Dans ma famille, il y a ma mère 45 ans, et ma sur 19 ans seulement. Je suis le plus jeune avec mes 18 ans. Nous vivons très isolés. Nous ne sommes sortis que pour suivre nos études. Depuis longtemps je regarde ma sur avec envie: je voudrai bien faire lamour avec elle. Cest la seule fille jeune à des kilomètres à la ronde. Jai beau me branler, il me reste toujours ce fantasme: "baiser ma sur". Une fin daprès midi, je rentrer dun de nos champs, silence complet dans la maison. Je me demande où sont ma mère et ma sur. Jentends de léger bruit vers la chambre de ma mère. La porte est entrebâillée et là: le spectacle inédit pour moi: Ma mère nue couchée sur le dos, jambes écartées, une main sur son sexe: elle se masturbe. Cest bien la première femme que je vois se donner du plaisir et surtout je nimaginais même pas quelle ait une quelconque sexualité ou des besoins de jouissance. Je regardais en bandant. Jétais sur le point de sortir ma bite pour me branler en la regardant quand derrière moi, je vois ma sur aussi nue quà sa naissance: Elle nen a pas honte,elle sadresse à moi.
— Toi aussi tu regardes?
— Bien sur. Pourquoi tu es toute nue?
— Quand je me branle je me mets toujours nue.
— Je ne savais pas que tu te faisais ça, toi aussi.
— Tu ne mas jamais posé la question.
— Non. Et puis je regarde maman qui se masturbe.
— Justement cest elle qui ma excitée et je venais regarder pour me branler, comme tu vas le faire.
Je ne regarde plus ma mère et je nai dyeux sue pour la foufoune de ma sur. Je lui dis même sans grand espoir.
— Si tu veux au lieu de se branler seul on pourrait peut être se branler ensemble dans ma chambre?
— Dans ta chambre et pourquoi pas dans le mienne.
— Chiche dans la tienne.
Elle me prend la main et m’emmène chez elle. A peine dans sa chambre elle membrasse sur la bouche et nos langues découvrent la bouche de lautre. Elle sassoit au bord de son lit. Je suis à coté delle. Je lui caresse une cuisse en remontant vers sa chatte qui porte bien son nom, poilue comme elle est. Elle me laisse faire et me touchant à peine une épaule. Quand je touche enfin son bouton, elle me laisse faire un moment avant de prendre ma queue dans sa main: elle me branle lentement. Il me semble quelle attend de jouir pour me faire partir à mon tour.
Nous arrêtons tout: elle me déshabille lentement et quand je suis nu elle regarde ma pine, pose ses lèvres dessus et enfin la met entière dans sa bouche. Cest ma première fellation. Elle passe une main par derrière pour me mettre un doigt directement au cul. Elle me fait jouir. Jallais lui dire que ma jouissance arrivait: trop tard je jouissais dans sa bouche. Je pensait quelle allait tout rejeter; je me rompais. Elle dégustait mon sperme.
Je débandais. Elle me demandait de la regarder faire couchée, elle se passait deux doigts sur le clitoris et en me regardant bien dans le yeux elle jouissait à son tour. Je bandais à la voir se branler. Cest le moment quelle attendait:
— Viens me la mettre.
— Maintenant ?
— Oui, de suite sil te plais jai trop envie davoir ta bite dans ma moule.
Je ne lui laissais pas le temps de demander une autre fois. Je me jetais presque sur elle. Elle écartait bien les jambes me montrant sa chatte en totalité. Je me couchais sur elle et après quelle mai conduit sur son entrée; je glissais toute ma queue dans sa vulve. Je ne savais pas quelle avait un vagin si délicieusement baisable. Je la limais un court instant. Elle jouissait encore. Enfin je lui donnais tout mon sperme.
A ce moment la porte souvre: notre mère nous voit en train de baiser. Elle ne dit rien sinon pour nous demander si nous avons bien baisé. Elle ne désapprouve pas nos relations incestueuses. Je dirai même au contraire. Cest sans doute çà qui nous emmenaient, avec ma sur à lui proposer de baiser avec nous. Je craignais un scandale.
Ma mère se mit nue à son tour: nous la voyons pour cette première en femme bien fichue et surtout sexy. Je bandais encore plus que tout à lheure. Ma sur, dans un moment de légère jalousie me voulait pour elle. Ma mère décidant pour nous: je devais les faire jouir ensemble.
Elles me mirent sur le dos,elle demanda à ma sur de venir sasseoir sur ma bouche pendant quelle vint planter dans son cul ma queue bien droite. Elle se branlait encore, tout en étant enculée. Ma sur se déhanchait sur ma tête: je recevais sa mouille dans ma bouche.
Nous nous sommes levés toujours nus et avons rejoint le séjour.
Depuis, pratiquement tous les jours nous baissons en famille: nous en sommes heureux
