C’est lors du dîner de ce lundi soir que François nous annonce, à Florian et moi, qu’il sera absent pour deux jours cette semaine. Dans le cadre d’un partenariat entre les ministères de la culture français et italien, il doit se rendre en Italie pour étudier quelques uvres majeures de la renaissance conservées à la Galerie des Offices à Florence. Après le repas, je remarque qu’il s’isole avec Florian dans le salon et j’ai l’impression qu’ils parlent tous les deux de moi.
Ce jeudi matin, au moment de quitter l’appartement avec sa valise pour rejoindre l’aéroport, François m’attire à lui et m’embrasse fougueusement. Je lis dans ses yeux qu’il a combiné quelque chose avec Florian mais il me dit simplement au moment de refermer la porte derrière lui
— Je rentrerai demain soir vers 21h00. D’ici là, j’ai demandé à Florian de bien veiller sur toi.
Ma journée au travail se passe normalement mais au moment de quitter mon bureau, je reçois un appel de Florian. Il m’explique qu’avec trois collègues de la société où il travaille, ils avaient envisagés une soirée pizza-poker mais la copine Marie qui devait les accueillir à un empêchement de dernière minute. Il me demande donc si cela ne m’ennuie pas que cette soirée se déroule finalement à l’appartement ; je lui réponds que non. Avant de raccrocher, il me précise qu’il s’occupera de la commande des pizzas et qu’ils seront là vers 20h30.
De retour à la maison vers 19h00, je prépare tout de même quelques toasts pour la soirée. A 20h00, je me remaquille un peu et enfile un tailleur léger pour assurer mon statut de maîtresse de maison. Il est exactement 20h30 lorsque j’entends Florian qui ouvre la porte avec sa clé et entre accompagné de deux amis qu’il me présente comme Benoît et Thibault. Ils doivent avoir une vingtaine d’années comme Florian et, je l’apprendrai au cours de la soirée, sont diplômés de la même école de commerce que mon neveu. Alors que je pensais que les trois jeunes allaient tranquillement jouer entre eux dans la chambre de Florian, ce dernier me dit que je dois impérativement me joindre à eux car le poker se pratique généralement à quatre. Il ajoute que les pizzas seront livrées d’ici une bonne demie heure mais qu’ils ont tout de même apporté deux bouteilles de bon vin de Bordeaux. Je leur demande de s’installer autour la petite table carrée du salon tandis que je vais apporter quelques toasts en apéritif.
Lorsque je reviens, les trois jeunes gens sont déjà assis, Florian a sorti quatre verres qu’il a remplis de vin et je m’assoie entre Benoît et Thibault juste en face de mon neveu. Tout en dégustant quelques toasts, nous faisons deux ou trois parties pour qu’ils m’expliquent bien les règles et les différentes annonces. Au moment où nous allons commencer à jouer pour de « vrai », Florian m’annonce qu’il était initialement convenu, avec Marie qui devait normalement les recevoir, que ce serait un strip poker. A ce moment-là, je comprends que c’est François qui est, bien qu’absent ce soir, l’instigateur de cette soirée. Ne souhaitant nullement perdre la face devant ces trois jeunes hommes et anticipant déjà le dénouement de la partie, je réponds avec un grand sourire que je suis prête à jouer et que, si par malheur je perds, je le ferai avec la plus grande dignité. Avant de distribuer les cartes, Florian précise que c’est un strip poker classique et donc qu’à la fin de chaque manche, chacun montre les cartes en main et seul celui qui possède la meilleure main ne retire pas de vêtement.
Le premier à se retrouver nu a perdu.
Les différentes manches se suivent et se ressemblent ; Florian et Thibault sont en réussite alors que Benoît et moi ne sommes pas en veine. Il en résulte que Benoît, mon voisin de droite à la table de jeu, se retrouve vite à enlever ses chaussures, sa cravate, sa chemise et son maillot de corps. Ayant été moins prévoyante que lui, puisque ne sachant pas que j’allais jouer, je n’ai pas prévu de superposer des couches de vêtements sur moi. Au fur et à mesure du jeu, je retire mes escarpins, mon collier de perles, ma veste de tailleur et mon bracelet. Heureusement que les trois garçons ont la délicatesse d’accepter de considérer mes bijoux comme des vêtements même si cela est interdit dans les règles du jeu. J’imagine que cela les excite de faire durer le plaisir. Alors que je viens de perdre une nouvelle fois, malgré une paire de rois, et que mon chemisier est confié à Florian qui montre un brelan, on sonne à l’entrée de l’appartement. Florian se lève rapidement et revient accompagné du livreur de chez Pizza Hut.
L’inconnu me regarde avec de grands yeux alors que Florian lui demande de poser les trois cartons de pizzas sur la table de desserte. Il s’exécute mais continue à me mater ; il faut dire que mon soutien-gorge Aubade rouge et noir met superbement en valeur ma poitrine. Florian lui dit alors que la partie ne fait que commencer et que je ne n’ai pas eu de réussite jusqu’à présent. Le livreur lui répond qu’il espère que la chance ne va pas tourner pour que cela se termine de la meilleure des façons.
Une fois le livreur parti et quelques parts de pizza englouties, nous reprenons le jeu. Thibault remplit de nouveau mon verre de main et je dois avouer que je commence à être un peu guillerette. Florian sort son téléphone portable et le pose debout sur le meuble télé face à la table de jeu. Je comprends que le coquin est en train de nous filmer en direct pour que son oncle François puisse suivre l’évolution du jeu. Le spectacle doit le captiver car, après quelques nouvelles manches, je me retrouve en bas et string ; tout le reste a été gagné par Florian et Thibault. Benoît en est au même point et ma tenue ne doit pas le laisser indifférent car une grosse bosse déforme son boxer et son gland dépasse presque de l’élastique.
Consciente que le jeu commence à devenir des plus intéressants et ne souhaitant pas décevoir François qui doit certainement se masturber devant le petit écran de son téléphone, je décide de parier ma bouche plutôt que mon string. Evidemment, je fais en sorte de perdre la manche et, pour une fois, c’est Benoît qui récolte les mises. Je viens donc à genoux devant lui, baisse son boxer et prend en bouche son sexe qui n’attendait que cela. En moins de cinq minutes d’une savante fellation, il se vide en moi et nous reprenons le jeu. De nouveau je demande à jouer ma bouche mais les garçons disent alors que je ne peux pas car je l’ai déjà jouée et perdue juste avant. C’est donc finalement Florian qui remporte la manche et s’empare triomphant de mon petit string. Ses deux camarades de jeu peuvent enfin à loisir me regarder dans ma plus simple nudité, simplement parés de mes bas noirs. Pour garder mes bas, je mets mon corps en jeu pour ce qui va s’avérer être la dernière manche.
Thibault aligne alors un carré de valets sur la table et remporte les mises. Je me lève et lui demande de me suivre dans la chambre. Une fois qu’il est nu, je le fais allonger sur le lit et lui fais passer un quart d’heure d’exception – caresses, baisers, fellations avant de venir le chevaucher devant ses deux copains, spectateurs attentifs de nos fougueux ébats. Il a beau chercher à se retenir pour ne pas jouir trop vite, je prends un malin plaisir à bien onduler de ma croupe et contracter mes muscles vaginaux. Il se vide en moi tout en me dévorant les seins. Bien évidemment, Benoît a la queue à l’air et réagit vite quand je me positionne en levrette face à Florian et son téléphone. Il me saisit la taille, m’enfile facilement et se met à me besogner comme un jeune chien en rut. Evidemment, même s’il s’est bien vidé dans ma bouche auparavant, il ne tarde pas à m’arroser lui aussi de longs jets crémeux qui se mêlent à ceux de son copain.
Une fois ses deux copains partis, Florian vient vite me rejoindre au lit en me disant qu’il a la permission de son oncle pour passer toute la nuit avec moi. A peine la lumières éteinte, il se glisse sous la couette et sa langue agile me prépare pour une longue sodomie. Bien vidé, il s’endort tout contre moi. Au milieu de la nuit, le voilà qui se colle à moi, frotte son gland à ma chatte encore poisseuse et me prend dans l’obscurité et le silence. Je ne dis rien, je suis sa chose. Au petit matin, c’est moi qui me glisse sous la couette, prend son sexe en bouche et m’applique pour lui redonner une belle vigueur matinale. Cela ne tarde pas et je m’allonge sur lui pour qu’il puisse bien me prendre tout en me dévorant la bouche et caressant tout le corps. Malgré les saillies de la nuit, il a encore du jus plein les bourses et m’arrose de nouveau comme il sait si bien le faire.
Le soir, je suis déjà au lit lorsque François rentre. Je l’entends discuter un peu avec Florian puis le voilà qui me rejoint dans la chambre. Il éteint la lumière, se glisse nu contre moi et me prend en me disant
— Chérie, tu es une sacrée salope ! Tu as complètement vidé ces trois jeunes étalons qui en avaient pourtant plein les bourses. J’adore te savoir ainsi en mon absence.
Puis, avant de s’endormir après avoir mêlé son foutre à celui des trois jeunes, il me dit
— Ce serait bien si Florian pouvait être embauché sur Paris……. Tu seras ainsi bien débauchée !
Mes rêves de la nuit sont peuplées de joueurs de poker qui gagnent toutes mes faveurs, même les plus osées…..