Chapitre 2 : Avillissement
Le lendemain, jétais du matin. Donc aucun risque dune entrevue crapuleuse dans le bureau du patron en fin de journée. A midi je me préparais au départ, saluant mes collègues en salle de pause quand je vis le patron entrer.
— Roseline vous pouvez venir ? Je voudrais vous parler.
Il sorti de la pièce avec ma supérieure en me faisant un clin dil discret avec le même sourire sadique que la veille ce qui ne me rassurait pas. Je sorti et les entendis parler.
— Roselyne, Je tiens à ce que la petite nouvelle, Sarah, soit polyvalente. Cest pourquoi jaimerai quelle fasse plus de fermeture de magasin à partir de Lundi.
— Bien monsieur le directeur.
Javais compris son petit manège. Il savait quà la fermeture nous ne serions que tous les 2. Ainsi il pourrait me faire subir tout ce quil voudrait sans risque quon nous surprenne où dêtre interrompu. Et ça na pas loupé. Le lendemain, jétais prévu de fermeture dès le lundi, durant le mois suivant. Le weekend passa et le lundi arriva. Jarrivais donc au magasin et sur le chemin du vestiaire je croisai le patron qui, en me mettant ouvertement la main aux fesses, me glissa à loreille un petit « à ce soir ! ».
La journée passa très bien puis vint le moment tant redouté. D’ailleurs, le patron vint lui-même me chercher dans les vestiaires, au moment où je me changeais. Il resta à me regarder nen loupant pas une miète. Je sortis du vestiaire pour le suivre dans son bureau.
— Bien, déshabilles toi et rejoins moi derrière mon bureau.
— Oui monsieur.
— On va reprendre ou on en était la dernière fois. Suce-moi à pleine bouche.
— Bien monsieur. Et je me mis à la tache.
— Ahhh oui va z y cest bon. Nhésite pas à faire tourner ta langue autour du gland.
Je lui fis sa fellation comme il me la demandait. Mais je fus surprise de sentir sa verge augmenter de volume de manière importante. En faite à froid elle sétait recroquevillée sous sa graisse. Par contre une fois stimulée, elle ressort et quadruple de volume. Elle était devenu tellement grosse que javais du mal à la contenir entièrement dans ma bouche. Ce qui commença à minquiéter sur ce quil pouvait me faire après.
— Ça suffira pour les amuse gueules.
— A vos ordres.
— Bon, après ce délicieux échauffement, on passe aux choses sérieuses
— C’est-à-dire ?
— Allonges toi sur le bureau et écarte les cuisses.
— Justement à ce propos je voulais .
— Ta gueule ! cest moi le patron, cest moi qui décide, tu fais ce que je te dis et tu la ferme sauf pour poussez de cris de jouissance.
— Mais je
— Plus un mot.
Je neu même pas le temps de lui dire quavec mon internat chez les surs, je navais jamais connu dhomme, quil mempoigna par les hanches avec ses grosses mains velues et me pris en missionnaire. Il fut surpris au 1er coup de rein par ce quil découvrit.
— Oh mais cest que tu es pucelle.
— Cest ce que je voulais vous dire.
— Mais cest parfait ça. Cest encore mieux que ce que jespérais. Je vais me régaler avec toi. Merci pour la surprise
Et il reprit son pilonnage très intensif. Seul son plaisir lui importait. Il me faisait mal mais il sen foutait royalement en poussant des gémissements de sanglier sauvage en rut. Javais limpression davoir le bassin complètement détruit. Je ne pouvais plus bouger. Je crus que ça allais sarrêter quand je le senti se retirer. Mais le cauchemar repris quand je le sentis prêt à sintroduire dans mon fondement.
— Non sil vous plait. Pas par là Jai trop mal.
— Promis jarrête dés que je me suis vidé les bourses. Tes trop bonne.
Il métait impossible de bouger ou le repousser. Déjà la douleur mempêchait de faire quoi que ce soit mais surtout jétais plaqué par son poids et presque englué dans ses bourrelets. Dés quil me rempli les intestins de sa semence, il se retira et je mécroulais sur la moquette de son bureau.
— Ahhh ! Cétait génial. Bon comme cétait ta 1ère fois demain on ne fera rien. Je te laisse te remettre. Par contre après on remettra ça. Tiens badigeonne toi la rondelle avec ça si jamais tu saigne ça va aider à cicatriser sinon ça améliorera lélasticité de la peau. Et puis tiens prend ces gélules aussi, une par jour, le soir avant de dormir. Cest important.
— Cest quoi ?
— Une surprise qui taidera pour nos futures relations.
En revenant chez moi javais honte. Je commençais à regretter de ne pas être au chômage. Même si il mavait donné de quoi me « soigner » ou me remettre ainsi quun autre billet de 50 , je commençais à me demander si ça valait le coup. La meilleure solution resterait que je trouve un autre boulot sans quil sen aperçoive mais avec la crise, je ny croyais pas. Surtout que si le recruteur lappelle je serais grillée et je nose imaginer les représailles. Je me passai donc de la pommade quil mavait donné sur les endroits ayant souffert et pris une de ses gélules. Je nimaginais pas que ce dernier geste à priori anodin allait me causer bien des tourments.
Le lendemain, au boulot jessayais de faire bonne figure. Assise derrière ma caisse enregistreuse, javais du mal à rester en place, assise sur ma chaise. Plusieurs fois, je mabsentais pour me badigeonner la rondelle avec la crème qui me soulageait. Juste avant de repartir chez moi, le patron vint me voire.
— Alors ça va mieux depuis hier ?
— Daprès vous ? La crème soulage la douleur mais nenlève pas le souvenir du choc.
— Bon ok je me suis un peu laissé emballer. Mais il faut bien que vous compreniez que cest moi le boss ici et que je refuserai tout ce qui pourrait mettre mon affaire en danger. Promis je serai moins brutal à lavenir. Noubliez pas de prendre vos gélules. Ca devrait faciliter nos RAPPORTS à lavenir.
Son attitude me surpris. Il avait presque lair attentionné. Mais ce nest pas pour autant que je lui pardonnerai. Le lendemain, encore de fermeture, je me rendis dans le bureau du patron pour notre petit séance.
— Entrez.
— Bonsoir monsieur.
Il était au téléphone quand je passai la porte. Tout en continuant sa conversation, il me désigna, le dessous du bureau, du doigt. Je me mis à 4 pattes pour passer dessous et commença à lui enlever son froc. Juste après avoir raccroché il me regarda en me caressant la tête, jétais en pleine besogne.
— Sarah, Ce soir je ne me contenterai que dune petite pipe. Je suis crevé et on nira pas plus loin.
— Bien monsieur.
— Il va de soit que vous avalerez la purée. Je ne veux pas tacher mes vêtements. Ah oui Autre précision, à lavenir venez en jupe et sans culotte. Ce sera plus pratique.
— A vos ordres monsieur.
Je commençais vraiment à me demander comment je pouvais men sortir. De part mon éducation, je navais quasiment aucune combativité. En plus il me tenait avec son chantage. Jallais devenir sa chose sans pouvoir rien y faire. J’étais presque résignée.
Cela faisait maintenant plus de 2 semaines que, chaque soir, après mon service, jétais contrainte de me rendre dans le bureau de mon patron. Et à chaque fois il prévoyait quelque chose de tordu : un numéro de femme soumise et lascive, une tenue décolière voir même une caméra pour filmer nos ébats, pour sa petite collection personnelle. Je me faisais exploiter sans rien en retirer que son silence. Même si javais honte et que je ne pouvais en parler à qui que ce soit sous peine de passer pour la dernière des traînée et de dévoiler mon histoire de vol, les billets de 50 quil me donnait après chacun de nos rendez vous, me permettaient, certes, daméliorer mon petit confort. Mais ils ne compensaient nullement cette souillure que je sentais en moi.