Ce jour là, jai prévu daller chercher des morceaux de silex et de craie au pied de la falaise. Je gare donc la voiture sur un parking qui jouxte un sentier longeant laffleurement. Après être descendu et avoir verrouillé les portières, je mengage en direction du chemin et menfonce tranquillement entre des buissons. Cest la première fois que je viens ici et je constate que je ne suis pas le seul à my aventurer. Un monsieur âgé dune cinquantaine dannées semble flâner aussi en regardant parfois en direction de la mer. Tandis que je mapproche de lui il tourne légèrement le regard dans ma direction et je le dépasse en lui adressant un sourire poli. Jai déjà parcouru plusieurs dizaines de mètres en essayant de trouver des pierres au bord du chemin terreux. Celui-ci présente des ramifications qui sen éloignent de part et dautre à travers la végétation. Curieux, jen emprunte une sur la droite mais elle se termine vite en cul-de-sac. Après une courte observation du lieu je fais donc demi-tour pour retourner sur laxe principal. Lorsque jy suis de nouveau, je continue ma route dans la même direction, en méloignant davantage du parking et en explorant quelques axes secondaires à droite, à gauche. Un moment, un autre homme sort à une dizaine de mètres devant moi de lun de ces débuts de sentier. Cela me paraît étrange car je ne crois pas quil cherche des cailloux, lui. Comme il mobserve, je presse un peu la marche, essayant de rester naturel, les mains dans les poches et lui disant bonjour lorsque jarrive à sa hauteur. Il me répond également et je men éloigne sans retourner la tête. Après quelques méandres entre les buissons, je jette un coup dil en arrière pour massurer que je ne le vois plus. Alors je ralenti pour reprendre ma quête de silex et de craie en errant. Jemprunte une percée sur la gauche quand japerçois un pierrier blanc typique, composé des minéraux convoités. Je men approche et découvre de bons échantillons ; alors je me penche en avant en me courbant pour les regarder de plus près et ramasser ceux qui me conviennent. Ainsi pendant quelques minutes, jen compare plusieurs pour choisir les meilleurs. Quand je me relève avec le dos légèrement endolori, et quelques cailloux dans les mains, je découvre soudain une silhouette en retrait. En me tournant pour faire face, je reconnais le cinquantenaire que jai croisé à lentrée du chemin, qui avait dû me suivre et qui sapproche. Comme je ne sais pas quoi dire je lui dis bonjour, ce à quoi il répond en ajoutant que cest un coin sympa pour faire une ballade. Je lui explique alors que je suis venu ramasser du silex et de la craie. Lui me précise que l’on trouve ici du bon silex de construction. Comme il sest arrêté juste à côté de moi, jajoute en balbutiant un peu que je nétais pas au courant. Mais alors que jai à peine fini ma phrase, je sens sa main glisser entre mes cuisses et venir se poser au contact direct de mon pénis. La sensation du toucher mélectrise aussitôt et je lui attrape le poignet pour léloigner. Ayant compris ce quil cherche, je lui dis « non ». Alors, pas gêné, il me demande quand même si je veux quil me fasse une pipe. Derrière ses lunettes, son regard brille dune lueur exaltée, comme sil attend une friandise. Je lui répète « non » puis le contourne pour partir tandis quune vague démotions vient subrepticement me tirailler entre la colère et lexcitation. Jai envie de le frapper avec le silex que jai dans le poing mais dans le même temps, mon sexe sest durci et je me sens de plus en plus serré dans mon caleçon. Après avoir rebroussé une partie du chemin, jai envie de retourner le voir pour continuer le vice, cest à dire le cogner ou lui demander de me sucer. Je tourne alors dans un autre enfoncement pour lattendre. Mon cur bat la chamade et le sang cogne aux tempes, ce qui me fait légèrement tourner la tête dans une sorte divresse. Comme je ne sais pas trop comment justifier mon attitude, jai lidée de feindre duriner jusquà ce quil me voit en passant. Pour plus de crédibilité, jessaye de me forcer après avoir sorti mon sexe mais comme je bande trop, cest impossible. Dans cette position de miction, je limagine arriver et me découvrir ainsi, de dos et la bite à la main. Sans nul doute, il lorgnerait mes petites fesses, certes moulées dans la toile du pantalon et qui ont dû lexciter malgré moi. Cest la première fois que je ressens cette sensation dexciter un homme. Je métais déjà inséré des doigts et quelques objets dans lanus et cela mavait procuré un certain plaisir mais je ne pensais pas quun jour jaurai le feu aux fesses à ce point. Effectivement, à mesure des battements de lexcitation et en plus de bander je sens comme des vibrations au niveau de lentrejambe provoquées par lenvie que le type sintéresse à mon cul. Jaimerai quil me prenne comme une fille. Jaimerai quil me caresse encore et que ce soit moi qui le suce. Jaimerai magenouiller pour mettre sa bite dans ma bouche. Je lexciterai jusquà me mettre en position pour quil mencule. Pendant que je pense fiévreusement à tout cela, lautre type que javais croisé arrive et je le vois passer derrière. Lui aussi ma vu, il me regarde sans sarrêter et disparaît. Par la suite, jentends deux hommes échanger quelques mots que je nentends pas bien mais je me doute quils parlent de moi. Peu après, alors que je feins toujours duriner, les deux messieurs sapprochent enfin du cul-de-sac dans lequel je me suis réfugié. Je nose pas me retourner, préférant leur laisser le spectacle du tout jeune honteux que je suis qui mime duriner mais qui ny arrive pas et qui semble en fait attendre quelque chose dautre. Je les entends avancer vers moi et celui qui na pas de lunettes me demande si je trouve les cailloux que je cherche. Je lui réponds que jen ai trouvé un ou deux et que ça va peut être suffire. Comme je leur tourne toujours le dos mais qu’aucun jet napparaît entre mes jambes écartées, il me demande sils sont en train de me déranger pendant que je pisse. Je leur réponds que là jai fini et je fais mine de mégoutter. Comme leur présence mintimide un peu mon érection a molli suffisamment pour pouvoir ranger mon pénis derrière la braguette. Tout en faisant, je fais attention à remuer un peu des hanches et à me cabrer ostensiblement puis je me retourne pour leur faire face. Celui qui ma touché auparavant et qui a des lunettes a toujours ce regard obnubilé mais encore plus intense. Lautre qui na pas de lunettes transpire aussi le désir et il commence déjà à sortir sa queue. Je le regarde faire en fixant sont bas ventre. Ensuite, je mapproche du type à lunettes qui na pas bougé en lui disant « Je veux moccuper de votre oiseau, monsieur. Je ne veux pas que vous me suciez mais je veux vous faire plaisir. Excusez moi pour tout à lheure. » A la fin de cette phrase, je baisse la tête, magenouille à ses pieds et commence à explorer sa taille avec mes mains novices et tremblantes. Je me glisse sous son pull et sens son ventre chaud. Fébrilement, jentreprends louverture de sa ceinture, puis du bouton et de la braguette. Ainsi, jai accès à son slip à travers lequel on devine son phallus. Après avoir tiré sur le pantalon pour le faire descendre, je caresse doucement son sexe qui nest pas encore vraiment en érection. Je me surprends aussi à le lécher au niveau de la bosse moelleuse formée par le slip. Son odeur délicieuse laisse un goût charnel. Je le caresse encore fébrilement en prenant plaisir à toucher le tissu chauffé par ses parties génitales. A ce moment là, un groupe de promeneurs qui passe en discutant nous remarque, ce qui a pour effet de faire planer parmi eux un silence choqué. Jessaye de cacher mon visage en espérant ne pas les connaître. Malgré la soudaine décharge dadrénaline, je reprends vite mon rôle en attrapant lélastique du slip pour le faire glisser délicatement vers le bas, le long des cuisses de celui que je dois contenter. Sitôt libéré de son entrave, son pénis déployé commence à pointer vers mon visage. Cest la première fois que je rentre aussi près dans lintimité dun sexe masculin. Lorgane est un peu ridé, parsemé de poils à la base et émet une odeur un peu fétide mais exaltante. Jai vraiment envie de le goûter donc je lattrape pour décalotter le gland. Celui-ci est rose, donnant limpression dêtre un bonbon, ce qui me fait saliver. Jouvre la bouche pour le glisser entre mes lèvres et le poser sur ma langue. Ce premier contact buccal me fait frissonner et je commence à le sucer goulûment. Petit à petit, je sens dans ma bouche son pénis chaud gonfler et durcir de plus en plus, si bien que je dois faire un effort supplémentaire pour écarter les mâchoires. Après une série de vas et viens que jessaye de pratiquer au mieux, mon maître commence à gémir de plaisir et mattrape la tête entre ses mains. Je suis maintenant entièrement à lui et je sais que je ne pourrais pas marrêter avant de lavoir satisfait. Cette situation de soumission mexcite terriblement. Je ne sais pas pendant combien de temps dure cette fellation mais au bout dun moment, il mannonce quil va jouir alors je continue et il éjacule dans ma bouche. Je sens sa substance chaude gicler dans ma gorge et la remplir amplement. Le goût est salé et agréable donc je déguste lentement en déglutissant petit à petit jusquà tout avaler. Je regarde mon maître qui semble aux anges et je le suce encore pour bien nettoyer sa bite. Puis il se retire et remonte ses vêtements. Lautre est toujours à côté et la scène la bien excité. Désireux de pousser tous mes fantasmes au bout, jai dans lidée quil soccupe de ma virginité anale et quil me pénètre par la fleur. Je vais donc maccroupir devant lui pour le sucer à son tour. Son pénis est sensiblement plus gros car jai un peu de mal à le gober. Je lui taille une pipe pendant quelques minutes puis je marrête pour me déshabiller. Une fois nu devant le type, je me retourne et me penche en avant sur quatre pattes, en position de levrette, mon cul offert à lui. Frénétiquement, je me cambre au maximum en écartant les fesses et lui supplie de me prendre. Alors je sens mon deuxième maître attraper ma croupe et cracher sur ma rose avant d’y poser et d’y ajuster ce qui semble être lextrémité de son pénis. Dans un réflexe de vérification, je le tâte avec une main en étant encore surpris par la taille et la chaleur de l’organe. Puis je lâche « allez y » car je suis impatient de me sentir pénétré par larrière malgré la peur suscitée par ce corps étranger. Comme il mattrape fortement par la taille, je le sens forcer dans ma direction pour entrer à travers mon sphincter qui commence à souvrir. De mon côté, je fais mon possible pour me détendre afin de laisser passer la queue tout en essayant de résister par des mouvements de recul contre la poussée inverse de mon maître. Subitement, je sens le large gland sinsérer difficilement en écartant douloureusement les parois anales et je laisse échapper un gémissement de douleur. Je demande à mon maître daller jusquau fond, ce quil tente petit à petit en effectuant quelques vas et viens. Lorsquil arrive à rentrer complètement, je sens son ventre collé à mon fessier lui-même comblé par sa grosse verge qui masse profondément mes entrailles. La douleur devient agréable et je pousse des petits cris à chaque assaut. Ainsi, il me sodomise brutalement et les allées et venues me donnent limpression dêtre un sac de viande à remplir. Après un certain temps, je commence à éprouver une sorte de vertige et je ne ressens plus que la douleur et le plaisir provoqués entre mes fesses par l’écartement répété de mon entrejambe. Je me laisse ainsi culbuter en fermant les yeux, poussant quelques râles et encaissant la saillie, jusqu’à ce que je sente son sperme gicler dans mes entrailles. Alors que mon mâle sest arrêté de donner des coups de reins, moi je continue à mempaler sur sa queue en faisant des mouvements davant en arrière. Malheureusement, il se retire de moi en me laissant soudain délaissé, avec lanus en chaleur et dilaté. Alors je me redresse et me tourne pour quil voie ma tête de chienne qui en redemande, ce quil ne le laisse pas indifférent puisquil mordonne de le sucer en mattrapant par les cheveux. Je lèche donc sa bite humectée par un mélange de sperme et de matière fécale entre mes lèvres. Cette fois ci, je suis un peu écuré mais je prends sur moi pour lui obéir et lui nettoyer la verge. Une fois propre, il la retire de ma bouche et séloigne en refermant sa ceinture. Et les deux types quittent les lieux en disant que je suis une sacrée garce qui aime bien la bite. Je me retrouve seul, à poil et souillé. Peinant à retrouver mes esprits, je saisi mes vêtements pour mhabiller puis je men vais à mon tour vers la voiture, avec limpression davoir été perverti.