télévision posée sur un meuble bancal. Monsieur Coulibadou dit à l’homme :
Bonjour, Abdoulaye, tu vas bien ?
Puis, les deux hommes commencent une conversation à laquelle nous ne pipons pas le moindre mot. Mais cela semble intéressant, car le dénommé Abdoulaye nous regarde avec attention.
Les deux hommes semblent avoir trouvé un terrain d’entente, car ils se serrent la main. Mon marabout nous dit alors :
Hélène, vous restez ici avec mon ami et vous êtes très gentille avec lui. Je vais présenter Nathalie à quelques amis à côté, puis je reviens vous retrouver.
Une fois qu’il est seul avec moi, Abdoulaye me fait asseoir sur le petit lit situé dans un angle de la pièce, il retire sa djellaba et vient vers moi. Je comprends vite quel genre de marché a passé avec lui mon marabout. Nathalie va pouvoir passer la nuit ici avec tous les mâles, mais moi, je dois satisfaire le vieux gardien des lieux. L’homme a une longue bite qui pend, inanimée entre ses jambes. Je la prends dans la paume de ma main et je commence à la caresser d’une main tout en lui malaxant les bourses. Sa tige reprend vie dans ma main, gonfle, palpite, puis se redresse en laissant apparaître de grosses veines bleues. Le vieil homme est debout devant moi et j’ai son énorme gland violacé à la hauteur de ma bouche. Il pose ses mains derrière ma tête et m’attire tout contre son bas-ventre. Mes lèvres embouchent ce glaive d’ébène qui ne demande qu’à être pompé. J’en ai plein la bouche et sa queue continue de gonfler. Quelle bite de cheval !
Abdoulaye s’agite du bas-ventre et me donne des coups de queue, et j’ai l’impression qu’il se masturbe dans ma bouche. Je serre fort les lèvres pour bien enserrer sa tige, car maintenant, je ne doute plus que Monsieur Coulibadou lui a dit qu’il était autorisé à bien se faire sucer en échange des services que les jeunes allaient rendre à Nathalie.
Mais lorsqu’il se retire de ma bouche, me force à me retourner et me fait mettre en levrette sur le lit, je comprends vite que mon marabout l’a autorisé à bien plus ; ce qui n’est finalement pas pour me déplaire.
De ses mains, il retrousse ma robe sur mes reins et écarte le fin tissu de mon string. J’écarte bien les jambes et, bien vite, son gland commence à jouer avec ma fente. Je ne sais pas si cela fait longtemps qu’il n’a pas baisé, mais il ne perd pas de temps pour s’introduire d’un coup sec. Une fois au fond de ma chatte, il ne bouge plus, savourant certainement le fait de pouvoir posséder ainsi une belle bourgeoise parisienne.
Puis il se retire entièrement, replonge aussitôt au plus profond de moi et recommence ainsi plusieurs fois. Avec un tel traitement, ma chatte est vite en feu et je tends la croupe en arrière pour mieux être possédée. Puis, me saisissant bien par les hanches, il commence à accélérer la cadence en prononçant des paroles incompréhensibles pour moi. Mais je me doute qu’il doit certainement exprimer ainsi toute sa satisfaction de me saillir aussi profondément.
Soudain, il pose ses mains sur mes épaules, me tire vers l’arrière avec force, soudant ainsi mes fesses à son pubis. Puis j’ai l’impression qu’un flot se déverse en moi, tellement il éjacule de longs jets de foutre, j’ai l’impression que cela ne va pas s’arrêter.
Je n’ai pas le temps de me relever que l’on me saisit de nouveau par les hanches. Je sens des doigts qui recueillent le foutre qui coule de ma chatte pour bien m’en enduire le cul. Puis, une bite aussi grosse que la précédente se plante dans mon fondement. J’entends alors la voix de mon marabout me dire :
Alors Hélène, avez-vous apprécié la queue d’Abdoulaye ? Lui a grandement apprécié votre chatte !
Je ne peux lui répondre tellement un nouvel orgasme commence à m’emporter de nouveau au septième ciel. Cela fait longtemps que mon marabout ne m’a pas baisée et il semble vouloir en profiter. Il prend donc son temps, me lutine avec lenteur tout en me caressant les cuisses, le ventre et les seins. Il me mordille la nuque et cela m’excite.
Tout en me baisant, mon marabout me dit :
Les pensionnaires du centre sont ravis de la venue de votre amie Nathalie. C’est la première fois qu’une bourgeoise blanche leur rend visite.
Puis il se raidit à son tour et se vide en moi. Je reste allongée sur le lit quelques instants pour retrouver mes esprits après ces deux saillies particulièrement viriles.
Cela fait presque deux heures que je suis là, et il est temps que je prenne le chemin du retour pour arriver à la maison avant mon mari François. Accompagnée de mon marabout, je quitte la petite pièce d’Abdoulaye pour retraverser la grande salle et quitter les lieux. Quelle n’est pas ma surprise de découvrir Nathalie sur des matelas jetés par terre ! Les jeunes lui ont retiré son imperméable, son string et son soutien-gorge ; il ne lui reste plus que ses bas noirs, son porte-jarretelles et ses jolies bottines. Cinq ou six mâles sont allongés avec elle sur les matelas tandis que les autres, assis autour sur les lits, regardent les ébats en attendant d’y participer à leur tour. Un beau black est allongé sur le dos et mon amie est empalée sur sa bite. Un beur, au petit gabarit, est bien installé à genoux dans le dos de Nathalie et j’imagine, compte tenu de ses mouvements de bas-ventre, qu’il est en train de l’enculer. Deux autres, debout devant la femelle, se font sucer chacun leur tour.
J’observe avec attention mon amie qui, les yeux fermés, suce avidement les deux queues et ondule de tout son corps pour que les deux autres bites aillent au plus profond de ses orifices. Elle gémit comme une jeune vierge qui découvre les premiers émois du plaisir. Cela excite les autres hommes qui se branlent en regardant cette bourgeoise blanche aux gros seins se donner sans compter à ces jeunes fauves en rut.
Bien que je doive rentrer chez moi, le spectacle me captive et me retient encore sur place. Les quatre mâles semblent avoir déchargé et ils sont vite remplacés par d’autres qui veulent, à leur tour, goûter aux charmes de la belle. Cette fois-ci, Nathalie est mise en position de levrette sur les matelas, le ventre posé sur un vieux pouf aux couleurs délavées. Ils sont cinq, positionnés en file indienne derrière elle et quatre devants. Les deux premiers se mettent en position, un bien planté dans sa chatte ou son cul je ne peux voir avec précision d’où je suis et un autre dans sa bouche. Ils la pilonnent pendant une bonne dizaine de minutes puis se retirent et cèdent la place à celui qui attend juste derrière. J’imagine qu’ils vont ainsi se succéder jusqu’à ne plus pouvoir se retenir et qu’ils l’arroseront alors à longs jets de sperme.
Je me décide enfin à quitter les lieux, la chatte toute moite de mes deux saillies et de la vision de Nathalie baisée à la chaîne. Je sais qu’elle va passer la nuit ici, car elle est là pour cela, pour apaiser ses envies de femelle insatisfaite délaissée par son mari. La nuit sera plus calme pour elle, car je pense qu’ils vont l’installer dans un lit et vont se succéder les uns après les autres. Nul doute que certains, une fois les batteries bien rechargées, reviendront la baiser de nouveau, car une telle occasion ne se représentera pas de sitôt. Ils vont profiter de tous ses charmes, partager de nombreux baisers, lui dévorer son opulente poitrine, la caresser de partout, la baiser sans compter et l’enculer sans fin. Elle va avoir les cheveux complètement défaits, son maquillage sera bon à refaire et il est fort probable que ses bas seront dans un triste état.
Elle va sans nul doute découvrir de nouvelles positions, car ces jeunes mâles vont vouloir faire preuve d’imagination, histoire d’épater les copains. C’est à celui qui sera le plus macho, le plus endurant, le plus viril, le plus animal.
Mon amie voulait du sexe, de la queue, elle va être comblée !
Le lendemain, alors que je suis au travail, j’ai un petit SMS de mon amie qui me confirme que la nuit fut chaude et fatigante. Elle mécrit : « J’ai pris une journée de repos pour récupérer. J’ai mal à la gorge après avoir englouti tant de queues. J’ai la chatte et le derrière explosés, j’ai du mal à m’asseoir. Mais quelle nuit ! C’est Abdoulaye et Monsieur Coulibadou qui m’ont achevée au petit matin. Mais que c’était bon ! »
Je pense qu’elle va rester sage pendant quelques semaines…